2021 après Jésus-Christ. Un millésime digne d’un roman de science-fiction même si on n’est pas du tout certains si l’an 2021 avant Jésus-Christ ne fut pas celle où l’humanité était probablement bien plus avancée que celle d’aujourd’hui. A 4042 années de distance, le doute est toujours permis. Qu’à cela ne tienne. Le monde aurait disparu plusieurs fois depuis cette date lointaine. C’est-à-dire qu’il y a eu de nombreuses fins du monde tels que les hommes l’avaient perçu à une époque particulière. Le notre, dit contemporain, se serait donc arrêté en 1948, puis en 1990. Fausses alertes d’idéologues illuminés. Des illuminés ne pouvant survivre que dans l’obscurité de cénacles moisis ayant tenté d’usurper les lumières d’un esprit humain éteint neuf fois sur dix depuis la nuit des temps. L’ère des lumières n’a jamais existé. Des fragments d’un savoir ancien perdu se sont retrouvés entre les mains de quelques personnes devenues célèbres dans l’histoire de l’épistémologie scientifique. Newton était plus versé dans les sciences occultes qu’en physique et sa quête ésotérique l’avait mené à chercher à connaître la « magie » égyptienne antique pour laquelle la gravitation universelle ne devait avoir aucun secret. L’anecdote de la pomme ne précise point que Newton était en train de lire une traduction d’un ouvrage écrit vers l’an 1000 après Jésus-Christ décrivant les 12 sphères célestes (le Soleil, la Lune et DIX planètes) que le savoir ancien des Nabatéens et des Akkadiens, lui même dérivé de celui des Sumériens, avaient déjà recensés en des temps immémoriaux. Trois siècles après Newton, la science officielle et donc politiquement correcte (la nouvelle inquisition) a arbitrairement réduit le nombre de planètes de notre système solaire à huit en y excluant Pluton, une planète tellurique mal connue et fort intéressante d’après les images en fausses couleurs de la sonde Horizons. Exit aussi les autres « planetoïdes » comme Cérès, un monde océanique (subterranéen) de la ceinture d’astéroïdes principale entre les orbites de Mars et de Jupiter. Par un curieux hasard, ce monde que l’on soupçonne d’abriter des formes de vie rappelle, dans les croyances babyloniennes, Tiamat, ou TamTum dont est dérivé Θαλάττη ou ثلاثة، le principe de l’eau salée primordiale, qui donnera plus tard le terme grec Θάλασσα ou Thalassa, et dont Zakaria Sitchin a utilisé le nom pour designer une planète située entre Mars et Jupiter, qu’une autre planète, planète X ou Nibiru, située au delà de Neptune aurait détruite pour engendrer la ceinture d’astéroïdes ainsi que la terre et la lune dans son interprétation du symbolisme et l’iconographie mésopotamienne (non reconnue par la science officielle).
Plus proche de nous, les chinois semblent déterminés à s’installer sur la lune et aller au delà dans des délais assez courts. La Russie veut envoyer des cosmonautes en orbite autour de la lune avant le deuxième semestre 2023 même si cet exploit a été réalisé en décembre 1968 par La mission Apollo 8. SpaceX semble avoir des projects forts prometteurs end matiere de fusées réutilisables et de missions habitées vers la lune et Mars.
Sur terre, le confinement des populations semblent avoir été conçu pour durer. Ce confinement est impossible à appliquer en l’état. La course aux vaccins anti C-19 semblent être une petite ruée vers l’or et la valeur de ce métal précieux ne cesse d’augmenter. Le conflit semble être l’état naturel du zoon politikon.
2021 marquera la dixième année d’existence de Strategika51. Après une décennie de présence, Strategika51 va encore vous accompagner en adoptant une approche plus large et surtout plus incisive.
Avec un très léger retard, Strategika 51 vous souhaite une bonne année 2021 en souhaitant que les scénarii prévus en matière de guerre hybride universelle et autres campagne d’ingénierie sociale par le chaos échouent. C’est le seul moyen d’éviter le pire pour un monde en pleine dérive.
Que la paix et l’ataraxie soient avec vous tous!
Source: Lire l'article complet de Strategika 51