Je viens de traduire en français une intervention très intéressante publiée sur le site politrussia.com menée par Roman Romanov le 18/03/2020. Cette intervention est claire, s’appuie sur des références et faits concrets et sur une bonne capacité intellectuelle à relier les éléments entre eux pour comprendre une situation et non pas simplement zapper sur des éléments évoqués de manière disparate pour au final, ne rien comprendre à cette situation, ce que recherchent nos « grands médias » qui s’évertuent à vouloir manipuler nos chères consciences.
Référence de l’intervention : www.youtube.com/watch?v=lBBW32qPvy4 (en russe, sous-titrage automatique en anglais)
Je traduis l’intervention entre [00.00 – 15.07].
En remarque, je visite très souvent le site politrussia.com depuis qu’il a été lancé en avril 2014 du fait de son caractère « scientifique » et des thèmes abordés et discutés notamment par son Rédacteur en Chef, Rouslan Ostachko, pouvant remettre en question certains pans de l’industrie de désinformation occidentale-anglo-saxonne fortement travaillée depuis maintenant plus d’un siècle.
Vous comprendrez qu’il ne s’agit pas de présenter LA vérité mais de se donner les moyens de s’en approcher grâce à nos capacités de compréhension.
Je décide de proposer aujourd’hui la publication de cette intervention, ne trouvant aucun élément dans nos médias grâce auxquels on pourrait espérer commencer à comprendre l’origine et la nature d’un virus qui prendrait étrangement forme et valeur à la fin 2019 « à partir de chauves-souris chinoises » et se répandrait depuis début 2020 au monde. L’absurde a des limites, surtout lorsque la vie des gens est mise en danger. Un nouveau coronavirus tue l’homme et ce n’est absolument pas virtuel, ce n’est pas un jeu ou une mode qui passe.
Bertrand Hedouin
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Salut, chers amis ! C’est Roman Romanov avec vous.
Le thème du jour porte sur le Coronavirus. Ce thème est de plus en plus grave.
Les personnes infectées sont de plus en plus nombreuses. Leur nombre augmente de 15 000 personnes par jour. Dans beaucoup de pays, les gens commencent à paniquer. Si, chez nous, les gens font leurs réserves de blé noir (ou de sarrasin), aux États-Unis, par exemple, on préfère acheter du papier toilette. Mais aujourd’hui, je ne veux pas parler de ce phénomène mais d’un événement que l’on peut faire entrer dans les thèmes de la « théorie complotiste ».
Vous vous rappelez sans doute en effet, au tout début, lorsque venait d’apparaître le Coronavirus, que furent avancées quelques théories sur ses origines. La théorie officielle nous indique qu’en Chine, à côté de Wuhan, vivent des chauves-souris qu’un ou deux Chinois auraient un beau jour décidé de bouffer, ce à cause de quoi ils auraient contracté un nouveau Coronavirus.
Depuis lors, ce Coronavirus conquiert toute la planète. À partir de ce moment-là, en Chine, les gens ont commencé à dire que le Coronavirus était un virus d’origine artificielle, théorie maintenue jusqu’à ce jour. Dans la ville de Wuhan se trouvent plusieurs grands instituts de virologie à partir desquels le virus aurait pu s’exfiltrer et créer en conséquence une « pandémie globale artificielle ».
Par la suite, les théories ont évolué. En Chine, on s’est mis à dire que le virus avait été importé de l’étranger, des États-Unis par exemple.
Très récemment, le 12 mars, une figure officielle chinoise, celle du porte-parole du Ministère des Affaires Étrangères de la République Populaire de Chine, Zhao Lijian, a indiqué dans un discours que la Chine demandait à ce que les États-Unis indiquent officiellement quand est apparu chez eux le « Patient 0 », combien de personnes sont aujourd’hui infectées et dans quels hôpitaux ils se trouvent. « Il semble que ce soient justement des militaires américains qui aient amené l’épidémie à Wuhan. Soyez honnêtes ! Les États-Unis doivent nous donner des explications ! ».
L’accusation est parfaitement claire et, le plus important, n’est pas tout à fait fortuite.
