Un Mal qui répand la terreur,
Mal que l’ÉTAT en sa fureur
Inventa pour punir les peuples de la Terre
Le COVID (nous dirons là ce nom pas beau)
Capable d’enrichir en un jour les Labos)
Faisait aux terriens la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous en suffoquaient
On n’en voyait point démasqués
À rechercher le vent du large
La Loi interdisait les plages
L’État avait fait verrouiller les mers !
Ô Temps maudits ! Ô vent amer !
Comment endurer cette vie
Volontairement asservie !
Où donc est passée leur passion ?
Hommes et femmes sont sans joie
L’amour n’entre plus dans leur voie
Ils marchent dans cette machine à Sion
Ils marchent, ne comprenant pas leur peine
Et tremblent plutôt qu’avoir la Haine
Le Lion Raoult rugit et dit : « Mes chers amis,
Je crois que le Big Pharma a permis
Par notre peur cette infortune
Et la raison gardée pourrait la guérison
Surtout pas de garder la maison
Telle serait notre loi commune
Avec bien sûr l’hydroxychloroquine. »
Et l’Histoire ajoute, la coquine :
Jette sur la table d’autopsie
Le cadavre médico-légal !
Ouvre ses entrailles rancies,
Tu y verras…. le Capital !
Faux ! brait l’Âne aux grandes oreilles,
Qui proposa cette merveille
D’ânerie de relier les Soviets au Reset !
Cette doctrine fit florès, on lui fit aussitôt risette !
Un anti-bolchevisme repoussa
Comme le poil de la bête
Et l’on revit quelques poussahs
Repartir sur leurs gambettes
Vers les steppes désolées et stériles
De leur pensée désolante et débile.
La Fontaine, Ibara et Félix
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