« Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain » ~ Napoléon Bonaparte, – 1769-1821
Le contrôle du monde par la mondialisation, le pouvoir de l’argent, de la finance et de la création monétaire appartient à une élite internationale juive et protestante.
« C’est un fait indiscutable, de rappeler que tous les juifs et protestants ne sont pas des financiers… Il n’y aurait de mal à en parler, faisons donc totale transparence, les faits étant les faits et il n’y a pas d’amalgame possible, on a affaire à une élite mondialiste qui se fout éperdument des peuples, des nations, ne pensant qu’à la domination par le pouvoir.
Nous ne sommes que du bétail, des esclaves, nous sommes tous concernés, chrétiens d’en bas, musulmans d’en bas, juifs d’en bas, nous avons tous les mêmes ennemis, nous devons nous unir, nous les peuples d’en bas, face à cette oligarchie mondialiste juive et protestante de la finance qui ne représente même pas 1% de la population mondiale.
Nous n’allons pas faire de la propagande anti-juive, mais anti oligarchie financière juive et protestante, nous n’allons pas utiliser les méthodes de manipulation de masse comme le fait la propagande des médias-menteurs-sionistes pour stigmatiser les musulmans. Nous ne sommes pas aussi cons…mais sachez que les médias-menteurs-sionistes n’hésiteront pas à accuser toutes recherches et toutes critiques sur la finance internationale comme étant de l’antisémitisme, mais paradoxalement, jamais ils ne diront que c’est de l’anti-protestantisme.
Nous ne pouvons pas les laisser diriger nos vies à ce point, c’est fini, maintenant c’est fini parce que nous serons de plus en plus nombreux à nous réveiller ».
Les quatre cavaliers du système bancaire américain (Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup et Wells Fargo) possèdent les quatre cavaliers du pétrole (Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP Amoco et Chevron Texaco) en tandem avec Deutsche Bank, la BNP, Barclays et d’autres anciens pontes européens de l’argent.
Mais leur monopole sur l’économie globale ne s’arrête pas aux limites des champs pétroliers.
D’après les déclarations d’entreprise 10K enregistrées avec la SEC (NdT : la commission boursière des contrôles , le « shériff » de Wall Street, ou ce qui devrait l’être), les quatre cavaliers de la banque sont parmi les 10 actionnaires majeurs de pratiquement toutes les entreprises figurant dans le gotha du Fortune 500.
Alors qui sont donc les actionnaires de ces banques centralisant l’argent ?
Cette information est gardée secrète de manière ferme. Mes demandes aux agences régulatrices bancaires concernant la question de savoir qui possède les actions des top 25 compagnies américaines tenant les actions des banques ont initialement reçu un status couvert par le Freedom of Information Act (NDT : loi sur la liberté de l’information, qui aux États-Unis prévoit d’empêcher le secret de l’information), avant d’être finalement refusées sous couvert de raisons de “sécurité nationale”.
Ceci est très ironique, sachant que bon nombre d’actionnaires résident en Europe.
Un des monuments de la richesse de l’oligarchie globale qui possède ces compagnies de holding bancaire est la US Trust Corporation, fondée en 1853 et maintenant propriété de Bank of America. Un des récents directeurs de l’US Trust Corporation et administrateur honoraire était Walter Rothschild. D’autres directeurs furent Daniel Davison de JP Morgan Chase, Richard Tucker d’Exxon Mobil, Daniel Roberts de Citigroup et Marshall Schwartz de Morgan Stanley.
J.W. McCalister, un membre éminent de l’industrie du pétrole avec des entrées dans la maison des Saouds, écrivit dans le Grim Reaper, qu’il a obtenu des informations de banquiers saoudiens, qui citaient le fait que 80% de la banque fédérale de New York, de loin la plus puissante branche de la réserve fédérale, étaient détenus par juste huit familles, dont quatre résident aux États-Unis.
Ce sont les familles :
– Goldman Sachs, (élite financière juive ashkénaze)
– Rockefellers, (élite financière protestante)
– Lehmans et (élite financière juive ashkénaze)
– Kuh Loebs de New York, (élite juive ashkénaze)
– les Rothschild de Paris et de Londres, (élite juive ashkénaze)
– les Warburg de Hambourd, (élite juive ashkénaze)
– les Lazards de Paris et, (élite juive ashkénaze)
– les Israëliens Moses Seifs de Rome. (élite juive ashkénaze)
CPA Thomas D. Schauf confirme les dires de McCallister, ajoutant que 10 banques contrôlent les douze branches de la réserve fédérale.