En effet, peu de temps avant que l’épidémie ne s’étoffe, des « jeux militaires » ont été disputés dans la ville de Wuhan entre des militaires de la République Populaire de Chine et des militaires américains (octobre 2019). On suppose que le « patient 0 » a pu se trouver parmi les soldats et les officiers américains qui sont venus alors en Chine et a pu de cette façon contaminer la République Populaire de Chine.
Mais passons maintenant des « spéculations complotistes » à certains faits parfaitement réels. Je suis tombé sur une information très intéressante.
Des recherches scientifiques menées en 2015 aux États-Unis sont passées relativement inaperçues. On en a parlé dans le journal scientifique américain très réputé National Medicine. Pour bien comprendre, il faut savoir qu’il ne s’agit pas ici d’une édition quelconque mais de l’édition américaine la plus importante et la plus ancienne en la matière dans laquelle sont publiés les auteurs les plus sérieux. Pour pouvoir être publié dans National Medicine, il faut prouver sa véritable fonction de chercheur et proposer des travaux qui ouvrent de grandes perspectives ou autres inventions factices pour l’humanité. Ces recherches ou inventions doivent être intéressantes et importantes.
Dans un de ces articles publié le 12 novembre 2015[1], il est indiqué que des scientifiques américains ont réussi à créer à partir du Coronavirus prélevé sur les chauves-souris (code viral SHC014) et du virus SARS[2] qu’on a l’habitude d’appeler « pneumonie atypique » leur propre chimère virale[3] capable d’infecter l’être humain, un virus mutant créé dans les laboratoires américains caractérisé par une forte capacité à infecter et à se répandre parmi les hommes (ce qui donnera le SHC014-CoV ou SARS-CoV-2).
De plus, les chercheurs américains ont prédit de graves conséquences pour les personnes infectées par ce virus. Officiellement, la raison pour créer une telle chimère virale était d’analyser la possible apparition de nouveaux virus et de décrire leur degré de contagiosité.
Techniquement, la création du nouveau virus ressemble à ce qui suit.
On prend un virus HCoV qui habite les poumons de chauves-souris et on le porte sur une protéine du virus SARS. Cela donne au virus SARS les propriétés HCoV du coronavirus des chauves-souris. De la sorte, le coronavirus de la chauve-souris devient transmissible à l’homme et peut l ‘infecter et se transmettre ensuite entre êtres humains par ce nouveau virus artificiel SHC014-CoV, chimère génétique de deux virus différents.
Dès 2015, un certain nombre de virologues ont critiqué les expériences que menaient leurs collègues américains, les qualifiant d’irresponsables du fait qu’ils mettaient en danger le monde avec la possibilité d’une épidémie globale d’un virus artificiel.
Je le répète, je ne vous fais pas là le récit d’une histoire fantastique ou d’un programme issu de la chaîne REN-TV[4]. Non. J’utilise des données issues de vraies recherches qui ont été publiées dans le très renommé journal américain Nature. Pour que vous ne doutiez pas de mes propos, je laisse spécialement deux liens (cf.(1)) avec lesquels vous pouvez consulter les articles du journal (en anglais) dont je parle. Vous pourrez ainsi comprendre les mécanismes de création et de propagation d’un tel virus et voir comment la communauté scientifique a réagi à l’élaboration du coronavirus artificiel en 2015[5].
Revenons maintenant à nos moutons.
Comme l’indiquent les chercheurs, un des symptômes les plus significatifs de la chimère virale (SHC014-CoV) est l’apparition d’une grave pneumonie. Ça ne vous rappelle rien ?
On va essayer maintenant de rassembler ce que l’on sait de la maladie COVID-19, c’est-à-dire de la maladie issue du coronavirus qui sa balade actuellement dans le monde, et du SHC014, le code viral du coronavirus naturel chez les chauves-souris chinoises. Pour les comparer, on prend le premier cas officiel d’infection qui a été fixé en Chine. Actuellement, une des principales théories concernant l’apparition de COVID-19 est le virus de la chauve-souris chinoise qui, par contact avec des marchés d’alimentation, aurait été transmis à l’homme. SHC014 est le virus de la chauve-souris chinoise qui devient transmissible à l’homme grâce à une chimère virale, soit un virus d’origine artificielle (SHC014-CoV).
