Contre le Covid-19, le Royaume-Uni réglemente les relations sexuelles

Contre le Covid-19, le Royaume-Uni réglemente les relations sexuelles
Contre le Covid-19, le Royaume-Uni réglemente les relations sexuelles

par Audrey Lallement.

Afin de lutter contre la propagation de l’épidémie de Covid-19, le gouvernement britannique a édicté une réglementation concernant les bulles sociales. Surnommée « sex ban », elle pose un cadre aux relations sexuelles.

En Grande-Bretagne, le gouvernement a mis en place des règles permettant de savoir avec qui l’on peut rester en contact et avoir – entre autres – des relations intimes. Cette règlementation a été surnommée « sex ban » et a été mise en place afin de lutter contre la propagation de l’épidémie de Covid-19.

Qu’est-ce que le « sex ban » ?

Si vous trouvez qu’en France le gouvernement pousse le bouchon un peu trop loin avec les gestes barrières, la distanciation sociale et le confinement, sachez qu’en Grande-Bretagne on va encore plus loin. La population est priée de ne pas socialiser avec des personnes extérieures à son foyer ou en dehors de celles avec qui l’on a formé une « bulle sociale » (amis proches, collègues de travail)[1]. Au niveau de la vie intime cela pose un réel problème pour les couples vivant séparément au sein de zones à haut risque ou les personnes qui souhaiteraient faire des rencontres.

Cette nouvelle règle qui interdit à un individu d’avoir des rapports sexuels avec une personne extérieure à sa bulle sociale, a été surnommée « sex ban » c’est-à-dire « interdiction de sexe ». Elle pose bien évidemment question concernant la place du gouvernement britannique dans la vie privée de sa population.

Briser la chaîne de transmission

Les rencontres comme vecteur de transmission du Covid-19 – © Alex Ruhl

Selon le porte-parole officiel du Premier ministre Boris Johnson, « le but des mesures mises en place est de briser la chaîne de transmission entre les ménages et que les avis scientifiques indiquent que la transmission du virus est plus importante à l’intérieur des habitations ».

Le porte-parole a aussi précisé que si les couples peuvent se rencontrer à l’extérieur, ils doivent maintenir une distance sociale, porter des masques faciaux et éviter de se toucher. Ce qui limite franchement les contacts ! Par ailleurs, il a exhorté les personnes vivant dans les zones de niveau 2 à 3 – c’est-à-dire dans les zones « à risque élevé » ou « très élevé » de propagation du Covid-19 – à ne pas se rendre dans les zones de niveau 1 juste pour pouvoir socialiser à l’intérieur.

Avec qui les relations sexuelles sont-elles autorisées ?


Cette mesure définit un cadre limité pour les rencontres et le sexe – © Alina Kruk

Ce « sex ban » autorise les résidents des zones 2 à se rencontrer à l’extérieur mais elle interdit à ceux des zones de niveau 3 de se mêler à toute personne avec laquelle ils ne vivent pas à l’intérieur ou à l’extérieur, c’est-à-dire en dehors de leur bulle sociale. Pour les relations sexuelles il faudra donc compter sur son compagnon, son meilleur ami ou son collègue de travail… À moins de décider de s’abstenir !

Bien que le gouvernement britannique ait assoupli les restrictions depuis septembre, le « sex ban » exclut toujours les relations sexuelles occasionnelles. Les prochaines semaines s’annoncent compliquées pour les adeptes des sites de rencontres.


[1] https://www.gov.uk/guidance/local-covid-alert-levels-what-you-need-to-know

source : https://www.consoglobe.com

Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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