Il nomme :
– N.M Rothschild de Londres, (banque juive)
– Rotshschild Bank de Berlin, (banque juive)
– la banque Warburg de Hambourg, (banque juive)
– la banque Warburg d’Amsterdam, (banque juive)
– Lehmans Brothers de New York, (banque juive)
– Lazard Brothers de Paris, (banque juive)
– la banque Kuhn Loeb de New York, (banque juive)
– la banque Israel Moses Seif de Rome, (banque juive)
– Goldman Sachs de New York et (banque juive)
– la banque JP Morgan Chase de New York. (banque protestante)
Schauf également cite William Rockefeller, Paul Warburg, Jacob Schiff (élite juive ashkénaze) et James Stillman (élite juive ashkénaze) comme étant les individus qui ont le plus d’actions à tire individuel dans la réserve fédérale.
Les Schiffs sont étroitement liés à Kuhn Loeb, les Stillmans de Citigroup, qui se marièrent dans le clan Rockefeller au début du siècle.
Eustace Mullins arriva aux même conclusions dans son livre « Les secrets de la réserve fédérale », dans lequel il montre des diagrammes connectant la Fed et ses banques membres avec les familles Rothschild, Warburg, Rockefeller et autres.
Le contrôle exercé par ces familles sur l’économie globale ne peut pas être exagéré et est couvert volontairement du sceau du secret. Leur bras médiatique est prompt à discréditer toute information exposant ce cartel de banques privées comme étant une « théorie du complot ». Pourtant, les faits demeurent.
La maison Morgan (protestante)
La banque de la réserve fédérale est née en 1913, la même année que mourut J. Pierpont Morgan et que la fondation Rockefeller fut créée. La maison Morgan présidait sur la finance américaine depuis le coin de Wall Street et Broad, agissant déjà en quasi banque centrale américaine depuis 1838, quand Georges Peabody (protestant) la fonda à Londres.
Peabody était un partenaire d’affaires des Rothschilds. En 1952, l’enquêteur sur le Fed Eustace Mulins émit la suposition que les Morgans n’étaient de fait que les agents de Rothschild. Mullins écrivit que les Rothschilds « …préféraient opérer de manière anonyme aux etats-Unis derrière la façade de la JP Morgan and co« .
L’écrivain Gabriel Kolko écrivit « Les activités des Morgan en 1895-96 à vendre des bons du trésor or américains en Europe étaient basées sur une alliance avec la maison Rothschild ».
La pieuvre financière Morgan enroula rapidement ses tentacules autour du monde. Morgan Grenfell opérait depuis Londres. Morgan et Ce depuis Paris. Les cousins des Rothschilds Lambert montèrent Drexel et compagnie à Philadelphie.
La maison des Morgans étaient impliquées avec les Astors, DuPonts, Guggenheims, Vanderbilts et les Rockefellers. Elle finança le lancement de AT&T, de General Motors, General Electric et DuPont. Tout comme les banques de Londres Rothschild et Barings, Morgan devint partie prenante dans la structure de bon nombre de pays.
Dès 1890, la maison Morgan prêtait à la banque centrale d’Égypte, finançait les chemins de fer russes, renflouait les obligations du gouvernememt provincial du Brésil et finançait des travaux publics argentins. Une récession économique en 1893 renforça la puissance financière de Morgan. Cette année là, Morgan sauva les États-Unis d’une panique bancaire, formant un groupement pour remonter les réserves fédérales avec un envoi d’une valeur de 62 millions de dollars d’or des Rothschilds.
Morgan fut la force motrice derrière l’expansion occidentale des États-Unis, finançant et contrôlant les chemins de fer qui avançaient vers l’Ouest. En 1879 les chemins de fer centraux de New York, financés par Cornelius Vanderbilt-Morgan donnèrent des prix préférentiels à John D. Rockefeller pour son monopole pétrolier de la Standard Oil, scellant ainsi la relation Rockefeller/Morgan.
La maison Morgan alors tombe sous le contrôle familial Rothschild et Rockefeller. Un titre du New York Herald clame « Les géants du chemin de fer forment un trust gigantesque ». J. Pierpont Morgan qui déclara un jour « la compétition est un pêché » se réjouissait maintenant, « pensez un peu que tout le traffic ferrovière en compétition à l’Ouest de St Louis est placé sous le contrôle d’une trentaine d’hommes ».
