Après un an de soumission aux règles sanitaires, je me laisse envahir par l’idée étrange que nous serions devenus les victimes de terroristes qui divisent la société en deux colonnes de soutènement sociosanitaire, pour mieux s’attaquer aux personnes qui réprouvent les politiques d’hygiènes. D’un côté, il y a les bons camarades de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et de l’Institution nationale de la santé publique du Québec (INSPQ) et de l’autre, les méchantes critiques des mesures d’hygiènes que des grands médias accusent d’être des «complotistes».
Cette crainte repose principalement sur une tendance à rejouer le passé sur le dos de procédures. Je fais ici référence à ces étapes qu’on doit suivre en fonction d’impératifs, tels la production de biens, l’information, la rentabilité, la mise en marché, le bond des actions, la sécurité intérieure, etc. Avec la COVID-19, ces procédures évoluent dangereusement vers la censure, le mépris et la division. Rien de tragique! Les victimes sont des scientifiques qui critiquent les opérations sanitaires.
C’est normal. Dès le début des années 50, des chercheurs ont été associés à des alarmistes dignes de nos «complotistes», après avoir critiqué l’administration d’antibiotiques aux animaux d’élevage, en prétextant un risque pour notre immunité. Je pense aussi au biochimiste écossais Arpad Pusztai qui s’est opposé aux procédures d’examens et d’analyses des organismes génétiquement modifiés (OGM) et a osé affirmer au petit écran, en 1998, que nous sommes les «cobayes» de firmes qui fabriquent des OGM, après avoir étudié une pomme de terre transgénique d’Axis Genetics, pour le Rowett Institute. Pour conséquence, Arpad Pusztai a été congédié par le directeur du Rowett Institute, son «équipement est saisi, ses données sont confisquées et il lui est interdit de parler publiquement» 48 heures après son apparition à la télévision. Son méfait? Le chercheur a décidé d’administrer, durant 10 jours, des doses équivalentes d’une pomme de terre ordinaire à un groupe de rats et l’OGM à un autre. Pour conséquence, les rongeurs qui ont consommé l’OGM ont été victimes d’un «affaissement du système humanitaire» et un «développement anormal des organes internes», dont le «foie et le cerveau».
Aujourd’hui, rien ne change. On utilise la COVID-19 pour ajouter de nouveaux scientifiques à la longue liste des indésirables qui critiquent des procédures. Parmi ces derniers nous retrouvons Lucie Mandeville, le Dr Luc Montagnier, le Pr Jean-Bernard Fourtillan et ces six chercheurs européens que le Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM) a accusés, le 21 décembre, d’avoir tenu des propos controversés sur la pandémie: Henri Joyeux, Nicole Delépine, Nicolas Zeller, Hélène Rezeau-Frantz, Didier Raoult et Christian Perronne.
Qui sont ces malfaiteurs? Christian Perronne est le chef de service des maladies infectieuses à l’hôpital de Garches (Hauts-de-Seine) qui a prôné l’usage de l’hydroxychloroquine, un anti-inflammatoire et immunomodulatrice qu’il a utilisé pour combattre les contagions de la COVID-19. Le professeur Didier Raoult est directeur de l’institut hospitalo-universitaire Méditerranée à Marseille, connu pour son usage d’hydroxychloroquine. Pour le Dr Hélène Rezeau-Frantz, il s’agit d’une généraliste qui a prescrit de l’histamine, un antihistaminique, avec succès, pour éviter une détérioration de la santé de ses patients. Le Dr Nicolas Zeller agit en tant que médecin et utilisateur de l’azithromycine, un antibiotique, pour combattre l’infection de la COVID-19 sur 200 bénéficiaires, toujours avec succès, malgré des études qui dévoilaient son inefficacité. Le Dr Nicole Delépine est une ancienne oncologue pédiatrique qui s’est opposée au port du masque et a contesté les tests d’amplification des acides nucléiques (TAAN) connus sous l’acronyme anglais PCR (Polymerase Chain Reaction). Le Pr Henri Joyeux est un cancérologue à la retraite (radiation le 8 juillet 2018) qui dénonce la vaccination préventive. Le professeur Jean-Bernard Fourtillan a participé au documentaire controversé Hold-Up quelque mois avant qu’il soit interné à l’unité John Forbes Nash de l’hôpital psychiatrique du Mas Careiron, le 10 décembre 2020, pour être libéré le 17. Le docteur Luc Montagnier a été honoré de plusieurs prix, depuis 1963, et fut récipiendaire, en 2008, du prix Nobel de physiologie et médecine. Son problème? En avril dernier il a affirmé que la COVID-19 serait un OGM composé de l’ADN du VIH (SIDA). Enfin, Lucie Mandeville, une ex-psychologue qui a enseigné à l’Université de Sherbrooke et qui est auteure de trois ouvrages à succès, a été remerciée de son travail de chroniqueuse par la Société Radio Canada (SRC) et la Tribune de l’Estrie, après avoir critiqué les procédures sanitaires. Par la suite, elle a été dénoncée pour avoir cosigné un texte de Normand Mousseau, le chercheur, physicien et biophysicien qui a pondu Pandémie: quand la raison tombe malade (2020), pour exposer les nombreuses incohérences qui décident des règles de la santé publique.
