Un monde sans flics, on le voit à Portland, c’est l’anarchie, et le début de la fin de la civilisation.
A Portland, ils n’ont ni flics, ni milices citoyennes armées et c’est ça qui a fichu le chaos. Je suis désolé, mais la police, au moins en France, a prouvé qu’elle n’était plus capable de remplir ses missions (en dehors du laxisme vis-à-vis de la racaille, souvenez-vous des attentats de Strasbourg : pendant que le plus gros des forces de l’ordre était à Paris à taper sur les GJ, personne n’était là pour empêcher un terroriste de tuer des gens sur le marché de Noël), à ce moment-là, c’est au citoyen armé et responsable de se faire justice.
Il faut arrêter avec ces raccourcis faciles : être anti-flic ne signifie nullement être un gauchiste et utopiste fumeur de chichon, bien au contraire … Une société de l’ordre passera forcément par la suppression de ses éléments les moins efficaces ou les plus traîtres (ici, la police) et le fait d’armer le citoyen et de lui permettre de se regrouper en milices, comme aux states (revoyez les images incroyables de la Bundy Farm) ne pourra que le rendre plus mature et conscient de ses responsabilité.
Si tu fais n’importe quoi avec un flingue (genre fumer un joint avant d’aller jouer les cowboys), surtout si, dans le même temps on rétablit la peine de mort, tu devras, pour une fois dans ta vie, affronter les conséquences de tes actes.
De toute façon, ce que je dis-là, loin d’être un fantasme un peu morbide, est une réalité qu’il faudra bien poser un jour ou l’autre : d’une part, si la société Française est vouée à s’américaniser, on finira bien un jour ou l’autre par adopter étalement ces éléments-là de la société US, ensuite : entre les coupes budgétaires imposées par l’Europe des banques et les délires sociétaux qui continueront toujours plus dans les décennies à venir à faire de la police et de la justice un instrument anti-français (anti-blanc) et pro-racailles…tôt ou tard, la question du remplacement de la police par des milices citoyennes entrera dans le débat public.
Souvenez-vous dans les années 90 : sous-entendre qu’il puisse y avoir de la criminalité dans les banlieues était un fantasme d’extrême-droite … Aujourd’hui, c’est un lieu-commun et même passé de mode.
Cette question de la militarisation de la population finira tôt ou tard par abordée sérieusement…
Patience ! Il suffit juste de quelques attentats islamo-terroristes de plus !
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