Morgan et le banquier de d’Edward Harriman Kuhn Loeb obtenaient un monopole sur les chemins de fer, tandis que les dynasties banquières Lehman, Goldman Sachs et Lazard rejoignaient les Rockefellers à contrôler la base industrielle états-unienne.
En 1903, les huit familles établirent le Banker’s Trust. Benjamin Strong du même organisme fut le premier gouverneur de la banque de la réserve fédérale de New York. La création de la réserve fédérale en 1913 fusionna la puissance des huit familles à la puissance militaire et diplomatique du gouvernement américain. Si leurs prêts internationaux n’étaient pas repayés, les oligarques pouvaient maintenant déployer les fusiliers marins américains (NdT : traduction la plus proche pour « US Marines ») pour collecter les dettes. Morgan, Chase et Citibank formèrent une alliance internationale syndiquée de prêteurs sur gage.
La maison Morgan était dans les petits papiers de la maison Windsor britannique et de la maison italienne de Savoie. Les Kuh Loebs, Warburgs, Lehmans, Lazards, Israël Moses Seifs et Goldman Sachs étaient également très proches des maisons royales européennes. Dès 1895, Morgan contrôlait le flot d’or qui entrait et sortait des États-Unis. La première vague des fusions américaines étaient dans sa prime enfance et était promue par les banquiers. En 1897, il y eut 69 fusions d’entreprises industrielles. En 1899, il y en eut 1200. En 1904, John Moody, le fondateur de Moody’s Investor Services, dit qu’il était alors impossible de séparer les intérêts des Rockefellers et des Morgans.
La méfiance du public envers l’alliance se propagea. Beaucoup les considéraient comme des traitres à travailler avec le vieux système financier européen. La Standard Oil de Rockefeller, les aciers américains de Andrew Carnegie et les chemins de fer de Edward Harriman étaient tous financés par le banquier Jacob Schiff de Kuhn Loeab, qui lui travaillait en relations étroites avec les Rothschilds d’Europe.
Plusieurs états de l’ouest des États-Unis banirent les banquiers. Le populiste William Jennings Bryan fut trois fois le candidat présidentiel démocrate de 1896 à 1908. Le thème central de sa campagne anti-impérialiste fut de dire aux citoyens que les États-Unis étaient en train de tomber dans le piège de « l’esclavage financier au capital britannique ». Teddy Roosevelt battît Bryan en 1908, mais fut forcé à la suite de ce feu de brousse anti-impérialiste de faire passer le décret anti-trust. Il s’attaqua ensuite au trust de la la Standard Oil.
En 1912 eurent lieu les auditions Pujo, qui s’occupèrent des concentrations de pouvoir à Wall Street. La même année, Mme Harriman vendît ses parts substantielles de la banque du New York Guaranty Trust à J.P Morgan, créant ainsi Morgan Guaranty Trust. Le juge Louis Brandeis convainquît le présidfent Woodrow Wilson de terminer les situations d’inter-relations de comités directeurs. La loi anti-trust Clayton fut passée en 1914.
Jack Morgan le fils et successeur de J. Piermont, répliqua en demandant aux clients de Morgan Remington et Winchester d’augmenter la production d’armement. Il décida que les États-Unis devaient entrer dans la première guerre mondiale. Pressé par la fondation Carnégie et d’autres instances de l’oligarchie, Wilson céda. Comme Charles Tansill écrivit dans « L’Amérique s’en va en guerre » : « Même bien avant que la poudre ne parle, la firme française des frères Rothschild câbla à Morgan and co à New York suggérant le flottement d’un prêt de 100 millions de dollars, dont une partie substantielle serait laissée aux États-Unis pour payer les dépenses françaises pour des achats de produits américains ».
La maison Morgan finança la moitié de l’effort de guerre américain, tout en recevant des commissions pour avoir introduit des sous-traitants comme General Electric, DuPont, les aciers Américain, Kennecott et ASARCO. Tous étaient des clients de Morgan. Morgan finança également la guerre des Boers britannique en Afrique du Sud et la guerre franco-prussienne. La conférence de la paix de Paris en 1919 fut présidée par Morgan, qui mena les efforts de reconstruction à la fois de l’Allemagne et des alliés.
