Nous n’avons plus confiance !

Nous n’avons plus confiance !
Nous n’avons plus confiance !

par Jean Goychman.

Depuis des mois, maladresses, fausses nouvelles et pantalonnades se sont succédées. La COVID 19 est passée du stade de « gros rhume » à celui de la « pandémie » ravageuse qui allait décimer l’humanité et cela en quelques semaines. Les masques sans lesquels nous ne pouvons plus traverser notre jardin ou notre salle à manger étaient qualifiés d’inutiles voire de dangereux lorsque la France en manquait (pourquoi en manquions-nous, véritable énigme toujours irrésolue ?) et, pire encore, leur non-port est devenu un quasi-délit.

D’un dimanche 15 mars où nous devions (car il s’agit d’un devoir) aller voter, nous nous retrouvions cloîtrés chez nous, même si la laïcité a imposé le terme « confinés » dès le mardi matin. Cette liberté, qui figure pourtant en toutes lettres sur le fronton de nos mairies et parfois de nos écoles, nous l’avions bel et bien perdue, au nom d’un danger qu’apparemment, pauvres crétins que nous étions, ne pouvions mesurer l’étendue.

Des conséquences non calculables, encore que…

Du jour au lendemain, nous étions « aux arrêts » comme on dit dans l’armée, tandis que le pays était « à l’arrêt ». Pour faire passer encore la pilule, notre président avait eu les mots magiques : nous étions en guerre, et nous devions la gagner, quel que soit le coût !

Adieu la rigueur budgétaire, pourtant incontournable quelques jours avant. Rigueur au nom de laquelle tout notre système de santé avait pourtant été mis à mal depuis des années. Envolées, les tirades moralisantes du style : « on en peut pas dépenser l’argent qu’on a pas » ou encore les actions revendiquées d’économie comme la baisse de 5 euros sur APL…

Nous sommes instantanément passés de la pingrerie comptable à une sorte « d’open-bar » à tous les étages. L’argent-hélicoptère des années 60 de Milton Friedman, le père de l’école ultra-libérale de Chicago, allait tomber du ciel. Pour ceux qui le pouvaient, le télétravail allait devenir le mode normal, et pour les autres, on les paierait quand même.

Après nous avoir dit pendant des décennies que la dette allait nous réduire à la servitude, nous et nos enfants, voilà maintenant qu’elle répandait sur nous ses bienfaits salvateurs.

La controverse de la chloroquine

Alors que les ravages de l’épidémie et le dénuement dans lequel se trouvait notre pays face à ce péril invisible et sournois, il apparut qu’un remède utilisé partout dans le monde depuis des temps immémoriaux, en vente libre et, de surcroît, ne coûtant presque rien, pouvait, sinon guérir, du moins minimiser les effets de cette troublante maladie. Or, il se trouve que, soi-disant par le plus grand des hasards, ce remède avait été classé comme vénéneux, c’est-à-dire dangereux, au début de l’année. Je veux parler de l’hydroxychloroquine, commercialisée sous le nom de « Plaquenil ». Un professeur en médecine marseillais, nommé Didier Raoult, l’avait utilisé avec un certain succès, pour traiter des patients en début d’infection et avait complété ce traitement avec un antibiotique, l’Azytromicine.

Chercheur expérimenté, il avait simplement voulu respecter le serment d’Hippocrate et pensait, non sans raison, qu’un médicament utilisé par des milliards d’individus ne faisait pas vraiment courir de risque à ceux auxquels il était prescrit.

Erreur, fatale erreur, l’incontournable et omnipotent « Ordre des Médecins » ne pouvait laisser passer un tel manquement aux us établis… Ce fut une levée en masse contre une telle initiative qui troublait cet ordre séculaire. Les quidams que nous sommes n’y comprirent rien. Où était le mal ?

Naïfs que nous étions, peu au fait des pratiques en cours, on trouvait cela plutôt bien. Après tout, si ce truc là fonctionnait, pourquoi pas ?

Puis il y eut le « Remdesivir ».

Nous n’avions, là, non plus, rien contre.

La pantalonnade du Remdesivir

Le spectacle auquel nous avons assisté a été lamentable. En fait, d’après l’OMS en personne, ce médicament, tout comme l’avait prédit le Pr Raoult, ne marchait pas et on apprit un peu plus tard qu’il avait été fait pour toute autre chose par le laboratoire Gilead. Cela n’empêcha pas les instances européennes de le commander en quantité. Tout ceci n’était qu’une affaire de « gros sous ».

La courbe ci-dessous, publiée par le journal le Monde, se passe de commentaires.

Encore une fois, nous avions le sentiment d’être pris par des imbéciles et que notre argent, en tant que contribuables européens, avait été détourné.

Un malaise de plus en plus profond

Qui se fait sentir jour après jour. Après nous avoir annoncé au mois de juin que « le gros de l’épidémie était derrière nous », nous nous sommes trouvés de nouveau confinés en octobre.

La publication jour après jour de données montrant une progression vertigineuse du nombre de cas contaminés avait généré une peur propice à nous faire accepter sans broncher cette seconde privation de libertés alors que le premier ministre en personne avait dit le 26 août qu’un second confinement serait « pire que tout ».

Or, ce nombre de cas est essentiellement lié au nombre de tests effectués, ce qui est une évidence.

Pourtant, on ne parle jamais du nombre de personnes testées. Pourquoi ?

Enfin, le nombre de médecins invités à donner leur avis sur les plateaux de télévision et qui ont souvent des opinions divergentes ne fait qu’accroître encore une confusion déjà généralisée.

D’autant plus que seul le véritable rapport de contact entre le patient et le généraliste peut engendrer la confiance indispensable à l’acceptation d’un traitement. Encore faut-il que cette confiance ne soit pas sapée par le spectacle de praticiens donnant des opinions divergentes et dont les liens avec certains laboratoires ne sont peut-être pas toujours clairement mentionnés.

Comment pourrait-on leur faire confiance pour les vaccins ?

C’est le dernier épisode, et il dépasse de loin les précédents de ce mauvais feuilleton. Alors qu’on nous répète à satiété que la mise sur le marché d’un vaccin est toujours très longue, de l’ordre de plusieurs années, voila-t-il pas qu’on nous annonce les premières disponibilités pour janvier 2021.

Le hic, c’est que certains spécialistes de ce domaine nous font part de leurs doutes, essentiellement liés au fait qu’ils ne disposent d’aucune information précise sur ce vaccin. Et c’est « Monsieur vaccin » lui-même qui va porter l’estocade pour la même raison. On croit rêver, ou plutôt cauchemarder. Dans moins d’un mois, des gens (même s’ils sont actuellement dans des EPHAD) vont se voir inoculer des vaccins de type nouveau sans savoir quelles pourraient être les conséquences ?

On ne peut évidemment pas supposer que ce choix, qui paraît curieux en raison de l’efficacité décroissante avec l’âge, soit le résultat d’un calcul sordide qui se justifierait par les espérances de vie réduites de cette population feraient que des effets secondaires à long termes resteraient ainsi dissimulés…

Alors, on comprend pourquoi nous n’avons plus confiance en rien ni personne.

Réseau International

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Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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