On retrouve dans les poumons des chauves-souris le virus HCoV ayant donné la pathologie du COVID-19 et, de la même façon, le SHC014. Les symptômes sont très ressemblants. Les deux virus entraînent une pneumonie.
La raison essentielle pour mener ces recherches et études étaient d’étudier la structure du virus et la possibilité de sa transmission de l’animal à l’homme. Les scientifiques américains semblent prédisposés à ce genre de mesures salutaires. Ils n’ont pas essayé de savoir si l’on pouvait infecter l’homme avec le coronavirus de la chauve-souris mais ont créé eux-mêmes la chimère qui elle, de façon sûre, le pouvait. Nous ne savons plus rien ensuite de ces recherches.
Il est important de comprendre qu’on observe aujourd’hui un coronavirus spécifique transmis par la chauve-souris à l’homme, ce qui correspond parfaitement aux résultats obtenus dans des laboratoires de recherches américains en 2014-2015.
En regardant la liste des auteurs qui ont mené les recherches scientifiques portant sur le Coronavirus artificiel, on peut remarquer un chinois de Wuhan. Il s’appelle Zheng-Li Shi. Il est concepteur ou spécialiste et travaille dans le laboratoire de pathogenèses spécifiques et de la biosphère de l’Institut de virologie de Wuhan, à savoir, dans cet institut de virologie à partir duquel certains conspirateurs font remonter la première étincelle de l’épidémie du coronavirus. Wuhan est le point de départ géographique de l’épidémie.
Vous ne trouvez pas que ça commence à faire pas mal de coïncidences ?
Ensuite, je veux indiquer que je ne suis pas moi-même virologue mais ma formation en sciences politiques m’aide à relier les données entre elles et à rassembler l’information de manière pertinente.
En 2015, les États-Unis avaient la réelle possibilité de créer en laboratoire une chimère du Coronavirus pouvant infecter l’homme et entraîner une pneumonie, chimère obtenue à partir de chauves-souris chinoises.
Les fonctionnaires chinois affirment que le « patient 0 » pourrait être un militaire américain venu en Chine disputer des jeux militaires. Plusieurs éléments peuvent nous conduire à le penser. Mais afin de pouvoir répondre précisément à la question qui nous incombe, il faut mener une analyse comparative de la souche du virus artificiel américain avec celle du Coronavirus dont nous observons aujourd’hui la propagation chez l’homme.
Maintenant, et il s’agit là seulement de mon point de vue, imaginons que le code des deux virus, à savoir du coronavirus artificiel mis au point en 2015 et du coronavirus infectant l’homme aujourd’hui, coïncident. On peut alors dans les faits affirmer que les États-Unis utilisent contre leurs concurrents ou adversaires l’arme biologique[6].
Je vous rappelle rapidement que depuis ces trois dernières années sévit une guerre économique et commerciale très sérieuse entre la Chine et les États-Unis. Vous savez certainement, je fais de nouveau ici une allusion, que dans ces conditions, si les souches de virus se confondent, il faut alors convoquer le tribunal militaire de La Haye qui doit mener une enquête exhaustive. Si, derrière cette histoire du Coronavirus on retrouve les États-Unis d’Amérique, il me semble cohérent que ce pays doive alors au moins rembourser tous les frais et coûts induits par ce Coronavirus dans le monde.
Je rappellerai ensuite, par exemple, qu’il y a deux jours, Kiev a fermé son métro à cause du Coronavirus. En fait, l’Ukraine aujourd’hui est plongée dans une espèce d’enfer économique. En plus de l’effondrement économique lié aux événements de 2014 (coup d’État), l’Ukraine peut aujourd’hui toucher le fond du fond. Ce pays se trouve au bord de l’éclatement total.
Ce qui se produit dans l’Union Européenne, vous le voyez très bien sans avoir besoin d’en parler : problèmes économiques et politiques, problèmes liés à la panique des populations. La société ne sait pas comment régler ces problèmes sérieux. On met en place un système de quarantaine qui entraîne de toutes les façons de graves pertes économiques.