Dans les années 1930, le populisme refît surface après que Goldman Sachs, Lehman et autres banques eurent profité du crash de 1929.
Le président du comité bancaire du parlement américain Louis McFadden (démocrate-New York) dit de la grande dépression : « ce ne fut pas un accident. Ce fut planifié… Les banquiers internationaux pensèrent à créer une situation de désespoir afin de pouvoir en émerger comme nos dirigeants absolus ».
Le sénateur Gerald Nye (démocrate-Dakota du nord) présida une enquête sur les munitions en 1936. Nye conclua que la maison Morgan précipita les États-unis dans la première guerre mondiale pour protéger des emprunts et pour créer un essort de l’industrie de l’armement. Nye produisit plus tard un document dont le titre était « La prochaine guerre », qui réferrait cyniquement au « truc de le vielle déesse démocratie », par lequel le Japon pourrait-être dupé dans une seconde guerre mondiale. En 1937, le secrétaire à l’Intérieur Harold Ickes, mit en garde de « l’influence des 60 familles américaines ». L’historien Ferdinand Lundberg plus tard écrivit un livre ayant le même titre. Le juge de la cour suprême de justice William O. Douglas décria « l’influence de Morgan… la plus pernicieuse dans la finance et l’industrie aujourd’hui ».
Jack Morgan répondit en rapprochant les États-Unis de la seconde guerre mondiale. Morgan avait des relations très étroites avec les familles Iwasaki et Dan, les clans les plus riches du Japon, qui possédaient Mitsubishi et Mitsui respectivement, depuis que ces deux compagnies émergèrent des shogunats du XVIIème siècle. Quand le Japon envahit la Manchourie et massacra les paysans de Nankin, Morgan minimisa l’incident. Morgan avait aussi d’étroites relations avec le fasciste italien Benito Mussolini, tandis que le nazi allemand Dr. Hjalmer Schacht était la liaison entre la banque Morgan et l’allemagne durant la seconde guerre mondiale. Après la guerre, les représentants de Morgan rentrèrent Schacht à la Bank for International Settlements (BIS) à Bâle en Suisse.
La maison Rockefeller
La BIS (Bank for International Settlements) est la banque la plus puissante du monde, une banque centrale globale pour les huit familles qui contrôlent les banques centrales de presque toutes la nations occidentales et des pays en voie de développement. Le premier président de la BIS fut le banquier de Rockefeller, Gates McGarrah, un officiel de la Chase Manhattan Bank et de la réserve fédérale. McGarrah était le grand-père de l’ex-directeur de la CIA Richard Helms. Les Rockefellers, tout comme les Morgans, avaient des relations très étroites avec Londres. David Icke écrit dans « Les enfants de la matrix », que les Rockefellers et les Morgans n’étaient que des « prête-noms » pour les Rothschilds.
La BIS est une propriété de la Réserve fédérale, de la Banque d’Angleterre, de la Banque d’Italie, Banque du Canada, Banque de Suisse, Banque de Hollande, Banque fédérale allemande et la Banque de France…
L’historien Carroll Quigley écrivit dans son épique livre « Tragédie et Espoir » que la BIS faisait partie d’un plan, celui de « créer un système mondial de contrôle financier dans des mains privées et capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie du monde dans son entiereté… un contrôle s’exerçant de manière féodale par les banques centrales du monde agissant de concert à travers des accords secrets ». Le gouvernement américain avait une méfiance historique à l’égard de la BIS, et fit pression sans succès pour qu’elle soit abandonnée en 1945 à la conférence de Bretton-Woods. Au contraire de cela, la puissance des huit familles fut exacerbée avec la création par la conférence de Bretton-Woods du FMI et de la Banque mondiale. Le banque fédérale américaine ne prit des parts à la BIS qu’en Septembre 1994.
La BIS détient au moins 10% des fonds de réserve d’au moins 80 banques centrales au monde, du FMI et autres institutions multilatérales. Elle sert d’agent financier pour les accords internationaux, collecte les informations sur l’économie globale et sert de prêteur ou de dernier rempart pour éviter un effondrement financier global général. La BIS fait la promotion d’un agenda de fascisme monopolistique capitaliste. Elle donna un prêt de soudure à la Hongrie dans les années 1990 pour assurer la privatisation de l’économie de ce pays. Elle servit de canal de financement d’Adolf Hitler pour les huit familles, emmené par Henry Schroeder des Warburgs et la banque Mendelsohn d’Amsterdam. Un certain nombre de chercheurs assument que la BIS est en fait le centre du blanchiement d’argent du trafic de drogue global.
