Je sais que je vais m’attirer les foudres par ici mais je vais être plus nuancé.
Ce n’est pas écrit que c’est autorisé. Cette question est une question de jurisprudence au cas ou ça se produirait, quel serait la position juridique ?
Alors certes la réponse n’est pas satisfaisante sur le fond mais les religions (ou pas d’ailleurs) aiment bien se poser la question de si arrivait ceci ou cela ? Et si pas de réponse, le maître en la matière fait un livre basé sur les écrits et son interprétation. Si un autre n’est pas d’accord alors il oppose son avis. Et d’autres auteurs feront des synthèses des débats et des avis. Et tout ceci « enrichira » la bibliothèque jurisprudentielle concernée.
Il y a de la pédophilie dans tous les corps de métiers qui côtoient les enfants.
Et chez les juifs il y a de sacrés règlement de compte quand ça arrive. Il faut reconnaître quand même cette aptitude à la discrétion même dans les pires situations au point que des auteurs comme H Ryssen sont obligés de l’écrire.
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