Au vu du délire de contraintes plus ou moins légales, normées, légalisées, faire la fête dans not’ beau pays qu’est cheu nous, aller à une soirée ou, tout simplement retrouver des amis, comme se réunir en famille devient chaque jour plus compliqué.
Cherchant par tout moyen à éviter la bonne morale des interdits[1], je me suis un peu tourné la caboche[2] pour voir ce qui restait encore de possible en ce moment.
Voyons voir :
- port du masque obligatoire : Bal masqué !
- distances sociales d’au moins un mètre : euh…
- réunion interdite dans les lieux publics clos comme ouverts ou, du moins, limitée à six personnes : euh…
- le méchant virus n’a aucun effet, de jour comme de nuit, dans les transports en communs où, les usagers sont entassés les uns contre les autres : dans un bus !
C’est là qu’est trouvée LA SOLUTION :
Un grand bal masqué dans un bus !
Pour éviter les emmerdes et les adaptations d’ordonnances (lorsque j’entends ce mot, j’ai l’impression de vivre en monarchie !), décrets et autres arrêtés, va falloir que :
- le bus roule ;
- l’on ne fasse la moindre pub via un « média réseau social » ;
- si on le fait en zone d’occupation avec couvre-feu (« Ausweis bitte ! » (Votre laissez-passer !)), peut-être en journée ?
Oui Madame, l’on peut dire que le CaCa (Le Collectif d’Amateurs Creusois Anonymes) est capable de se retirer Juste-un-Doigt du cul !
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[1] INTERDIT, de INTERDIRE : Du latin : interdicere, de inter : entre, et dicere : dire ; soit : dire entre, invoquer, contester, et par suite défendre.
[2] CABOCHE : Tête, en style trivial. Sorte de clous à tête. Le radical latin est caput, chef, tête.
source : https://cacajuste1doigt.wordpress.com
Source: Lire l'article complet de Réseau International