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La « pandémie de coronavirus » (tous mutants confondus) a « fêté » sa première année. L’occasion de faire un premier bilan de ses dégâts. Rapporté au nombre de morts pour un million d’habitants, celui-ci est accablant pour les pays de la sphère capitaliste occidentale.
On se rappellera leur apitoiement compassé quand ils évoquaient, il y a un an, l’extension possible de la maladie dans les couches jugées inférieures des populations de la planète. L’Afrique, par exemple, promise (par eux) à un carnage assuré.
Un an a passé et le constat post-pandémie est sans appel :
Les pays riches ridiculisés par les pays dits « émergents » et « sous-développés »
La « pandémie de coronavirus » a juste brutalement provoqué une inversion totale de la hiérarchie des valeurs planétaires jusque-là admises en terme de puissance :
- les pays dits « développés » s’en sont pris plein la gueule ;
- les pays dits « émergents » (BRICS and co) ont sauvé les meubles ;
- les pays dits « sous-développés » (en majorité africains, qui depuis le début se sont contentés de leurs vieux médocs anti-paludéens, l’hydroxychloroquine par exemple) ont à peine vu la « pandémie » passer.
Je pense que lorsqu’on atteint, comme les pays capitalistes qui se la pètent, ce degré humiliant d’échec face à la lutte contre une « pandémie », on s’abstient de la ramener devant ceux qui ont réussi à la juguler avec les moyens du bord.
source : https://yetiblog.org
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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