Effrayant ! Bien sûr, on ne peut pas accepter ces informations sans vérifications, mais ce qui est expliqué est diablement crédible.
Une chose m’a fortement gêné. La règle est d’appeler SARS-COV-2 le virus et COVID-19 la maladie. Ici, on nous parle d’un virus SARS-COV naturel, puis d’un SARS-COV-1 artificiel construit à partir du précédent, suivi d’un virus SARS-COV-2 et enfin d’un virus COVID-19. Là où je voyais jusqu’ici deux virus, on en voit ici quatre dont l’un reprend le nom de la maladie. Même s’il existe bien deux brevets pour la production de virus modifiés à partir du virus naturel, cela n’est pas clair.
Ceci étant dit, voici ce dont on peut actuellement être raisonnablement sûr :
– il existe un brevet de Microsoft pour utiliser les nanoparticules dans les vaccins afin de pister les gens (facile à vérifier et j’avais d’ailleurs trouvé le lien) ;
– Bill Gates a l’intention de vacciner la planète entière : il l’a dit publiquement et très clairement ;
– le virus a été fabriqué artificiellement ; la présence des brins de VIH le prouve (même si, à ma connaissance, le VIH n’a jamais été isolé) ;
– au moins un des vaccins inclut des fragments du VIH, du paludisme et d’ADN.
Ce qui reste à vérifier, ce n’est pas la création artificielle du virus, mais sa provenance. Les auteurs de cette vidéo attribuent la création de ce virus à l’institut Pasteur et citent même nommément la personne en charge du projet. C’est la première fois que je vois mis en accusation l’institut Pasteur, les coupables présumés étant jusqu’ici la Chine et les États-Unis avec des arguments aussi très convaincants.
Je ne dis pas que c’est impossible, mais je trouve que les preuves sont insuffisantes : breveter des bricolages génétiques sur les virus n’est pas la preuve que le virus du Covid-19 est bien le résultat d’un de ces bricolages. La Chine et les États-Unis, entre autres, ne se gênent pas non plus pour faire ce genre de manipulation. Trouver le coupable ne sera pas facile
Source: Lire l'article complet de Réseau International