Ce n’est pas une coïncidence si la BIS a son QG en Suisse, la cache financière préférée pour la richesse de l’aristocratie globale et quartier général de la loge franc-maçonne P2 italienne Alpina et Nazi International. D’autres institutions que contrôlent les huit familles inclues le Forum économique mondial (Davos NdT), la Conférence monétaire internationale et l’Organisation mondiale du Commerce (OMC).
Bretton Woods fut une aubaine pour les huit familles. Le FMI et la Banque mondiale étaient centrales à ce « Nouvel Ordre Mondial ». En 1944, les premiers bons de la banque mondiale furent amenés par Morgan Stanley et la First Boston. La famille française Lazard devint plus impliquée dans les intérêts de la maison Morgan. Lazard Frères, la banque d’investissement la plus importante de France, est la propriété de Lazard et des familles David-Weill, vieille tradition bancaire de Gênes représentée par Michelle Davive. Un directeur récent et PDG de Citigroup fut Sanford Weill.
En 1968, Morgan Guaranty lança Euro-Clear, une banque basée à Bruxelles spécialisée dans le système de négoce des sécurités Eurodollar. Ce fut la première aventure automatique. Certains appelèrent Euro-Clear « la bête ». Bruxelles sert de QG pour la nouvelle Banque centrale européenne (BCE) et pour l’OTAN. En 1973, les officiels de Morgan se rencontrèrent secrètement aux Bermudes pour opérer la résurrection illégale de la vieille maison Morgan, 20 ans avant que la loi Glass Steagal fut abandonnée. Morgan et les Rockefeller donnèrent l’apport financier de départ pour Merrill Lynch, la propulsant dans le top 5 des banques d’investissement américaines. Merrill Lynch est maintenant une partie de Bank of America.
John D. Rockefeller utilisa sa richesse du pétrole pour acquérir Equitable Trust, qui avait absorbé plusieurs grandes banques et entreprises dans les années 1920. La grande dépression de 1929 aida Rockefeller à consolider sa puissance. Sa banque Chase, mergea avec la Banque de Manhattan de Kuhn Loeb pour former la Banque Chase Manhattan, ainsi cimentant une relation familiale de longue durée. Les Kuhn-Loeb avaient financé, avec les Rothschilds, la quête de Rockefeller pour devenir le roi du pétrole. La banque national City Bank de Cleveland donna les fonds à John D. Rockefeller dont il avait besoin pour s’embarquer dans le monopole de l’industrie pétrolière américaine. La banque fut identifiée dans une enquête du congrès comme étant une des trois banques des Rothschilds aux États-Unis dans les années 1870; quand John D. créa pour la première fois la Standard Oil dans l’état de l’Ohio.
Un des associés de Rockefeller dans la Standard Oil était Edward Harkness dont la famille fut amenée à contrôler Chemical Bank. Un autre fut James Stillman, dont la famille contrôlait Manufacturers Hanover Trust. Les deux banques ont mergé sous l’ombrelle de JP Morgan Chase. Deux des filles Stillman marièrent deux des fils de William Rockefeller. Les deux familles contrôlent une grosse part de Citigroup également.
Dans les affaires des assurances, les Rockefellers contrôlent Metropolitan Life, Equitable Life, Prudential and New York Life. Les banques de Rockefeller contrôlent 25% de tous les biens des 50 plus grandes banques commerciales des États-Unis et 30% de tous les biens des 50 plus grosses compagnies d’assurance aux États-Unis.
Les compagnies d’assurance, la première aux États-Unis fut créée par les franc-maçons, jouent un rôle important dans la donne de l’argent de la drogue aux Bermudes.
Les entreprises sous contrôle des Rockefeller incluent Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoran, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Honeywell, International Paper, Pfizer, Mororola, Monsanto, Union Carbide et General Foods.
La fondation Rockefeller a des liens très étroits avec les fondations Carnegie et Ford. D’autres aventures philanthropiques de la famille incluent le fond des fréres rockefeller, Rockefeller Institute for Medical Research, General Foundation Board, Rockefeller University et l’Université de Chicago, qui vomit régulièrement un flot continue d’économistes d’extrême droite, apologistes du capital international, incluant Milton Friedman.
