A mon Beau-père

A mon Beau-père

par Gabriel

Et à tous les bénis-ouiouistes auto-satisfaits de la Terre…

Salut,

Suite à ton refus de prendre en considération mes mises en gardes contre cette vaccination délirante et à ton adhésion aux croyances simplistes (et sinistres) de ton ami médecin, j’ai mis du temps à te répondre, car après tous les éléments sérieux et sourcés que je t’ai transmis, je pensais n’avoir plus rien à ajouter. Le caractère immuable et parfaitement « serein » de tes positions a un caractère désarmant : envers et contre tous ces indices convergents, tu gardes une ligne stricte, sans éprouver à aucun moment le moindre besoin de la soutenir, ne serait-ce qu’un peu… On dirait que le sujet ne t’intéresse pas et que la version officielle te satisfait. On se demande bien, je me demande bien, pourquoi ? C’est un récit certes plaisant, qui semble correspondre à une saine appréhension du réel (encore que, ces temps-ci, on s’en éloigne tout de même sensiblement…), avec ce côté un peu pompeux des personnes réputées sérieuses et rationnelles à même de se voir approuvées par les masses crédules, plus impressionnées par un beau costume, une bonne diction et une démarche assurée, que par les arguments authentiques, sans doute un peu trop complexes pour ta raison paresseuse. Certes.

Mais cette version-là ne tient pas la route : Le nuage de Tchernobyl ne s’est pas arrêté à la frontière, les responsables savaient que le sang était contaminé, il n’y avait pas d’armes de destruction massive en Irak, les peuples français et néerlandais ont voté non au referendum de 2005, etc, etc. Le gouvernement n’est ni incompétent, ni de bonne foi, car autrement, face aux scandales des revirements et des falsifications, nous aurions eu au moins une ou deux démissions au cours de l’année 2020: Celle de Véran, par exemple. Et on en aurait plus ou moins un minimum, bon an mal an. Mais cela n’a jamais lieu. La pauvre Georgina Dufoix, qui s’était retirée dans un couvent pour expier, constitue, au mieux, l’exception qui confirme la règle…

Donc, soit on veut comprendre un minimum ce qui nous est proposé et on cherche à relier les faits entre eux, et alors ce n’est pas si difficile de comprendre qu’il y a un os dans la noce ; soit on préfère oublier les problèmes – comme le type qui tombe d’un immeuble et qui se dit à chaque étage : « jusqu’ici tout va bien » – et on se repose sur le discours convenu qui règne dans les médias dominants, qui promeuvent les intérêts des milliardaires, tout en étant grassement subventionnés par tes impôts.

Dans le premier cas on s’expose à l’ignoble qualificatif de complotiste, c’est une forme de réduction et de chosification, un étiquetage à caractère péjoratif, qui n’apporte strictement rien au débat, sinon une dose de violence pernicieuse, suffisant à se donner un air important, mais non pas pour démontrer quoi que ce soit à une personne réellement adulte – ce qui est plus rare qu’il n’y paraît, et qui n’est sûrement pas ton cas, loin de là ; il faudra, tôt ou tard que tu t’y résolves, du moins si jamais tu décidais de commencer à reprendre ta croissance cognitive et spirituelle. C’est une injure, ni plus ni moins, en plus d’être un sophisme, le plus frauduleux de tous : vide de sens et pourtant rempli de connotations négatives, une performance dans son genre. La prémisse implicite étant qu’ « il n’y a tout simplement jamais de complot, que ce n’est, au mieux que de l’histoire ancienne en quelque sorte et que ça n’arrive plus de nos jours, nous sommes au vingt-et unième siècle enfin! » L’équivalent d’une fable pour enfants. La conclusion logique à ceci est que la personne visée par ce qualificatif est en somme un crétin, de même que tous les crétins qui croient à des fables pour enfants. CQFD. Te voilà rassuré, à bon compte il me semble, sur ta propre santé mentale, par rétroaction en quelque sorte.

Dans le second, on se laisse aller à une paresse coupable, qui entraîne avec elle une responsabilité authentique : on apporte ainsi, à sa mesure et à son niveau, un soutien passif et une légitimité indue – qui fait sens par le nombre de ses adhérents– à un pouvoir dont on ne connaît rien d’autre que ce qu’il veut bien laisser voir. On constitue là une alliance insouciante avec des inconnus violents et menteurs (ce sont des faits, hélas), ce qui est rien moins que grave et même répréhensible. Mais il est loin d’être certain que cela doive rester toujours impuni. Dans le virage civilisationnel qui s’impose à nous et dont l’issue est loin d’être encore pleinement décidée, le remords peut se montrer extrêmement cruel. Il peut même se transformer en véritable torture une fois éveillé au réel : Sainte Thérèse d’Avila (dont, accessoirement, le corps ne s’est jamais corrompu : c’est un fait confirmé par de multiple sources fiables et nul ne le conteste…) s’est reproché toute sa vie avec véhémence quelques futilités de jeunesse, qu’elle voyait comme des péchés mortels. Et il pourrait bien aussi t’arriver à toi de te réveiller un jour ou l’autre, malgré tous tes efforts.

