Je crois qu’on ne dit pas « twerk » mais « mapouka », cette pratique étrange (du point de vue occidental) qui consiste pour les femmes de Côte d’Ivoire à remuer le gras de leurs grosses fesses au son de la boite à rythme ou du tam-tam.
Comme beaucoup de danses inventées par des noirs voire des mulâtres, elle consiste en une stimulation sexuelle assez proche visuellement de la copulation en public, même si elle est en général simulée.
On ne peut pas reprocher aux noirs de danser en rythme, ni une conception de la pudeur qui leur est propre, mais il faudrait condamner moralement les blanches qui s’abaissent à cette pratique si éloignée de l’esprit européen, sans même se rendre compte de l’abysse culturel dans lequel elles nous précipitent, alors qu’en plus elles ont rarement le physique.
Pour celles qui voudraient vraiment y remédier pour aguicher un noir, on dit en Afrique qu’il faut s’enfoncer un cube Maggi dans les fesses pour les faire grossir.
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