par Ngel Njuuf.
Les nouveaux variants du SrasCov2 invitent plutôt à se focaliser sur le renforcement des défenses immunitaires et la diffusion des poly thérapies conventionnelles et traditionnelles qui font leur preuve à travers le monde.
L’Afrique a été invitée par l’OMS à intensifier ses préparatifs pour réceptionner les lots de vaccins contre Covid-19. Mais, tous les États n’ont pas accepté de participer à « Covax Facility », l’initiative facilitant l’accès auxdits vaccins. Nous savons qu’en matière de vaccin, le mauvais choix est pire que le virus pathogène ciblé. Outre le fait qu’il ne doit point être toxique, un vaccin doit remplir à la limite, deux conditions essentielles : il est censé vous protéger et il ne doit pas vous rendre contagieux non plus. Or, selon les firmes Pfizer, Moderna BioNTech, AstraZeneca qui sont les fabricants priorisés en Afrique, aucun de leurs vaccins ne remplit ces deux conditions. C’est pourquoi, ces firmes ont pris les devants au plan juridique, en obtenant le droit de ne pas rembourser les effets secondaires causés par leurs vaccins dont le type sera pour la première fois expérimenté pendant 2 ans sur des humains transformés pour ainsi dire en cobayes. Quant au vaccin chinois, il contient de l’aluminium, un adjuvant toxique qui le pénalise au vu des graves effets iatrogènes encourus.
Si depuis une quinzaine d’années on n’est pas parvenu à stabiliser et rendre fiable le vaccin contre la grippe H1N1, comment peut-on en moins de temps garantir à 90%, l’efficacité de nouveaux types de vaccins pour Covid-19, une maladie virale respiratoire que l’on connaît à peine et dont le virus (SrasCov2) virevolte dans un arc en ciel de variants. Vu la mutation plurielle de SrasCov2, tout vaccin ARNm ou non, standardisé et destiné à une vaccination de masse, s’ingurgite à risque et présage entre autres, une série de handicaps voire de pertes en vies humaines. La vaccination en masse, sans véritable prise en compte des différences individuelles, entraîne des accidents, des effets secondaires importants voire des décès. Chaque personne étant unique, il est impossible de garantir que tous les individus vaccinés vont produire le fragment du virus dans la quantité nécessaire pour obtenir une réponse immunitaire normale et immunisante. Une vraie folie que de vacciner contre un virus qui a des mutants à n’en plus finir !
Le Sénégal a validé un plan d’acquisition de 6 798 000 doses de vaccins. Or, la vaccination de masse ne relève pas d’une science fiction dont le scénario a trait à un vaccin dont on ne sait rien des effets secondaires potentiels, ni à court, ni encore moins à moyen ou à long terme. Déjà, les formes graves et mortelles des premiers essais ont poussé des pays à travers le monde à suspendre l’utilisation des vaccins COVID-19 à base d’ANRm. Le vaccin à ARNm dénombre déjà 2,8% d’effets secondaires graves aux USA où 500 décès ont été comptabilisés au 29 janvier 2021.
Ne perdons pas de vue que l’usage d’un vaccin à ARN messager n’a pas encore été approuvé pour l’espèce humaine. Qui plus est, une étude de Alexandra Henrion-Caude et de Dolores Cahill publiée en 2012 dans la revue PlosOne à propos de la vaccination sur les coronavirus des souris, a conclu que « la vaccination n’est pas le traitement adéquat pour ce type de virus, et ne devrait pas être administrée chez les humains ». Cette alerte devrait être prise en compte car, dans l’histoire de la biologie, on n’a encore jamais vu pour un vaccin, une fréquence aussi élevée d’effets indésirables suivis de décès.
En Europe et aux Usa par exemple, la vaccination de masse a été courageusement suspendue par endroits comme en Australie où les vaccinés ont été par la suite testés positifs au SIDA. Pourquoi l’Afrique devrait-elle se ruer, au mépris du principe de précaution, sur des vaccins OGM anti-Covid-19, expérimentaux, à acide nucléique, ou associés à des adjuvants toxiques comme l’aluminium ?
De par le monde, les biologistes, virologues, infectiologues et autres généticiens indépendants mettent en avant le discours scientifique et appellent au recul et à la prudence vis-à-vis des vaccins à ARNm ou contenant des adjuvants toxiques. Ces scientifiques sans conflits d’intérêts avec les fabricants des vaccins, sont au chevet des patients avec des poly thérapies efficaces qui rendent caduque l’administration ou l’imposition d’une vaccination de masse énigmatique.
Dès son lancement à travers le monde, le vaccin ARNm a causé beaucoup de préjudice dans la mesure où l’ARN peut devenir de l’ADN qui s’intègre au génome de l’hôte et cela est grave au regard des interactions nucléiques imprévisibles ! Quel que soit le vaccin choisi par le Sénégal, ARNm ou contenant de l’aluminium, parce que homologué par l’OMS, les fondamentaux de la santé qui exigent de « ne pas nuire en premier » se voient trahis par une politique sanitaire.
Vu qu’il va être difficile de convaincre la population afin d’obtenir son « consentement éclairé » pour adhérer au discours de la politique sanitaire Covid-19 et se faire vacciner, la conscience citoyenne doit s’apprêter à résister à toute forme d’arbitraire vaccinal qui risque de grossir les déconvenues des aventures vaccinales auxquelles l’Afrique tarde à mettre fin et qui hypothèquent le devenir sanitaire de ses populations encore victimes de la faiblesse de la prospective géopolitique de tout un continent.
Les nouveaux variants du SrasCov2 invitent plutôt à se focaliser sur le renforcement des défenses immunitaires et la diffusion des poly thérapies conventionnelles et traditionnelles qui font leur preuve à travers le monde notamment dans les pays africains qui ont homologué des solutions naturelles locales.
Envoyé par Marie-France de Meuron
Source : Lire l'article complet par Réseau International
Source: Lire l'article complet de Réseau International