Les «complotistes»
Sur la même liste des critiques des procédures, nous retrouvons la station de radio de Québec, CHOI-FM. En septembre 2020, elle a été victime du retrait de publicités gouvernementales et corporatives après avoir refusé de diffuser une annonce sur les mesures sanitaires qualifiées de méprisantes pour ses auditeurs. Une station de radio, il faut le préciser, qui fut la seule, à ma connaissance, à avoir réalisé, dès septembre, des entrevues avec le virologue parisien Jean-François Toussaint, un scientifique qui tend à désavouer les règles encadrant la pandémie. Nous devons aussi ajouter de nombreux créateurs de vidéos qui sont disparus de la plateforme YouTube, dont André Pitre, le fondateur du Stu-Dio, et d’autres qui risquent de goûter a la même recette d’ici peu, comme Stephane Guay, un microbiologiste à la retraite qui a créé la chaîne Média Info Cité TV et Lucie Mandeville. Sans oublier Daniel Pilon, qui est menacé d’une radiation à vie de l’Ordre des comptables (CPA) et d’une amende de 10,000 $, pour ses propos qualifiés de «complotistes», ou encore Stéphane Blais, cet autre CPA qui a connu un traitement similaire après avoir constitué, le 7 mai 2020, la Fondation pour la défense des droits et libertés du peuple (FDLP) en réaction aux mesures sanitaires.
Depuis un an, ces personnes m’ont fait comprendre qu’en mars 2020, le Canada n’avait aucune procédure sanitaire pour lutter contre une pandémie. En d’autres mots, les autorités concernées écrivent les règles sur le chantier. Ce qui en ressort est l’impression d’une négligence sanitaire, voire d’une incompétence permettant de faire porter le blâme à la population, pour mieux la soumettre à des mesures malsaines. Pour exemple, le 16 avril dernier, la Direction générale des affaires universitaires, médicales, infirmières et pharmaceutiques, a émis des consignes servant à gonfler le nombre de décès causés par le virus: «Si la cause présumée du décès est la COVID-19 (avec ou sans test positif), une autopsie doit être évitée et le décès doit être attribué à la COVID-19 comme cause probable. De plus, les décès dont la cause probable est attribuable à la COVID-19 sont considérés comme naturels et ne font pas l’objet d’un avis du coroner».
En plus de cette chance de mourir de la COVID-19, il y a un document de l’INSPQ, datant du 7 octobre 2020, qui nous informer d’une autre procédure controversée permettant de falsifier le nombre de cas de contamination, en jouant avec les cycles (Ct) d’amplifications des essais TAAN. À cette fin, l’INSPQ s’inspire des études de Bernard La Scola de l’Institut national d’excellence en santé et services sociaux (INESSS) concernant 183 échantillons. Elles affirment que «100%» des tests TAAN qui ont été faits avec un «Ct entre 13 et 17 cycles» ont produit des cultures contagieuses. Ce pourcentage chute à «12%» pour les personnes testées avec «un Ct de 33». Enfin «les patients trouvés positifs après 34 cycles d’amplification et plus n’excrèteraient plus de particules virales infectieuses et ne seraient plus considérés contagieux.». Cela veut dire que 100% des échantillons testés positifs, entre 13 et 17 cycles, indiquent une contagion des patients. À 33 cycles, seulement «12 %» des échantillons positifs sont viraux alors qu’en haut de 34 cycles, c’est 0 %. Et après? En octobre dernier les tests TAAN de l’INSPQ variaient entre 37 et 40 cycles, alors qu’il faudrait tester à 24 cycles pour éviter de générer des faux positifs.
