On peut remarquer qu’en tant que ministre, elle avait sa coiffure à la Simone Veil. Sitôt démissionnaire, coiffure plus moderne. Mais dès qu’elle doit passer devant la commission de l’Assemblée nationale, rebelote, coiffure à la Simone Veil, certainement pour se donner un air de sainte pour ces francs-mac.
Tout est dans le symbole, le signe, le figuratif. Plus rien n’est réel, encore moins ces discours de pacotille (« tout est prêt », ah oui ? quoi ?)
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