Paul-Julien, ange gardien: mars-avril 2021

Québec, lundi le 8 mars 2021 – Hiver et confinement forment un combo qui a usé le moral de bien des Québécois. Heureusement, tout comme le printemps dévoilera bientôt ses rayons de soleil, Le Verbe pointe son nez dehors et publie un magazine de mars-avril plein de chaleur et de lumière ! Nous sommes confiants que les témoignages des anges gardiens que vous retrouverez dans ces vingt pages sauront vous convaincre qu’il est possible de ressortir vainqueur des périodes plus difficiles.

« Les anges gardiens sont partout », nous dit le rédacteur en chef Antoine Malenfant (Les sacrifices, p.3). Qu’ils soient des caricatures hyperquétaines à la peau potelée, des Avengers, des caissiers, des préposés aux bénéficiaires, ils sont tous « aussi invisibles qu’indispensables », mais n’allez pas croire qu’ils ont la vie facile… 

En effet, ça n’a pas toujours été simple pour Paul-Julien Osborne, qu’a rencontré Brigitte Bédard, qui, rescapé d’un milieu familial dysfonctionnel, a fini par trouver son véritable père et sa place dans ce monde (De « bon à rien » à ange gardien, p.6). Sarah-Christine Bourihane, quant à elle, a fait la connaissance de trois anges gardiens des services essentiels grâce auxquels des personnes en perte d’autonomie peuvent vivre plus longtemps chez elles (Effacés et essentiels, sur les traces de trois proches aidants, p.10).

Par ailleurs, l’historien Éric Bédard, lequel a récemment pu voir l’« autre visage de cette pandémie » (Mourir seul, p.4), nous parle de la tragédie des départs en solo. Parlant de maladie, saviez-vous que le codécouvreur de la trisomie 21, Jérôme Lejeune, a été déclaré vénérable par le pape François, le 21e jour de la 21e année du 21e siècle (Jérôme Lejeune [1926-1994], p.5) ?

À la page 9, Simon Lessard nous explique l’importante différence étymologique des mots très à la mode, isolement et solitude (L’isolement de l’humanité). De son côté, Anne-Sophie Richard pense qu’il est urgent de mieux connaitre ce qui se passe dans la femme et nous recommande, pour ce faire, le dernier livre de Gabrielle Vialla, Bien vivre le cycle féminin (La femme est-elle tout simplement compliquée ? Mystères et grandeurs du cycle féminin, p.14).

Thomas De Koninck conclut ce magazine sur le thème de l’art qui présente « une vérité plus profonde sur la vie humaine que toutes les recherches des sciences du comportement » (L’art, vrai comme la vie, p.18). Il clôt notre lecture sur la question ultime: quel est le sens de la vie ?

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