§. Les hôpitaux possédaient un milliard de masques, le gouvernement Big Pharma les a fait brûler.
Le professeur Didier Raoult affirme qu’il est simple et élémentaire d’effectuer un dépistage massif dans les laboratoires ; d’ailleurs, directeur de l’IHU de Marseille, il pratique lui-même ces dépistages avec grand succès.
Mais le gouvernement a fait le choix politique contraire, de ne pas fabriquer de tests et ainsi justifier le confinement général.
Depuis 60 ans nous possédions un médicament efficace contre ce type de virus respiratoire, l’hydroxychloroquine. Madame la sinistre, Buzyn, l’a fait classer substance vénéneuse afin de le remplacer par une saloperie de Big Pharma, qui vous tue secondairement son diabétique, son hypertendu, son obèse, son vieux, aussi sûrement qu’une dose de cyanure. Excellent ! ça fait grimper les chiffres d’affaire et les statistiques !
§. Il nous faudrait de l’hydroxychloroquine, c’est vital. Le maire de Nice, qui a instauré un couvre feu à 20 heures dans sa villégiature sénile, reconnaît se soigner à la chloroquine !
Toutes les canailles politiciennes utilisent ce médicament salvateur, soyez-en certains. On l’a classé toxique pour nous seuls, afin de ne surtout pas enrayer l’épidémie, ne surtout pas cesser le confinement, justifier la terreur policière, la privation de liberté, par la terreur sanitaire.
§. Ne voyez-vous pas que l’absence de masques signe le fait que les masques sont tombés ? Que l’on voit la gueule véritable de l’État policier, du fascisme financier ?
Nous voudrions des tests, mais en vérité nous sommes testés, collectivement. C’est le test de la privation des libertés, de la plus aimable entre toutes, la liberté d’aller et venir où bon nous semble. Ils testent in concreto notre seuil de tolérance à la dictature de Big Pharma.
§. Tu veux savoir ce qui nous arrive ? Lis Knock de Jules Romain. Ce qui fut fait dans la fiction à l’échelle d’un département, l’est dans la réalité à l’échelle d’un pays.
§. Aux arrêts dans nos quartiers, en apparence nous partageons tous le sort commun. Mais un chien couché à la niche ! n’éprouve pas ce qu’endure un vieux loup solitaire pris au piège. Celui-là seul ressent l’écrou totalitaire.
Mes sœurs me sachant tourner en rond comme un aliéné, me disent au téléphone que c’est pareil pour tout le monde ! Ah oui ? Les vieux-cons finis confinés qui s’interpellent par dessus les haies, qui tondent leurs pelouses d’un air important, importuns qui braillent dans leur iPhone sur leurs parterres de tulipes, n’ont pas l’air de trop souffrir…
§. Je regarde ma moto, superbe et inutile, comme une panthère noire crevée. Je ne puis la chevaucher, la tigresse, pour bondir vers le large, vers le grand océan ! Dans les Landes l’immense littoral est interdit d’accès ! Ils ont mis des barbelés, placardés des édits, affiché des Défense de pénétrer ! Les héliflicoptères tournoient en grondant comme des cyber-vautours, les CRS tombent des dunes comme de grosses blattes noires et pourchassent les errants sur les plages !
Même chose, ai-je lu, dans le Finistère !
§. Les crevures et les creveurs d’yeux s’en donnent à cœur joie ! Il sont les Patrouilleurs Officiels du Respect du Confinement. Les P.O.R.C.
Putain on a fait le bon choix en devenant flic, notre règne arrive ! La fRANCE entière est devenue un vaste camp de concentration !
Ça va susciter des vocations, soyons-en certains.
Que seraient les pouvoirs des pantins articulés de Big Pharma, sans la force bestiale des PORC ?
§. Le confinement est une contre-sélection, les plus indomptés vont être vite repérés, d’abord mis à l’amende, saignés financièrement, dans un second temps mis aux fers pour refus de paiement, puis à la fin, tirés à vue, saignés. Car la barbarie capitaliste monte de jour en jour, d’heure en heure comme une marée putride.
Félix Niesche
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation