BFM TV bras armé de la désinformation du gouvernement a été financée à ses débuts par le fond de pension de la CIA Carlyle (appartenant à la famille Bush et Ben Laden) sous le mandat de Sarkozy (dont son frère gérait les intérêts et qui avait comme beau père Frank Wisner numéro 2 de la CIA en Europe).
Le groupe BFM (Altice Europe NV) et le laboratoire GILEAD ont en commun de nombreux actionnaires qui ont financé les interventions des médecins qui s’expriment sur l’épidémie de Coronavirus et qui se sont fait attraper dans un restaurant clandestin situé “à deux pas du siège” de BFMTV. La vingtaine de convives, tous verbalisés, seraient selon l’hebdomadaire des journalistes et des “consultants santé” de la chaîne d’info : “des cadors de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris et un gradé de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris”.
Cette impunité s’apparente à celle des initiés qui contribuent a propager le mensonge de cette épidémie qui mène le pays tout droit à la faillite.
La crise sanitaire d’après le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt, a coûté à l’Etat plus de 160 milliards d’euros l’an dernier.
Mais comme les français ne sont plus dupes, et comme le vaccin produit 24% d’effets secondaires graves, il faut maintenir l’état de crise économique avec un nouveau confinement et gonfler les admissions en réanimations.
Pour cela BFM entre en piste comme au cinéma et utilise des figurants pour maintenir le niveau de stress et imposer un nouveau confinement qui nous sera fatal.
BFMTV
« Je ne suis pas si costaud que ça »
À 47 ans, Daniel est hospitalisé en service de réanimation pour Covid-19.
Pour voir la vidéo c’est ICI
Pour recentrer cette affaire , nous ne disons pas que cet homme n’a pas eu le Covid, mais qu’il ne présente pas les signes d’admissibilité en réanimation.
- « La réanimation est un service spécialisé où sont hospitalisés les patients les plus graves. Ils y bénéficient d’une surveillance constante des fonctions vitales comme la ventilation, l’oxygénation, la pression artérielle, les fonctions cardiaque et rénale. Si besoin, une assistance de ces fonctions vitales peut être mise en place afin de permettre si possible la survie du patient. »
Cet homme ne présente pas de signes graves, et de plus ils est en train de donner une interview dans un service où les précautions sanitaires sont strictes.
En hiver et hors contexte de crise sanitaire, les services de réanimation sont généralement occupés à hauteur de 80 %.
Dans son discours il détaille tous les mots que nous entendons de la bouche des médecins qui interviennent sur BFM avec le nombre limite de personnes en réunion privée.
« On était 6 on a voulu faire un petit repas entre potes ».
- « Ce n’est pas une grippette »
- « J’étais contre l’application »tous anti-Covid« »
- « J’étais contre le vaccin »
- « J’étais contre presque tout »
- « Qui va avoir un variant, pas un variant ? »
Au niveau national les admissions en réanimation augmentent plus vite que les hospitalisations et que le nombre de cas.
La question que l’on doit se poser est : si les malades qui sont en réanimation et qui n’ont rien à y faire sont-ils placés là pour gonfler les chiffres ?
La réponse est OUI.
Que reste-t-il à notre gouvernement pour nous faire accepter le reconfinement pendant qu’Emmanuel Macron transfère des malades pour ne pas confiner l’Île de France ?
Un bobard supplémentaire inventé par le cabinet de conseil McKinsey.
Voyons ce que nous dit l« association La SFAR, Société Française d’Anesthésie et de Réanimation. Elle a pour but l’étude, l’avancement et l’enseignement de l’anesthésie et de la réanimation. »Les patients sont admis en réanimation si ils présentent une défaillance d’une fonction vitale comme par exemple lors d’une infection grave (choc septique), d’une intoxication médicamenteuse, d’un polytraumatisme, d’un coma, d’une insuffisance rénale aiguë, d’une insuffisance respiratoire aiguë, après un arrêt cardiaque ou encore en post-opératoire d’une chirurgie majeure comme la chirurgie cardiaque ou digestive.
En réanimation, l’état des patients et les traitements mis en œuvre nécessitent du personnel spécialisé. Les médecins sont spécialistes en anesthésie-réanimation ou en réanimation et travaillent en collaboration avec tous les spécialistes de l’hôpital. Les infirmières prennent habituellement en charge 2 à 3 patients, et sont formées à l’utilisation des techniques sophistiquées de suppléance comme l’épuration extrarénale ou la ventilation mécanique. Les aides-soignantes participent aux soins des patients avec les infirmières et les médecins.
Quels sont les traitements le plus souvent entrepris en réanimation ?
Le plus souvent et en raison de l’état des patients, la ventilation et l’oxygénation doivent être assistée à l’aide d’une ventilation « artificielle », nécessitant la mise en place d’une sonde dans la trachée et l’utilisation d’un respirateur. Parfois des médicaments doivent être administrés en continu pour maintenir la pression artérielle afin de permettre une perfusion normale des organes vitaux. En cas d’infection, des antibiotiques sont administrés. En cas d’insuffisance rénale, une dialyse (ou une technique comparable) peut être mise en place en urgence. Une assistance cardiaque ou hépatique peuvent également être mise en place si besoin.
Comment connaître les chances de survie d’un patient admis en réanimation ?
Il est très difficile de prédire le pronostic des patients admis en réanimation. C’est surtout l’évolution (amélioration ou aggravation) de l’état clinique du patient, une fois les traitements de réanimation mis en place, en prenant en compte les pathologies chroniques du patient, et les séquelles possibles qui permettront d’apprécier au cas par cas les chances de survie et de bonne récupération du patient »
Source : Geopolintel
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