Le 9 octobre dernier cette fois, André Pitre a pondu la vidéo La preuve! Négligence criminelle dans les CHSLD pour nous informer de l’existence d’un document du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) qui demande de ne plus administrer de vitamine D et d’aspirine aux patients âgés. À cette fin, il était accompagné par Séphane Guay. Selon ce dernier, cette procédure du CHUM entre en conflit avec les recommandations de l’Académie nationale de Médecine (France) qui demande de «doser rapidement le taux de VITAMINE D sérique chez les personnes âgées de plus de 60 ans atteintes de Covid-19, et d’administrer, en cas de carence, une dose de charge de 50.000 à 100.000 UI qui pourrait contribuer à limiter les complications respiratoires [et] d’apporter une supplémentation en vitamine D de 800 à 1000 UI/jour chez les personnes âgées de moins de 60 ans dès la confirmation du diagnostic de COVID-19». Pour l’Aspirine, un antiagrégant, son retrait s’est fait alors qu’on savait que la COVID-19 est liée à des thrombus (caillots).
Je me serais attendu à ce qu’on explique la raison de ces procédures troublantes qui falsifient la réalité et invite, par ce fait, à nous imposer des mesures sanitaires. On a plutôt préféré remettre en question le droit des scientifiques et des «complotistes» à s’interposer entre la population et les autorités sanitaires. Dit autrement, on évite que la COVID-19 profite à une remise en question de la rationalisation des procédures qu’on nous impose depuis près de 30 ans.
Rationalisation
Cette rationalisation se traduit par une tendance à faire moins d’études et d’analyses, en se contentant d’ausculter les données des entreprises. Est-ce que notre santé en bénéficie? Les attaques contre Arpad Pusztai n’ont pas empêché les OGM d’être associés à divers problèmes, dont le suicide de près de 10,000 fermiers indiens poussés à la faillite, à cause du faible rendement du coton BT de Monsento/Bayer. Pour les antibiotiques administrés aux animaux, ce fut le début de mesures sanitaires qui ont provoqué des troubles de santés et d’immunités qui aident à la prolifération de contagions, dont celle de la COVID-19. Je m’explique. On a noté une résistance de la bactérie Salmonela à l’ampicilline, un antibiotique découvert en 1961, transmise par des déjections d’animaux d’élevage. Ce fut suivi par des modifications inquiétantes, dont la plus documentée concerne une microalgue vampire connue sous le nom Pfiesteria piscicida, dont la mutation a été liée aux déjections d’animaux consommant des antibiotiques. C’est alors que des firmes de lobbyistes se sont manifestées pour éviter d’associer l’hétérogénie du Pfiesteria piscicida à l’élevage de porcs et de poulets. Un travail remarquable qui permit au Pfiesteria piscicida de tuer des millions de poissons dans la région de la Caroline du Nord, en 1996 et 1997, et causer des migraines, des courbatures, des nausées, des vertiges et des difficultés de concentration et d’élocution chez des humains, avant leur décès. Ensuite, la Pfiesteria piscicida put s’étendre vers le sud-ouest de la France, en décembre 1998.
Cette même rationalisation a profité, en 1999, à l’homologation par Santé Canada du Vioxx (Rofécoxib), un anti-inflammatoire, et d’avoir, en 2018, reconduit jusqu’en 2033 le glyphosate (Roundup), un herbicide de Monsento-Bayers abondamment vaporisé sur des cultures d’OGM et de blé. Et après? En 2004, le Vioxx a été retiré par Merk, à cause des cardiopathies et d’accidents cérébraux vasculaires. Un vice de procédure qui a valu des amendes d’environ 6 G$ pour «fausses déclarations sur la sécurité de son médicament afin d’augmenter ses ventes». Pour le Roundup, en 2018 un jury étasunien a conclu que cet herbicide fut la cause du cancer de Dewayne Johnson, un travailleur agricole.
