Lorsqu’on se penche (avec perspicacité) sur le cas des « élites intellectuelles » qui fomentent dans l’ombre de leurs universités, de leurs rédactions ou maisons d’édition, les nouvelles « morales » de demain, on tombe d’abord sur une bonne couche de raisonnements progressistes, libérateurs, déconstructeurs de vieux monde…
Puis on s’aperçoit que ces néo-communistes brassant lutte des classes et des races sont le clergé des puissances d’industrie. Et on finit par s’apercevoir que leur révolution passe par le révisionnisme culturel (exemple : en finir avec la statuaire et les arts grecs renouvelés à la Renaissance et prolongés jusqu’à récemment.) En finir avec le christianisme, la Shoa devenant un antéchrist ouvrant sur un monde luciférien où la charité n’a aucune place.
Lors d’un entretien d’embauche, le gars m’a demandé quelle était la valeur que je mettais en avant. Malgré moi j’ai dit « la charité ». Le mec est devenu hargneux : « vous voulez dire, la justice sociale ». Toujours malgré moi, j’ai insisté : « non, la charité… » Le mec a insisté, moi aussi. En sortant, je ne comprenais pas ce qui m’avait pris. Il m’a fallu du temps pour piger.
Soral a raison.
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