Pendant que le chien battu Jean-Yves Le Drian, le VRP de la France dans les pays du Golfe qui nous achètent des armes (il a présenté son fils à MBZ !), dénonce le vaccin russe comme une arme de propagande, les pays punis par l’affligeante politique européenne font des affaires, et montent un front anti-occidental durable. C’est le prix à payer pour être à la remorque de l’axe américano-sioniste.
Notre diplomatie historique s’est effondrée, elle satanise aujourd’hui l’Iran, la Chine et la Russie, pour le plus grand bénéfice d’une Amérique qui s’isole et, à considérer l’Asie comme l’ennemi de demain, prend un énorme risque économico-politique.
Quant au « partenariat stratégique global » sino-iranien, qui se limite officiellement au domaine économique, il comprendra probablement un volet militaire secret, au cas où l’entité sioniste voudrait s’en prendre à l’Iran.
Voici d’ailleurs le premier commentaire sous la vidéo de i24news :
« Très malin les Perse, actuellement les chinois sont la première économie mondiale, ils seront bientôt là première puissance militaire. Cela ne présage rien de bon. »
– La Rédaction d’E&R –
L’Iran et la Chine ont conclu samedi [27 mars 2021] à Téhéran un accord de coopération de 25 ans en discussion depuis plusieurs années, a constaté un journaliste de l’AFP. Ce « pacte de coopération stratégique de 25 ans », comme l’a appelé la télévision d’État, et dont les détails comme les grandes lignes doivent encore être dévoilés, a été signé par le ministre des Affaires étrangères iranien, Mohammad Javad Zarif, et son homologue chinois, Wang Yi, en visite à Téhéran.
La Chine est le premier partenaire commercial de la République islamique d’Iran et était l’un des principaux acheteurs de brut iranien avant le rétablissement, en 2018, des sanctions américaines contre le secteur énergétique iranien, qui a fait chuter les exportations pétrolières de Téhéran.
« Nous pensons que ce document peut être très efficace pour approfondir » les relations sino-iraniennes, a dit Khatibzadeh à la télévision d’État, en rappelant que la genèse de ce projet remontait à la visite du président chinois, Xi Jinping, à Téhéran en janvier 2016 où il a rencontré notamment le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei. Téhéran et Pékin s’étaient alors « engagés à mener des négociations pour la signature d’un accord de coopération élargie sur 25 ans » et « de coopérer et avoir des investissements réciproques dans les différents domaines, notamment les transports, les ports, l’énergie, l’industrie et les services », selon un communiqué commun publié à l’occasion de cette visite.
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Membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, la Chine est l’un des partenaires de Téhéran au sein de l’accord international sur le nucléaire iranien de 2015. Depuis que les États-Unis se sont retirés de ce pacte en 2018 et qu’ils ont rétabli dans la foulée des sanctions punitives contre la République islamique, Pékin a plutôt affiché son soutien à Téhéran face à cette démarche unilatérale de l’ex-président américain, Donald Trump.
La visite de Wang en Iran survient quelques jours après qu’il a reçu en Chine son homologue russe, Sergueï Lavrov, et sur fond de tensions persistantes entre Moscou, Pékin et Téhéran d’un côté, et les États-Unis de l’autre depuis l’arrivée de Joe Biden à la Maison Blanche en janvier.
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L’analyse de RT en octobre 2020
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation