Deuxième pays le plus peuplé sur la planète. Un système hospitalier… de bric et de broc… Des mégalopoles invraisemblables… Des conditions d’hygiène… aléatoires (pour rester poli)…
Certains craignaient une hécatombe couillonovirale en Inde.
Et pourtant… non.
113 covimorts par million… Quand les glands français si arrogants et si sachants sont à 1 334 (source Worldometer).
Onze fois plus…
Pour reformuler : il y a proportionnellement beaucoup moins de lits de réanimation en Inde qu’en France… alors pourquoi une telle différence ?
La réponse habituelle… Le soin. Et le plus vite possible. Y compris chez des gens qui ne faisaient pas de tests PCR.
Puisque les médecins indiens ne pouvaient pas se payer le luxe de dire aux malades « restez chez vous, prenez du paracétamol, on viendra vous chercher quand vous serez à l’article de la mort ».
Le site Covexit (listé dans mes sources) publie un papier remarquable écrit par 5 médecins indiens.
C’est la première fois que je vois une évaluation du nombre total de patients indiens qui ont été traités avec l’HCQ et l’ivermectine (distribués gratuitement parfois, lire ici) de mars à décembre 2020.
Les chiffres sont stupéfiants.
« Le nombre de patients recevant soit de l’HCQ soit de l’ivermectine serait ainsi estimé à plus de 30 millions (29 millions + la moitié de 5,75 millions). Ainsi, on peut supposer sans risque que derrière chaque cas positif de Covid-19 en Inde, il y en avait deux autres qui avaient reçu soit de l’HCQ soit de l’Ivermectine ».
Les auteurs pointent également d’autres hypothèses et facteurs. L’âge bien entendu. Ou encore la prévalence de la malaria.
source : https://covidemence.com
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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