Si maintenant on veut voir ce qui se passe sur les marchés de la bourse au niveau international, nous voyons que l’index russe RTS plonge de plus de 10%, que le Dow Jones américain tombe aujourd’hui de 8 et quelques %, peut-être de 10% de nouveau ce soir. Et tous ces problèmes peuvent avoir été créés de manière artificielle. J’ai parlé de cette hypothèse dans ma précédente intervention.
Il me semble que précisément ce pays, les États-Unis d’Amérique, doit payer des compensations aux économies dans le monde qui subissent des problèmes et des coûts importants liés au Coronavirus. Il doit également dédommager les familles qui connaissent des morts ainsi que les gens tombés eux-mêmes malades par la chimère virale. La création de cette chimère a été subventionnée sous Obama et son épidémie explose sous un Trump qui mène une guerre commerciale avec le monde entier.
En prenant en compte tout cela, vous ne trouvez qu’on arrive à lier tous les éléments entre eux ?
Si tout ce que je viens d’écrire se vérifie, ne serait-ce que partiellement, alors l’administration politique des États-Unis et, plus concrètement, les deux derniers Présidents américains Trump et Obama doivent être jugés sévèrement par la loi.
Après un tel crime, un tel péché, ils doivent être obligatoirement privés d’une place au paradis.
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Nous passons maintenant à la nouvelle suivante qui est également liée au Coronavirus et à ce qui se passe sur les marchés internationaux.
Là, maintenant, le pétrole s’achète pratiquement à 26 US Dollars le baril. Dans ce cadre, des sénateurs américains se sont officiellement adressés à l’Arabie Saoudite afin qu’elle cesse de faire chuter les prix du pétrole.
Ainsi, un groupe de 13 Sénateurs républicains menace directement le Prince héritier d’Arabie Saoudite, Mohammed ben Salmane, de possibles conséquences juridiques et politiques liées à la chute des prix du pétrole après la forte augmentation de l’extraction décidée par l’Arabie Saoudite et la Russie.
Les Sénateurs américains pensent ainsi que la Russie et l’Arabie Saoudite sont de connivence pour mener une guerre contre l’industrie américaine du schiste qui doit s’écrouler. Ils considèrent que cela va porter un énorme préjudice non seulement aux États-Unis d’Amérique, mais également à toute l’économie mondiale en général.
Maintenant, j’aimerais entendre ce que disent les personnes qui affirmaient encore il n’y a pas longtemps qu’il fallait tout faire pour que l’économie de la Russie s’effondre. Je l’ai déjà dit précédemment, une véritable guerre économique et énergétique a débuté et un certain pays sont entrés directement en conflit avec d’autres.
Dorénavant, chacun tente d’obtenir sa meilleure part du gâteau avant d’évoluer vers un conflit encore bien plus chaud. Nous voyons en direct comment se déroule la guerre économique. Elle se déroule là, sous nos yeux.
Qu’est-il important de comprendre dans cette situation ? Que tout le monde va devoir en payer les conséquences.
J’ai déjà indiqué que toutes les bourses dans le monde se trouvaient en zone rouge. Le Ministre Silouanov[7] a indiqué, par exemple, que dans peu de temps, notre budget présenterait des déficits alors qu’il avait été calculé pour un excédent. Il est clair qu’il y aura déficit, même si celui-ci sera peu important, de 1 à 2% du PIB.
Mais, pour que vous compreniez, si l’on compare notre situation avec le déficit budgétaire de l’Arabie Saoudite, nous avons affaire là à un déficit programmé qui a déjà atteint plus de 12% du PIB. Pourquoi je dis cela ? Pour montrer que de nombreux pays s’efforcent aujourd’hui de subsister, essaient de retirer des marchés les concurrents gêneurs et de s’adapter à la chute globale des prix du pétrole.
Le Coronavirus, comme le disent certains analystes de Morgan Stanley et de Goldman Sachs, entraîne le monde à se diriger progressivement vers la récession économique globale. Nous allons connaître une crise réelle très grave.
Déjà maintenant, beaucoup de sociétés, des grands producteurs de vêtements, la production pétrolière ou celle de produits électroniques se retrouvent au niveau où ils se trouvaient en 2008. Je veux parler ici du niveau du prix des actions.