La famille possède 30 Rockefeller Plaza, où l’arbre de Noël national est allumé chaque année et le Centre Rockefeller. David Rockefeller fut instrumental dans la construction des tours du WTC. La maison de famille des Rockefeller est un complexe dans la partie bourgeoise de New York appelée Pocantico Hills. Ils possèdent également un duplex de 32 pièces sur la 5ème avenue à Manhattan, un manoir à Washington DC, le ranch Monte Sacro au Vénézuéla, des plantations de café en Equateur, plusieurs fermes au Brésil, une grande propriété à Seal Harbor, dans le Maine et des stations balnéaires dans les Caraïbes, Hawaïï et à Porto Rico.
Les familles Dulles et Rockefeller sont cousines. Allen Dulles créa la CIA, assista les nazis, couvra l’assassinat de Kennedy de la commission Warren et fît une alliance avec la confrérie des Frères Musulmans pour créer des assassins conditionnés.
Son frère John Foster Dulles, fut président des trusts bidon de la Goldman Sachs avant l’effondrement de la bourse en 1929 et aida son frère à renverser des gouvernements au Guatémala et en Iran. Tous deux étaient membres de la société secrète Skull & Bones, du Conseil en Relation Etrangère (CFR) et franc-maçons au 33ème degré.
Les Rockefellers furent les instruments pour former le club de Rome et son agenda de dépopulation, dans leur propriété familale de Bellagio en Italie. Leur propriété de Pocantico Hills donna naissance à la Commission Trilatérale. La famille est une pourvoyeuse de fonds importante pour le mouvement eugéniste, qui accoucha d’Hitler, du clonage humain et de la forme courante d’obsession génétique sur l’ADN qui court dans les cercles scientifiques américains.
John Rockefeller Junior fut à la tête du conseil de la population jusqu’à sa mort.
Son fils du même nom est un sénateur élu pour la Virginie de l’Ouest. Son frère Winthrop Rockefeller fut lieutenant gouverneur d’Arkansas et demeure l’homme le plus puissant de cet état. Dans une interview avec le magazine Playboy en Octobre 1975, le Vice-président Nelson Rockefeller, qui était aussi gouverneur de l’état de New York, articula les vues globalistes et arrogantes de sa famille de cette façon : « Je crois absolument dans une planification mondiale totale de l’économie, des affaires sociales, de la politique, de l’armée… »
Mais de tous les frères Rockefeller, c’est le fondateur de la commission trilatérale et président de la Banque Chase Manhattan David qui propulsa l’agenda fasciste de la famille sur la scène globale. Il défendît le Shah d’Iran, le régime d’apartheid d’Afrique du Sud, et la junte militaire de Pinochet au Chili. Il fut le plus grand financier du CFR, de la commission trilatérale et (pendant la guerre du Vietnam), du comité pour une paix effective et durable en Asie, une aventure affairiste pour ceux qui faisaient leur argent et vivaient du conflit.
Nixon lui proposa d’être son secrétaire au trésor (ministre des finances, NdT), mais Rockefeller déclina l’offre, sachant que sa puissance était bien supérieure en étant à la tête de la banque Chase Manhattan. L’écrivain Gary Allen écrivit dans son livre « Le dossier Rockefeller » en 1973 : « David Rockefeller a rencontré 27 chefs d’état, incluant les dirigerants de la Chine et de l’URSS ».
En 1975, après Le coup de la Nugan Hand Bank et de la CIA contre le premier ministre australien Gough Whitlam, son successeur nommé par la couronne britannique se dépêcha d’aller aux Etats-Unis où il rencontra Gerald Ford après avoir rencontré David Rockefeller.
[à suivre…]
source : http://endettementdesnations.blogspot.fr/2011/08/le-cartel-de-la-fed-les-8-familles-les.html
Pour conclusion, méditons sur leurs propres écrits
Rothschild :
« Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois ».
James A. Garfield, Président des États-Unis, assassiné :
« Celui qui contrôle le volume de la monnaie dans notre pays est maître absolu de toute l’industrie et tout le commerce… et quand vous réalisez que le système entier est très facilement contrôlé, d’une manière ou d’une autre, par une très petite élite de puissants, vous n’aurez pas besoin qu’on vous explique comment les périodes d’inflation et de déflation apparaissent ».
