Par Solange Lefebvre-Pageau, présidente du Centre international de recherche et d’éducation familiale (CIREF) — Photo (modifiée) : mego-studio/Freepik
Une proposition à toute personne soucieuse d’un véritable humanisme dans nos sociétés contemporaines
Les 15 au 26 mars, l’ONU tiendra la 65e Commission annuelle sur le statut des femmes (CSW). L’examen de la première page de leur site web nous laisse entrevoir un ensemble de valeurs auxquelles il n’y a rien à redire, car tout le monde veut la promotion de la femme, mais le ver est dans la pomme. Une recherche sur ce site des termes « droits reproductifs », nous renvoie à des textes qui réclament que soient imposés légalement sur l’ensemble de notre planète, le « droit » à la contraception et à l’avortement, à la théorie du genre, etc. Cela suppose aussi le refus d’une éducation qui promeut le respect de la vie et un sain développement hétérosexuel.
Devant cette situation, que dois-je faire, moi, Solange, qui œuvre depuis des décennies à la promotion du développement intégral de l’être humain au sein de notre société du Québec et d’ailleurs ?
Serait-ce de garder le silence sur notre ambitieux projet, longuement mûri, de faire découvrir à tous, mais avant tout, aux parents, le fondement humain et spirituel de l’amour, de la sexualité et de la complémentarité des sexes, selon la vérité de Dieu, des sciences de l’éducation et de la santé ?
Vais-je me taire, par crainte d’avoir, plus que jamais, à payer chèrement le prix de la perte de ma liberté de parole en voulant faire découvrir notre site web www.ciref.ca contenant un enseignement à distance dont le contenu, me dit-on, ne court pas les rues ? Ou encore, pour éviter de devoir payer une amende ou d’être conduite en prison pour avoir refusé les objectifs de la CSW ?
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
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