Les femmes souffrent de cette invasion de tapettes féminisées et du manque de patriarcat, puisque sans limites données par l’homme, elles s’expriment (en plus de manière revendicatrice), elles s’étalent de toute leur immoralité, elles cherchent des réponses mais ne les trouvent pas ou n’osent pas s’avouer que leurs réponses de féministes les maintiennent dans la solitude et l’aigreur.
Au lieu de revendiquer d’être une « femme libérée » ou pire, une féministe, elles feraient mieux de réclamer le retour au patriarcat.
Greg termine en disant « je mets toujours du lubrifiant », oui mais ça risque de ne pas suffire, le problème étant sociétal, politique, pas seulement sexuel, individuel… c’est une « vision du monde » comme dirait Rudy – forcément passéiste, homophobe, misogyne etc etc.
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