De nombreux indicateurs-clés montrent que la principale économie dans le monde, la principale locomotive, la Chine, commence actuellement à freiner sérieusement. C’est une conséquence de la guerre économique. Il semble clair que tout va encore empirer. Des pays vont continuer à être en conflit avec d’autres pays et la situation va, de toute évidence, encore s’aggraver.
D’un autre côté, il est important de remarquer la chose suivante. Je vous ai donné des exemples de scenarii qui ont été modélisés par certains think-tanks. Ces modèles visaient un objectif. L’épidémie globale peut mener à ce que les États tentent de contrôler de plus en plus la vie privée des citoyens. Il va ainsi être banal de nourrir ce citoyen en prônant la volonté de vouloir s’occuper de sa santé, et de lui retirer dans le même temps des droits civils et politiques.
On observe en direct comment aujourd’hui, dans certains pays voisins de la Russie, pour raison de quarantaine, on vous dit par exemple que l’on vous prive de certains droits de circulation. Par exemple, en France, la police municipale fait aujourd’hui circuler une petite ordonnance. Si vous avez besoin de sortir de chez vous et de parcourir une certaine distance, vous devez en avoir obtenu l’autorisation par un organe spécifique et vous devez présenter une bonne raison de devoir sortir de chez vous. Une raison peut être de se rendre à son travail dans le cas où le travail ne peut être effectué sans vous. Si votre travail est lié à la gestion d’un bureau, à internet ou à ce genre de choses, vous allez alors devoir travailler à partir de chez vous et personne ne vous autorisera à sortir.
Voici ce qui se déroule actuellement à Paris.
Des tendances plus sévères encore peuvent être observées en Asie mais ce sera le sujet d’une prochaine émission.
(fin du passage traduit)
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Voilà, nous pouvons apprécier l’intervention de Roman Romanov portant sur un thème aujourd’hui essentiel pour l’humanité. Nous pouvons également concevoir que les propos tenus puissent choquer notre civilisation de bisounours aveuglés par l’histoire abstraite d’un Occident peuplé en partie par l’homme antique, beau et hyper-puissant, qui se présente quelques fois encore comme surhomme.
Comment un coronavirus de la chauve-souris peut aujourd’hui être transmis à l’homme et être mortel pour ce dernier ? En 2020 ? À partir de la Chine ? Sur fonds de crise économique, financière, énergétique ?
Sur la progression de la maladie (COVID-19) causée par le nouveau virus vraisemblablement artificiel (SHC014-CoV), le Ministère russe de la Santé a confirmé le 19/03/2020 que des scientifiques russes avaient totalement déchiffré le génome du virus donnant le COVID-19. Les travaux ont été remis à une structure commune mondiale au sein de l’ONU afin que tous les scientifiques du monde puissent utiliser ces découvertes « à bon escient ».
D’ores et déjà, en Russie, plusieurs vaccins sont mis à l’essai sur des animaux.
Avec le génome du virus déchiffré, il est dorénavant possible de vérifier les propos tenus dans l’intervention de Roman Romanov. Je n’ai pu encore trouver de réponses précises à ce thème plus que chaud.
On va trouver une solution au virus, mais d’où provient ce virus ?!
Suspens avant un possible Procès de Nuremberg 2.0. ?
Je voudrais terminer notre article en citant un livre français dont on fait toujours très peu de cas, au moins en France, malgré sa pertinence, malgré l’acuité d’une vision portant sur un processus malsain de construction d’un certain ordre mondial depuis au moins 1931 !
« (…) le phénomène décisif n’est ni d’ordre économique, ni même d’ordre financier : il est, par une intrusion que nul de nos spécialistes ne pouvait en droit prévoir, d’ordre purement psychologique : il est la perte de confiance dans le système tout entier, non seulement de production, mais de vie et de pensée, qui est celui des pays soi-disant neufs. Il constitue une réaction, la première, du concret contre l’abstrait, des forces spontanées de vie contre tous les mécanismes de rationalisation[8] ».