Qui dit la vérité? Cette question représente un défi majeur, en sachant que la rationalisation décide d’un rapprochement entre le pouvoir politique, le monde des affaires et les médias. Un univers qui se construit essentiellement par des liens qu’on tisse à l’aide de firmes de relations publiques. Celle qu’on ne peut taire concerne le groupe étasunien McKinsey & Company présenté par Gilbert Thibodeau, dans la vidéo Qui est derrière le contrôle de la population du 4 mars. Malgré qu’elle fut éclaboussée par la corruption et dû débourser une amende de 533 M$, en lien avec le scandale des opioïdes (OxyContin) qui a causé près de 500,000 décès aux États-Unis entre 1999 et 2018, cette entreprise se retrouve partout. Autant à Hydro-Québec que dans les universités et les centres hospitaliers, que derrière la gestion sanitaire et le discours de grands médias. McKinsey est aussi l’heureux récipiendaire, avec le Boston Consulting Group (BCG), de dons cumulatifs d’environ 300 M$ émis, entre 2006 et 2017, par la Fondation Bill et Melinda Gates. Le même qui finance grassement l’OMS et récite la formule magique servant à matérialiser le monde meilleur de l’Organisation des Nations unies (ONU).
Cela passe en partie par Accélérer Québec 2030, un programme soutenu par Ahmed Hussen, le ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social du gouvernement de Justin Trudeau, qui répond aux «conclusions de la première conversation sur les objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU tenue au Québec, le 25 avril 2019, en collaboration avec Alliance 2030, un réseau national d’organismes, d’institutions et de particuliers œuvrant à la concrétisation des 17 ODD des Nations Unies d’ici 2030».
Pour conséquence, je ne réussis pas à entrer dans ma tête que les procédures qui concernent la lutte contre la COVID-19 sont essentiellement sanitaires. En plus de viser des personnes qui doutent, elles rapprochent passablement le Québec des ambitions globalistes du Canada, ces marches vers une gouvernance mondiale qui émergerait de la COVID-19, tel que présenté dans la vidéo The Pandemic is A Portal de l’ONU. Pour nous guider vers ce bon chemin: les docteurs Marc Brisson et Horacio Arruda. Marc Brisson supervise le Groupe de recherche en modélisation mathématique et l’économie de la santé liée aux maladies infectieuses et fut nommé le scientifique de l’année 2020 par la SRC, en janvier 2021. On peut comprendre. Le docteur Brisson a été consultant pour l’OMS et le Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis, aussi en mèche avec McKinsey. Pour le docteur Arruda, ce directeur national de la santé publique et sous-ministre de la santé publique, nous rappelle les 17 ODD de l’ONU, par l’épinglette qu’il porte sur son veston depuis le début de la crise COVID. Ajoutons qu’il supervise le Global Network for Health in All Policies (GNHiAP) depuis octobre 2019. Il s’agit d’une branche de l’OMS fondée en mai 2017 durant le règne du gouvernement de Philippe Couillard, dont les procédures visent une politique sanitaire unique pour toutes les nations membres de l’ONU. Enfin, les fonctions des docteurs Brisson et Arruda se complètent. Alors que le premier utilise son groupe de recherche pour anticiper le nombre de cas probables d’infections, le deuxième applique ces prévisions par des mesures sanitaires. Comme pour le reste, les procédures qui en découlent sont discutables. Le modèle mathématique «pessimiste» prédisait «l’Armageddon» en réponse au «déconfinement» du 11 mai 2020, alors que l’optimiste «était démesurément alarmiste».
Qui s’en plaint? Pendant que des médias méprisent des personnes qui informent en espérant une radicalisation sanitaire pour les punir, Lucie Mandeville s’est unie à d’autres spécialistes pour proposer une une pétition qui demande de remettre les débats à l’ordre du jour des grands médias. En Europe, l’avocat allemand Reiner Füellmich intente une poursuite contre l’OMS, qui viserait aussi Christian Drosten, le virologue qui a mis au point le test TAAN, pour «CRIME CONTRE L’HUMANITÉ» en réaction à des nombreuses plaintes de scientifiques qui n’apprécient pas les discours réducteurs et méprisants.
Pendant ce temps, le moindre incident devient suspect. Un exemple concerne l’explosion d’une usine de SCI Pharmatech située à Taiwan, que j’ai eu la chance d’apprendre, le 2 janvier dernier, par le soutien de Stéphane Guay et de sa partenaire Isabelle de Conscience du peuple. En apprenant qu’elle fabriquait de l’hydroxychloroquine, certains ont cru à un acte terroriste. Avant de les torturer pour avoir osé douter, prenons le temps de nous intéresser à la grande supercherie scientifique de 2020. Le 22 mai, le journal médical britannique The Lancet a publié un texte plein de faussetés qui démolissait l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Bien qu’il fut dénoncé par près de 200 scientifiques, l’OMS semble s’en être inspirée pour mettre un terme à ses études sur l’hydroxychloroquine. Richard Horton, le directeur du journal The Lancet fraye aussi avec l’OMS et la Fondation Gates. Ajoutons que The Lancet a pour éditeur RELX. Il s’agit d’un puissant et influent groupe de publications scientifiques, dont le président est Erik Engström, un ancien de McKinsley.
