Je vais sans doute aucun passer pour un imbécile ou une bécassine, mais je ne vois pas en quoi les mathématiques qui sont une science fondamentale pure et dure dont l’essence consiste à travers l’intelligence de l’esprit de dénouer des problèmes complexes en relation avec des objets réels ou abstraits dans les différentes disciplines du champ des mathématiques. Les grandes déclarations solennelles prônant l’égalité virtuelle en droit et non en fait ne sont en vérité que des trompe-l’œil ou des vues de l’esprit retorses se jouant de l’ignorance, de la naïveté, de la confiance ou de la bêtise des gens le plus souvent issus du bas monde (je le dis sans aucun mépris, quel qu’il soit) puisque l’égalitarisme théorique dont il s’agit est habilement rangé dans un sac de nœuds joliment décoré sous la forme d’un système de droits, instrument privilégié du pouvoir et de l’autorité publique, et qui tend à faire accroire à la poursuite de l’équité et de la justice sociale distributive.
Les mathématiques sont en soi neutres et l’utilité qu’elles possèdent à l’égard de l’homme et de la quête de ce dernier tendant à la poursuite de l’exactitude, de la vérité en en définitive de l’absolu, ne reflète qu’un désir d’accomplissement personnel. L’économie politique ou sociale n’est point une science, hormis l’économétrie qui vise à mesurer des grandeurs via des outils spécifiques aux fonctions.
Il ne faut pas incriminer les mathématiques qui relèvent de la pure science des connaissances formalistes et mesurables en ordre de grandeur et dont la dimension philosophique est probante et certaine.
Un ancien taupin qui a croisé le chemin du professeur André Warusfel
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