Mais au pire, on pourrait bien assister à un Nuremberg 2.0 ; ainsi qu’à une épuration subséquente, non moins impitoyable et abjecte que la précédente. Ceux qui y échapperaient en resteraient hantés toute leur vie. Et pour quel véritable profit ? Survivre à tout prix dans une société invivable, véritable prison qu’on veut léguer à nos descendants? Caverne dont l’intelligence peut mettre des siècles à s’échapper ? Le jeu n’en vaut pas la chandelle. Et d’ailleurs, l’Histoire est une suite ininterrompue de complots. Croire qu’il n’y en aurait aucun à notre époque, relève d’une grande naïveté. C’est tout au contraire vraisemblablement une époque de grand danger, et notre conscience à chacun en est comptable à un niveau ou à un autre, personnel ou collectif.

Selon l’ONU, 150 millions de témoins d’apparitions d’ovnis ont été recensés dans le monde depuis 1947. Quiconque balaye cette information d’un revers dédaigneux est un irresponsable. Il n’y a aucune raison, absolument aucune, pour que la vie et donc entre autres l’intelligence, ne se soient pas développées ailleurs que sur notre planète. Le contraire serait bien étonnant et nous devons en tenir compte. Par suite, il n’y a aucune raison, absolument aucune, pour que des espèces plus avancées ne soient pas parvenues à élaborer un moyen de transport adéquat au milieu spatial intersidéral, que nous connaissons très mal. Notre propre technologie progresse à une vitesse exponentielle et on peut imaginer qu’au bout de quelques siècles elle sera déjà largement incompréhensible et pourra être considérée comme miraculeuse par l’homme d’aujourd’hui, fut-il ingénieur ou chercheur de premier plan. L’occultation ou la minimisation, voire la ridiculisation de ce problème sont tout à fait anormales et très inquiétantes. Combien d’autres problèmes fondamentaux sont ainsi soustraits à la concertation naturelle démocratique, dont pourtant nos irresponsables politiques ne cessent de se gargariser ? Qui cela sert-il ? On ne peut pas signer de chèque en blanc, même mentalement, surtout mentalement, à des dirigeants qui ont montré des failles graves accentuées par la situation actuelle. Et si on est tenté de le faire, on devrait s’en abstenir en faveur des générations ultérieures. Chaque initiative personnelle est amenée à compter et chacun devrait faire sa part dans ce domaine, fût-elle insignifiante en apparence. Au moins, ne colporte pas tes certitudes douteuses appuyées uniquement sur tes peurs.

Le débat véritable se raréfie dans la société, sur le plan privé comme sur le plan public ; la tension est à son comble et la plupart ne se donne pas la peine de construire ne serait-ce qu’un argument sérieux : on croit démontrer avec ardeur, on ne fait que répéter la propagande et étaler de bien pauvres croyances : l’indigence intellectuelle est l’épidémie la plus réelle de notre temps ; l’impudeur et le psittacisme ont pris le pas sur la raison : la profondeur grecque, la finesse française et la rigueur germanique ont cédé la place au merchandising outrancier judo-protestant et au spectacle pornographique du culte sataniste. Tout cela est encouragé avec ferveur par les puissances financières, depuis quelques décennies au moins. Nous avons connu il n’y a pas si loin, un temps où l’esprit critique et la probité intellectuelle était à l’honneur et où l’à-peu-près et la vulgarité étaient reléguées aux couches les plus arriérées de la société. Aujourd’hui ces piteuses manières sont à l’avant garde du débat-spectacle organisé par l’argent. « Apostrophes » a disparu au profit de Hanouna.

La société et les familles – qui en sont la cellule vivante et la cheville ouvrière, sont en train de se diviser en deux camps de plus en plus irréconciliables, à l’image de ce qui se passe aux États-Unis – et qui arrive bientôt chez nous. La déshumanisation réciproque se généralise, la violence n’est jamais loin : le comportement de tes « amis » (un médecin peut très bien être un imbécile, un lâche et un grossier personnage : la preuve…) est inacceptable et ton manque de solidarité envers moi est très décevant (y compris à l’égard de ta fille).

J’ai simplement voulu te mettre en garde. Je ne t’ai jamais demandé de sacrifier ta santé : tout au contraire ! Maintenant si plonger dans l’inconnu avec cette injection vaccinale douteuse te semble absolument nécessaire, si l’avenir de l’humanité t’indiffère au point de dérouler le tapis rouge aux psychopathes et peut-être même à d’autres puissances, potentiellement plus malveillantes encore, malgré toutes les informations que tu as reçues en ce sens, alors quel que soit ton sort par la suite, il est de fait que tu pourras dire que tu le mérites.

S’il te plaît, ne deviens pas un zombie. Je ne t’en veux pas, je te plains. Et je nous plains tous, car nous manquons cruellement de défenseurs parmi nos propres rangs, et les rares qui se manifestent sont souvent bien mal remerciés de leurs sacrifices voir abandonnés, trahis par ceux-là mêmes qu’il essaient de défendre. Un exemple : Assange ; as-tu signé la pétition pour sa libération ? Non ? Pourquoi cette inaction ? Ce n’est peut-être pas grand-chose, me diras-tu. Bien. Raison de plus, te répondrai-je. C’est un des plus grands militants des droits fondamentaux de l’Histoire. Ça ne t’intéresse pas les droits fondamentaux ? Tu crois qu’ils tombent du ciel ? Quand bien même, ça ne les rend que plus précieux encore. Allez, dépêche-toi !

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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