Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) ― Photo : AllaSerebrina/Depositphotos
Tandis que la coronafolie actuelle polarise sur elle l’attention de la majorité des humains, les autres plaies de l’univers post-moderne grossissent progressivement et continuent d’infecter le corps social dans son ensemble.
Sur le front de la déconstruction des identités, le progressisme va bon train. La genderofolie contemporaine gagne des batailles juridiques contre la famille et la nature biologique dans une indifférence quasi unanime d’une humanité globalement soumise à la peur de mourir du covid.
Au Canada, un père de famille risque la prison pour s’être opposé au changement de sexe de sa fille de 14 ans. Rob Hoogland a décidé de ne pas signer le « consentement éclairé » pour que sa fille de 14 ans subisse un traitement de changement de sexe, qui comprend, entre autres procédures, l’administration de bloqueurs de puberté.
Le juge a statué que le père ne pouvait pas discuter publiquement de cette affaire, ni s’adresser à sa fille ou à quelqu’un d’autre en parlant d’elle avec son prénom féminin. Il doit utiliser le nom Quinn ou les pronoms masculins.
Rob n’a pas obéi et le 16 mars il devra faire face à un premier procès qui pourrait le conduire à 10 jours de prison et en avril à un deuxième procès, pour une accusation plus grave, toujours concernant l’interdiction de parler en public : la sentence en cette affaire pourrait aller jusqu’à 5 ans d’emprisonnement.
Le Canada est depuis longtemps le laboratoire des pires « avancées » idéologiques lgtbqi+. Malheureusement, via l’Union européenne, cheval de Troie de la genderofolie en Europe, ces régressions civilisationnelles n’attendent pas bien longtemps pour s’imposer de l’autre côté de l’Atlantique. Demain, ce seront la France, l’Italie, l’Espagne, la Grande-Bretagne n’en est pas loin déjà, qui édicteront de telles sentences homosexualistes liberticides contre des parents normaux.
La gaystapo arc-en-ciel veut mondialement interdire aux parents conservant un certain bon sens dans ce monde d’inversion et d’invertis leurs libertés d’éducation et d’expression. Le vieil adage révolutionnaire contradictoire « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté » dans toute sa sombre splendeur !
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
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