« Songbird », ou la vie au bout de quatre ans de confinement face au coronavirus

« Songbird », ou la vie au bout de quatre ans de confinement face au coronavirus
« Songbird », ou la vie au bout de quatre ans de confinement face au coronavirus

par Philippe Rosenthal.

L’énorme business de la Covid a lieu alors que le citoyen lambda, bombardé d’informations morbides, ne voit pas de malades ou de morts dans les rues, les bus ou dans les magasins. Des vaccins, au « The Great Reset » prévu à Davos à la réalisation d’un film sur la « pandémie » de la Covid Songbird qui tue 100 millions de personnes, sans oublier la vente des masques en papier, le business reste la principale activité de la crise sanitaire pour refonder le monde.

Le producteur de films d’action Michael Bay, qui veut capitaliser sur la « pandémie de coronavirus », écrit Bild, précisant que le premier trailer de son thriller Songbird est sorti jeudi, montre que tout cela est une réalisation hollywoodienne qui a pour objectif d’habiter les esprits de l’existence de millions de morts pour justifier « The Great Reset ».

Le monde se transforme en un paysage fantomatique dans Songbird où la « pandémie » devient une condamnation à mort pour plus de 100 millions de personnes. La « pandémie » est inscrite dans le long terme et les gens, comme les politiques nous le disent, doivent vivre avec le virus car il mute. Dans le scénario du film réalisé par Hollywood, la Covid mute pour devenir la Covid-23.

Le site d’AlloCiné donne le fond de l’histoire du film sous la forme de ce synopsis : « Deux ans après l’épidémie, les confinements/déconfinements se sont enchaînés, mais le virus continue de muter. Les villes sont divisées en deux camps, celui des nantis et celui des démunis. Au sein de cette nouvelle organisation de la société, un livreur qui est miraculeusement immunisé contre le virus traverse chaque jour les deux mondes. Un thriller tourné dans le Los Angeles confiné par la « pandémie » de la Covid-19 ».

L’intrigue du récit de la catastrophe ou plutôt du plan réfléchi par les puissants de Davos, a lieu en 2024, c’est à dire demain, dans un monde avec plus de 110 millions de décès à cause du coronavirus mutant depuis 2022 date du début de l’épidémie dans le film. Des couvre-feux drastiques et des mutations virales dangereuses forment le quotidien des populations. Bild pose, tout de même, la question morale : « La « pandémie » n’est pas encore terminée, Hollywood l’a déjà utilisée comme modèle de film. Doit-il en être ainsi ? ». Bild indique que «le producteur de films d’action Michael Bay veut capitaliser sur la « pandémie » de coronavirus ». Et il n’est pas le seul. Mais, ce film révèle la surpercherie mondiale.

C’est officiel, le Forum de Davos lance le monde d’après. Le Prince Charles, les patrons de l’Onu et du FMI soutiennent l’initiative d’un Forum de Davos 2021, semi-virtuel et plus ouvert pour bâtir un « nouveau contrat social » avec, l’économiste Klaus Schwab, son fondateur.

Le Figaro a écrit en juin 2020 : « Pour sa première édition post-« pandémie » prévue en janvier prochain, le Forum de Davos, rendez-vous annuel de l’élite politique et économique mondiale, ne pouvait rester dans « le monde d’avant ». Avec l’art de la formule qui le caractérise, son fondateur et toujours président, l’économiste allemand Klaus Schwab propose une « grande réinitialisation » (The Great Reset)’ ».

Juste avant ce forum, les conditions sociales sont réalisées. Les peuples sont confinés, ont l’obligation de porter un masque en papier, doivent sortir de chez eux avec des autorisations qu’ils doivent imprimer et remplir. Le Figaro a expliqué que « le Pr Schwab avait convoqué mercredi [3 juin 2020] lors d’une conférence virtuelle le Prince Charles d’Angleterre, le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres, la directrice générale du Fonds monétaire international Kristalina Georgieva, le spécialiste de l’économie du climat Lord Stern, les patrons de Mastercard et Microsoft et des représentants de la jeune génération » et que « le [la] Covid-19 a accéléré notre transition vers l’ère de la quatrième révolution industrielle », comme « le chef d’orchestre de Davos » le dit, lui qui « revendique la paternité de cette expression, il y a plusieurs décennies ». Le sommet s’occupe de la réinitialisation de l’emploi, du capitalisme (Le moment est venu d’appuyer sur le bouton de refondation du capitalisme).

Bref, les élites ont décidé par l’activation des mesures sanitaires liées à la Covid-19 d’appliquer « Le temps de la Grande remise à zéro », un plan planifié et qui a été évoqué et salué par l’ancien ministre allemand de la Défense Joschka Fischer (Grünen), premier homme politique à avoir décidé le bombardement d’un peuple (Serbie) sans une décision de l’Onu qui a déclaré que la crise Corona c’est « le début de la grande transformation ». Alors en sortant de votre salle de cinéma, n’oubliez pas d’allumer vos cerveaux !

source : http://www.observateurcontinental.fr

Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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