Woodrow Wilson, Président des États-Unis – 1913-1921
(après avoir déplacé le pouvoir financier de l’État aux banques privées) :
« Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé. La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités, sont entre les mains de quelques hommes. Nous en sommes venus à être un des gouvernements les plus mal dirigés du monde civilisé un des plus contrôlés et dominés non pas par la conviction et le vote de la majorité mais par l’opinion et la force d’un petit groupe d’hommes dominants ».
Sir Josiah Stamp, Directeur de la Banque d’Angleterre 1928-1941 (Réputé 2e fortune d’Angleterre à cette époque) :
« Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et en un tour de mains ils créeront assez d’argent pour la racheter. Ôtez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits ».
Charles A. Lindbergh :
« Le système financier est devenu la Banque centrale américaine (Federal Reserve Board). Cette banque centrale gère un système financier au moyen d’un groupe de purs profiteurs. Ce système est privé et son seul objectif consiste à réaliser les profits les plus énormes possibles en utilisant l’argent des autres. Cette loi (de la Réserve fédérale) démontre la plus grande preuve de confiance au monde. Lorsque le président signe cet acte, il légalise le gouvernement invisible par le pouvoir monétaire. Les personnes ne s’en rendent peut-être pas compte pour le moment mais le jour du jugement n’est plus qu’à quelques années, le jour du jugement de cet Acte qui représente le pire crime de tous les temps commis au nom de la loi par l’intermédiaire d’un projet de loi« .
Henry Ford :
« Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin ».
Louis McFadden :
« Nous possédons dans ce pays l’une des institutions les plus corrompues que le monde ait jamais connu. Je veux parler de la Banque centrale américaine. Cette institution a appauvri les citoyens des États-Unis et a presque mené notre gouvernement à la faillite. Tout ceci est dû aux pratiques frauduleuses des vautours qui contrôlent cette situation. Un super état dirigé par les banquiers et les industrialistes internationaux qui s’associent avec plaisir pour asservir le monde« .
Robert H. Hemphill, gestionnaire de crédits, Fed, Atlanta, Géorgie :
« Si les banques créent assez d’argent synthétique, nous prospérons ; sinon, nous sombrons dans la misère. Nous sommes, définitivement, sans système monétaire permanent. Quand on a une vision complète de l’ensemble, l’absurdité tragique de notre position désespérée est presque incroyable, mais il en est ainsi ».
1924US Banker’s Association Magazine :
« Le capital doit assurer sa propre protection par tous les moyens possibles, grâce à la coalition et à la législation. Les dettes doivent être collectées et les hypothèques interdites le plus rapidement possible. Lorsque les personnes ordinaires perdent leurs maisons à travers le processus de la loi, elles deviennent plus dociles et peuvent plus facilement être dirigées grâce au bras fort du gouvernement représenté par les principaux acteurs financiers et par une puissance centrale due aux richesses. Ces vérités sont bien connues de nos principaux intervenants qui s’appliquent désormais à créer un impérialisme permettant de gouverner le monde. En divisant les votants grâce au système de partis politiques, nous les manipulons afin qu’ils dépensent toute leur énergie pour des problèmes n’ayant aucune importance. C’est donc grâce à une action discrète que nous garantirons la pérennité de ce que nous avons si bien planifié et accompli ».
Lord Acton,Lord Chief Justice of England, 1875 :
« Le problème récurrent au cours des siècles derniers et qui devra être réglé tôt ou tard est celui du conflit qui oppose le Peuple aux banques ».
Phillip A. Benson, Président de l’American Bankers’ Association, 8 juin 1939 :
« Il n’existe pas de moyen plus efficace pour prendre le contrôle d’une nation que de diriger son système de crédit (monétaire) ».
Andrew Gause, historien de la monnaie :
« Une chose à comprendre à propos de notre système de réserve fractionnaire est que tel lors d’un jeu de chaises musicales, aussi longtemps que la musique tourne, il n’y a pas de perdants ».
Irving Fisher, économiste et auteur :
« Ainsi notre moyen national d’échange est maintenant à la merci des transactions de prêts des banques, qui prêtent, non pas de l’argent, mais des promesses de fournir de l’argent qu’elles n’ont pas ».
En fallait-il plus…
source : http://21decembre2012.over-blog.com
via https://numidia-liberum.blogspot.com/
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