Récemment, incités par certaines forces anti-chinoises occidentales, les mensonges sur le dossier du Xinjiang (nord-ouest de la Chine) ont été à nouveau propagés dans des médias occidentaux.
Centre for Global Policy, un groupe de réflexion américain, a publié le 15 décembre un rapport prétendant que plus d’un demi-million de citoyens ouïgours sont contraints de cueillir du coton au Xinjiang, en Chine. Le Parlement européen a adopté une résolution le 17 décembre, attaquant le gouvernement chinois pour avoir « forcé à travailler » des minorités ethniques telles que les Ouïgours du Xinjiang.
En fait, le soi-disant « travail forcé » constitue un mensonge pur et simple, œuvre de certaines personnes hostiles à la Chine et de leurs « manipulateurs ». Ils ont délibérément confondu l’aide du gouvernement chinois à travers la création d’emplois stables aux ethnies du Xinjiang à ce qu’ils considèrent « travail forcé ». Leur but consiste à brouiller les choses, à ternir l’image de la Chine, à créer la discorde entre les différentes ethnies chinoises et à entraver le développement de la Chine.
Dernièrement, la Chine a publié le livre blanc « Sécurité de l’emploi au Xinjiang » et d’autres documents tels que « Rapport d’enquête sur l’emploi des minorités ethniques au Xinjiang ». Comme l’indique la partie chinoise dans ces documents pertinents, qu’il s’agisse de consulter le souhait de la population sur l’emploi et une formation professionnelle et de créer une plateforme de liaison pour les informations concernées, tous les efforts d’aider la population à trouver un emploi prises par les autorités locales du Xinjiang suivent le principe du libre consentement. Il n’existe pas de travail forcé. Par exemple, selon les résultats d’une enquête officielle chinoise dans quatre villages de la région de Kashgar et de Hotan, la propension moyenne des villageois à travailler volontairement hors de leur domicile s’élève à 86,5%. Grâce à la politique de l’emploi, tous les habitants pauvres du Xinjiang, sont sortis de la pauvreté selon les normes en vigueur.
Cependant, pour ceux qui se livrent à des activités anti-chinoises pour gagner leur vie, les faits et la vérité n’ont aucune importance, le montage et la vente de fausses informations sont leur « priorité ». C’est le cas, entre autres, du nouveau rapport du groupe de réflexion américain dont le principal opérateur n’est autre que l’Allemand Adrian Zenz de triste renom. Bien qu’il ait été présenté par certains médias occidentaux comme un « fin spécialiste » du Xinjiang, sa véritable identité est un élément pilote antichinois soutenu par les services de renseignement américains. En ce qui le concerne, des révélations ont été faites par des médias, précisément le site d’information indépendant américain The Grayzone, et il est probable que beaucoup de gens le connaissent bien.
Il est important de noter que la haute médiatisation de l’affaire de « travail forcé » au Xinjiang montre qu’il existe une chaîne mise en place pour discréditer le Xinjiang en Occident : tout d’abord, des groupes de réflexion sans conscience et des soi-disant experts rédigent des rapports, puis certains médias occidentaux les suivent. Ensuite, certains politiciens anti-chinois s’en servent pour proférer des menaces, voire menacer des sanctions contre la Chine.
Au cours de la 45ème session du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies en septembre dernier, les représentants de nombreux pays ont affirmé que les mesures chinoises appliquées dans le Xinjiang avaient effectivement éliminé tout risque des actions terroristes dans cette région. Ainsi, toutes les considérations malsaines consistant à salir le Xinjiang seront vouées à l’échec. Tout acte de manipulation politique et d’ingérence dans les affaires intérieures de la Chine à travers la question du Xinjiang sera décidément voué à l’échec !
source : http://french.cri.cn/
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