Procédures de nettoyage
J’ai pris ce long chemin pour vous dire qu’après un an à obéir aux règles sanitaires, j’ai l’impression d’être devenu un fromage qui aurait survécu à l’Apocalypse de 2008 que le gouvernement de Jean Charest a enclenché au nom de la santé publique. À cette époque, le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec avait arrosé des fromages locaux de javellisant pour combattre la bactérie Listeria monocytogenes, alors que le Dr Horacio Arruda invitait la population à se débarrasser des fromages achetés dans des commerces. La démarche fut une réussite. La presque totalité des fromages québécois au lait cru est disparue.
Avec la COVID-19, l’opération javel se rejoue. Pour conséquence, de nombreux commerçants sont lavés, la confiance aux institutions se volatilise comme des taches et les cerveaux se blanchissent. Mais encore, pour mieux nettoyer la société en profondeur, le gouvernement canadien est sorti, le deux février dernier, jour de la marmotte, pour dire à la population que nous étions aux prises avec des groupes de terroristes intérieurs. Vraiment! Ahmed Ressam, un type qui a vécu incognito à Montréal, a été arrêté par le FBI, le 14 décembre 1999, pour avoir tenté de faire exploser l’aéroport de Los Angeles. Il y avait aussi un individu qui se retrouvait, depuis 1999, sur la liste des dix criminels les plus recherchés par le FBI que j’ai eu la surprise de croiser en «mars 2001», dans un autobus qui roulait vers l’est, «sur la rue Jarry, en direction du boulevard St-Michel à Montréal». Vous le connaissez. Il se nommait Oussama ben Laden (1957-2011) et fut le Saoudien qui aurait été derrière les attentats du 11 septembre 2001.
Après la publication, en 2009, de quelques mots concernant cette rencontre, je n’ai jamais eu de rendez-vous avec un agent des services de renseignement canadiens ou un journaliste. En fait, la frilosité qui nous envahit me laisse l’impression d’une volonté à éviter d’embarrasser les personnes qui tirent des avantages des procédures. Qui? En 2021, les terroristes n’ont rien à voir avec les groupes nationalistes que le Canada aimerait incarcérer ou avec ces personnes qui, à la façon des «complotistes», ont tendance à s’en prendre aux procédures. Disons que les terroristes dignes de ce nom étudient, utilisent et exécutent les procédures pour nous plonger dans le chaos, brader des biens et ressources, modifier des normes et des lois, menacer la sécurité nationale, nuire à la démocratie, parasiter l’économie, s’assurer de faire taire et préparer leurs frappes. C’est par cette aptitude qu’avant le 11-Septembre, les gains du Saudi Bin Laden Group, un important constructeur, ont profité à l’enrichissement de Ben Laden et facilité la destruction des tours jumelles. Les procédures qui régissent l’immigration, sa perméabilité et la longueur des démarches administratives ont de leur côté servi à la fuite d’Ahmed Ressam.
En 2021, les terroristes dignes de ce nom doivent accéder aux banques de données informatiques qui permettent d’anticiper notre comportement, voire le changer, brader du financement par des fraudes et provoquer un chaos sans précédent. Depuis au moins l’an 2015, la gestion sanitaire du Parti libéral du Québec (PLQ) de Philippe Couillard a impliqué des mouchards dans des sites hospitaliers, dont celui du CHUM et du CUSM. Qui en profite? Avec la COVID-19, la CAQ prépare maintenant le Passeport numérique qui risque de retirer des droits à une partie de la population qui refuse la vaccination. Ajoutons qu’avec la COVID-19, les procédures sanitaires qu’on nous impose sont conçues pour enrichir le GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft). Mais encore, les grands médias s’abstiennent de semer l’idée que des personnes près de la fonction publique et le pouvoir politique pourraient avoir grossi leur porte-monnaie en achetant des actions du GAFAM. Ajoutons que le même silence s’impose sur les avantages fiscaux offerts au GAFAM par le Canada qui décideraient de la censure. Le même silence qui sert actuellement des réseaux internationaux qui utilisent le GAFAM pour extorquer et voler la population en exploitant des failles informatiques de Microsoft (Bill Gates). En retour, nous observons un soutien moral au projet de loi du gouvernement Trudeau défendu par Steven Guilbeault, le ministre du Patrimoine, afin de faire taire les opposants aux procédures. Nul autre que Facebook qui invitait, en février dernier, le Canada à réglementer le contenu numérique (censure).
