Pour ta conclusion il y aurait beaucoup à dire sur les causes de cette « haine », car c’est très parisien d’accuser surtout les conséquences, même si sur le reste je suis plutôt d’accord si tu vas à la campagne française comme tu visites les crabes de rizières thaïlandaises c’est sûr que ca risque de pas coller avec les chasseurs et les néo-ruraux…
Le gars part à Paris pour se faire confiner la gueule, on tient un champion du monde haha ( je rigole vraiment c’est une marque de respect chez moi).
Mais sinon, sérieux ou pas ton message, je crois pour ma part que c’est plus ou moins la même merde partout, campagnes ou villes, on est cernés par la bêtise, le robotfuck castex appui sur un bouton et c’est la transhumance… D’une prison une autre, d’un faux semblant un autre, d’une demie vie une autre…
J’essaye de prendre le problème à la racine, cette vie sur terre est une prison, ou bien une tartine de merde dont on bouffe un peu tout les jours, en ville ou dans les montagnes au bout du bout il faut toujours se forcer à être heureux de se lever le matin pour espérer l’être vraiment dans ce monde de merde et essayer de s’endodormir sans angoisse le soir venu plus ou moins vite suivant la taille de la cellule en se disant une journée de plus vers toujours plus de dinguerie ambiante… J’aurais aimé vivre à l’époque des grandes épopée quelque soit la place, au moins tout le monde n’était pas totalement schizophrène en accusant l’autre de l’être plus que lui.
A Paris ce que j’aime le plus c’est quand mon chien sort son étron, si je met le temps à ramasser il y a toujours un extrémiste du vivre ensemble pour me dire, monsieur la merde de votre chien elle va se ramasser toute seule ? C’est là que je peux tester ma force de persuasion : non bien sûr vous êtes là pour ça allez y je vous regarde. Prenez votre masque ça fera l’affaire, j’ai laissé le mien à la maison.
On m’a pas encore sauter dessus pour m’apprendre le savoir être, mais cette connerie dite je ne perd pas espoir en l’humanité.
Bon en même temps il fut un temps où c’est moi même qui chait sur le trottoir pour exprimer ce que je pensais de l’ humanité actuelle. J’ai même fait ça avec une Orléanaise… Rassurez vous celle là n’était pas pucelle ni antisémite, et je n’étais pas encore devenu infrequentable. Tu t’en fou et t’as bien raison, c’est aussi mon cas jusqu’à ce que j’y réfléchisse vraiment.
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