Robert Aron et Arnaud Dandieu, dès 1931, bien avant la Seconde Guerre mondiale, comprenaient avec force acuité l’Ordre Mondial qui continuait alors de s’installer et son caractère malsain pour l’humanité. L’ennemi idéologique communiste soviétique a permis ensuite d’ancrer partiellement mais profondément cet ordre mondial désiré. En 2020, nous parlons du « Nouvel Ordre Mondial » qui n’est autre que la continuation de ce que nous présentaient Aron et Dandieu en 1931.
La crise du nouveau coronavirus sur le fond d’une crise économique, financière, énergétique, organisationnelle, voire psychique, semble pouvoir marquer une prise de conscience des peuples du début de la fin d’un pan important de l’histoire mondiale qui, finalement, au regard du temps historique long, ne recouvre que quatre siècles environ.
Ce que je raconte n’est pas drôle, pouvez-vous penser. Je suis d’accord avec vous et j’ajouterai que l’humour serait la dernière étape avant la toute fin, lorsqu’il n’y a plus rien à espérer ni à inventer.
Marc Barnovi
Traducteur littéraire, spécialiste des relations internationales et de la Russie-Eurasie.
Vit à cheval sur la France et la Russie.
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[1] Ci-après les liens vers 2 articles de National Medicine dans Nature datés de 2015 que nous incite à lire Roman Romanov dans son intervention :
(en anglais) (daté du 12/11/2015) « Engineered bat virus debate over risky research », « Lab-made coronavirus related to SARS can infect human cells ».
(en anglais) (daté du 09/11/2015) « A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence ».
[2] SARS : Syndrôme respiratoire aigu sévère, lié au coronavirus.
Apparu pour la première fois en Chine en novembre 2002. A provoqué une épidémie en mai 2003
[3] Chimère (virale) : en génétique, une chimère est un organisme, animal en général, formé de deux (ou plus) populations de cellules génétiquement distinctes.
[4] REN-TV : chaîne de télévision généraliste commerciale privée fédérale russe pouvant se caractériser par une posture pro-occidentale tournée contre le pouvoir actuel (Poutine).
[5] Un article de National Medicine ci-dessus mentionné évoque les propos d’un chercheur de l’Institut Pasteur à Paris, Simon Wain-Hobson, tenus en 2015.
« If the virus escaped, nobody could predict the trajectory ».
« But Wain-Hobson disapproves of the study because, he says, it provides little benefit, and reveals little about the risk that the wild SHC014 virus in bats poses the humans ».
[6] Cf. Michel MIDI, Investig’Action, 19/03/2020, « Spécial Coronavirus no 4, Un complot ? » https://www.youtube.com/watch?v=BO09Gllicrs
Pour une analyse très intéressante de ce dont les États-Unis sont moralement capables de faire, notamment lorsqu’ils ont déjà par le passé utilisé des armes chimiques et bactériologiques – cf. [00.00-18.53].
Michel Midi insiste sur la démarche à observer dans le cadre de la funeste histoire du nouveau coronavirus : « Le fait que les États-Unis en soient capables ne prouve pas qu’ils l’on fait ».
L’analyse des génomes du coronavirus-chimère artificiel mis au point en 2015 aux États-Unis et du coronavirus issu des chauves-souris dont souffre aujourd’hui l’homme doit nous éclairer et nous permettre de :
- lutter contre le nouveau coronavirus transmis à l’homme ;
- reconnaître possiblement l’origine d’un crime contre l’humanité.
Selon l’exposé de Roman Romanov que les remarques de Michel Midi viennent soutenir, la possibilité de l’origine américaine de la pandémie aujourd’hui existe. Ce pourrait être le crime faisant déborder un vase jusqu’ici très ignoré, par peur ou méchanceté, mais parfaitement rempli (Hiroshima et Nagasaki en 1945, guerre du Vietnam 1960-1970, bombardements de la Serbie en 1999, Irak (depuis 2003)…).
[7] Anton SILOUANOV : (né en 1963) Est nommé Ministre des Finances de la Fédération de Russie le 27 septembre 2011 et est confirmé à ce poste le 21 mai 2012 lors d’un remaniement ministériel.
[8] Robert ARON, Arnaud DANDIEU, Le Cancer Américain, L’Age d’Homme, 2008
Citation pp. 23-24.
envoyé par Bertrand Hedouin
Source: Lire l'article complet de Réseau International