Terrorisme international
Pour conséquences, j’ai l’impression que nous devenons les victimes de terroristes 2.0 qui utilisent des règles sanitaires pour nous plonger dans une crise mondiale sans précédent. Cela implique assurément des réseaux d’investisseurs dont le code moral semble aussi déficient que leurs procédures. Ainsi, en décembre 2020, Pfizer a demandé à l’Argentine un accès à des glaciers de la Patagonie et à des territoires de pêche en échange de doses de vaccins. Sans commentaires, si ce n’est pour ajouter que les quatre entreprises dont les vaccins ont été homologuées par Santé Canada sont liées à des histoires de corruptions et de décès chez des enfants, lors d’essais de la trovafloxacine contre la méningite, à la fabrication de shampooing contenant du Quaternium-14 et du 1,4 Dioxane, deux substances cancérigènes, à la commercialisation de la poudre pour bébé à base de talc, un minéral pouvant provoquer des lésions pulmonaires, à des publicités mensongères, à des soupçons de délit d’initiés et d’avoir pour président Stephen Hoge, un ancien de McKinsey.
À la place de débattre d’intégrité sanitaire, on adopte des croyances et des concepts mondialistes pour victimiser les critiques des procédures. Ainsi, on nous répète que la contagion à la COVID-19 d’aînés vaccinés serait causée par le personnel soignant qui refuse le vaccin. Une maternelle d’insignifiance qui filtre l’information comme un bon terroriste le fait avec ses prisonniers. Les médias! Après l’envoi de deux courriels à la SRC et la Tribune de l’Estrie concernant Lucie Mandeville, je suis toujours sans réponse. Un fait anodin en comparaison à ce que Stéphane Guay énonce depuis quelques mois: les vaccins à ARN messager risquent de provoquer des tempêtes cytokiniques. On parle ici d’une réaction immunitaire, souvent mortelle. Le 25 février, le docteur Richard Marchand a émis des inquiétudes similaires lors d’une entrevue avec Paul Arcand au 98,5 FM. En Europe cette fois, la professeur Dolores Cahill croit qu’environ un tiers des vaccinés vont décéder dans quelques mois des effets d’une tempête cytokinique.
Le 10 mars, alors que la chanson «Antiaméricanisme primaire» des Loco Locass jouait, je me suis demandé pourquoi le «virus de Chine» (COVID-19) servait autant les intérêts d’entreprises étasuniennes, que l’OMS est financé par cette même industrie venant du pays qui a imposé ses procédures à toute la planète et les transmorme, par l’intervention de firmes telles McKinsey. Je ne comprends pas ce qui se passe. C’est par l’influence de la gauche de ce même pays que des psychocivilisés s’agitent autour de la race, de l’appartenance sexuelle, de l’islamophobie et des mots en «N», tels NOMOS, en étirant leur nombril comme un élastique. Pendant ce temps, les personnes qui sont des exemples vivants de ce besoin de se dépasser, ces artistes, travailleurs, restaurateurs, journalistes indépendants, scientifiques éclairés, voient l’oeuvre de leur vie s’effriter sous le poids de mesures sanitaires qui répondent à des chiffres douteux.
Pour conséquence, notre monde vit un éclatement qui risque de nous surprendre à un moment de notre histoire qui laisse l’impression que notre société tend à se vider de sa raison. C’est comme si la COVID-19 cachait en réalité la Naegleria fowleri, une amibe mangeuse de cerveau, ou quelque chose d’autre qui plongerait notre société dans une idiocratie mondiale, plus précisément occidentale. Les contrecoups d’une obéissance aveugle à des procédures globales d’aliénations qui empoisonnent notre existence et profitent à la santé du terrorisme international. Bof! C’est une question de temps avant que nous devenions un peuple javellisé qui acceptera l’idée de la décapitation préventive. Les têtes de «complotistes» et de scientifiques devant les marches de la gouvernance mondiale, n’est-ce pas une façon originale de donner de la visibilité à celles et ceux qu’on méprise de leur vivant?
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec