Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pikist
Le Center for Desease Control américain aurait gonflé les chiffres de mortalité du covid-19 aux États-Unis par 1600 %, notamment, rapporte The Gateway Pundit, grâce à la manipulation des règles d’enregistrement des décès, aux tests peu fiables, à l’enregistrement de cas de covid-19 non certifiés et autres absurdités :
- La CDC a admis que les tests PCR pouvaient donner un résultat positif quand la personne présentait les anticorps correspondant à une famille de virus causant le rhume commun… combien de gens n’ont-ils pas attrapé le rhume ?
- Notez également que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a récemment indiqué (le jour même de l’investiture de Biden) que les tests PCR n’étaient pas fiables (à cause du nombre exagéré de cycles d’amplification).
- Des protocoles utilisés pendant des décades ont été changés sans explication le 24 mars 2020, la CDC publiant le document NVSS COVID-19 Alert No. 2 instruisant les examinateurs médicaux, les procureurs et les médecins d’indiquer dans la Partie I du rapport de décès le covid-19 en tant que cause principale, indifféremment des autres causes, au lieu de l’inscrire dans la Partie II comme cause concurrente en présence de causes préexistantes. Par conséquent, les chiffres officiels de la CDC sur la mortalité liée au covid-19 ont enflé d’au moins 1600 %.
- D’autre part, le 14 avril 2020, la CDC a adopté un règlement exclusif au covid-19, en violation à la loi fédérale, confiant la réglementation de la collecte de données au Council of State and Territorial Epidemiologists (CSTE), organisme à but non lucratif, qui avait publié un document le 5 avril 2020 intitulé Standardized surveillance case definition and national notification for 2019 novel coronavirus disease (COVID-19), qui devint donc la base de nouvelles réglementations le 14 avril, faisant compter les cas probables de covid-19 comme cas réels sans preuve définitive d’infection. De plus, le document en question permis de nouvelles règles pour la recherche des contacts permettant aux chercheurs de contacts d’exercer la médecine sans permis… refusant de surcroît de créer de nouvelles règles pour éviter qu’une même personne fût compter plusieurs fois.
Tous les points énumérés ne sont qu’un simple résumé d’une étude revue par les pairs publiée de l’Institute for Pure and Applied Knowledge (IPAK) et du Public Health Policy Initiative (PHPI).
Et au Québec ? Qu’en est-il de notre belle province ? Nous avons déjà un vague aperçu de méthodes semblables ― comme le fameux lien épidémiologique d’Arruda…
Aussi, si cela n’indique pas une incompétence crasse, cela cache une volonté d’employer une « crise » fabriquée de toute pièce dans un but précis.
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