Des gouvernements n’ont pas pu imposer le confinement meurtrier

Des gouvernements n’ont pas pu imposer le confinement meurtrier

Source :  Medisite.com

J’entends d’ici la  -gôche petite-bourgeoise – caviar – hululer que nous citons des droitistes comme Donald Trump et Jair Bolsonaro à l’appui de notre dénonciation du confinement meurtrier et des mesures d’espionnage électronique des populations et de dénonciation des mesures de ségrégation sociale imposées par les gouvernements des larbins politiciens occidentaux et autres. Peu nous importe que ces politiciens opportunistes de gauche comme de droite prétendent défendre les populaces en imposant ou en refusant le confinement meurtrier… seul nous importe le sort des masses prolétariennes et populaires que ces mesures totalitaires mortifient et disciplinent pour la guerre virale-numérique-financière-nucléaire à venir.  Il ressort de ces différents témoignages ci-dessous que confinement ou pas confinement l’expansion de la pandémie est identique partout. Alors cessons de terrifier et d’accabler les populations pauvres (même en pays riches). Robert Bibeau.  Les7duquebec.net

Confinement : des mesures différentes en fonction de chaque pays

Après plusieurs semaines d’atermoiements, le premier ministre britannique, Boris Johnson, a finalement décidé d’appliquer des mesures de confinement en Angleterre. (Depuis, l’économie du Royaume-Unie vient de s’effondrer de 40% – la pire crise économique dans ce pays depuis 1929. NDLR)

Mais certains pays sont encore réfractaires à cette idée. C’est notamment le cas du Brésil, de la Corée du Sud, des Pays-Bas., de la Suède et du Pakistan entre autre.  D’autres gouvernements, déclarent qu’ils ne peuvent tout simplement pas confiner leurs habitants et d’autres prétendent confiner militairement mais ne peuvent faire appliquer ce confinement dément (Inde). NDLR.

C’est le cas pour de nombreux états africains, au Pakistan… et dans d’autres pays où la population vit en dessous du seuil de pauvreté.

Sur le continent africain par exemple, la mise en œuvre de ces mesures de confinement est très difficile,  voir impossible car elle entraîne la famine parmi la population affamée – paupérisée et sans ressource. NDLR.

« D’après nos collègues de France info, « 20 à 40 % de la population vit dans ce qu’on appelle pudiquement de « l’économie informelle » : des bidonvilles de tôle sans eau courante ni parfois électricité. Quant au savon, c’est une denrée plutôt rare ».

« Autant dire que le confinement est quasiment impossible. Ensuite, le déficit en équipement de santé est énorme : même dans des pays urbanisés comme le Kenya ou le Nigeria, on ne compte que quelques dizaines d’hôpitaux. Et le nombre de médecins généralistes par habitants est « 20 fois inférieur à celui de la France ».

Une situation difficile donc, pour appliquer des mesures de confinement drastiques, militarisés… qui ne feraient qu’affamer encore davantage une population précarisée NDLR

Un autre problème posé par cette stratégie du confinement militarisé est le fait de se ravitailler, avant le confinement. En effet, bon nombre de personnes n’ont pas les moyens d’acheter des stocks de nourriture en avance. C’est le cas, encore une fois, pour tous les pays pauvres, où les habitants trouvent de quoi manger au jour le jour  (économie informelle).

Confinement : un impact économique lourd

Outre le manque de moyens et les problèmes de ravitaillement, le confinement a également un impact économique terrible sur l’ensemble de l’économie mondiale et locale notamment sur le tourisme dont ces pays dépendent lourdement.  Bref, le confinement est véritablement meurtrier bien davantage que la pandémie (750 000 décès en comptant tous les macchabées (?) alors que les famines du confinement entraîneront des dizaines de millions de morts. NDLR.

Le président des États-Unis Trump estime d’ailleurs que cette stratégie est « néfaste » pour son pays… »On peut détruire un pays en le fermant de cette façon« , a-t-il déclaré sur Fox News, estimant qu’une « grave récession » pourrait faire plus de victimes que le coronavirus. « On perd des milliers et des milliers de personnes chaque année à cause de la grippe, et on ne met pas le pays à l’arrêt », a affirmé Donald Trump.  Ainsi, le président souhaite rouvrir le pays « assez rapidement », estimant toutefois que les restrictions dureraient certainement « un peu plus longtemps » que les 15 jours initialement annoncés. « J’adorerais rouvrir le pays d’ici Pâques », a-t-il ajouté. Soit le 12 avril.

Un propos également tenu par le président brésilien, Jair Bolsonaro, qui estime que le virus « menace de détruire » économiquement son pays.

Des gouvernements n’ont pas pu imposer le confinement meurtrier

Les Pays-Bas ont décidé de ne pas faire comme tout le monde. Le Premier ministre du pays, Mark Rutte, ne souhaite pas confiner la population.  Il veut, au contraire, favoriser l’acquisition d’une « immunité collective ». Autrement dit, que la majorité des habitants soient contaminés et qu’un maximum de Néerlandais développent naturellement des anticorps au Covid-19.

Selon lui, plus il y aura de gens immunisés, moins il y aura de chance que la contagion s’étende aux personnes vulnérables et aux seniors. En revanche, cette immunité collective va prendre des mois à se construire et pour étaler le pic de la saturation hospitalière, le gouvernement batave annonce tout de même des fermetures en série : les écoles, les cafés et restaurants, mais aussi les coffee shops et les maisons closes.

Ces derniers jours, les cas de coronavirus se multiplient au Pakistan mais l’État refuse de confiner la population.   En effet, d’après le Premier ministre Imran Khan, le confinement est tout simplement impossible.

« La situation n’est pas la même que celle des États-Unis ou de l’Europe », a-t-il rappelé la semaine dernière lors d’une allocution télévisée. Si des pays comme l’Italie, l’Espagne et la France ont ordonné à leurs citoyens de rester chez eux pour limiter la propagation de la maladie, un quart des Pakistanais vivent « dans une pauvreté extrême », a-t-il affirmé…ils vivent dans la rue et des cabanes de tôle ondulée.

« Si nous confinons les villes (…) nous sauverons (ses habitants) du coronavirus d’un côté, mais ils mourront de faim de l’autre« , a ajouté le chef du gouvernement, ajoutant qu’une telle mesure avait été envisagée, puis rejetée.

La Corée du Sud a été le premier pays à avoir été touché massivement hors de Chine, et pourtant… elle a réussi à contenir le coronavirus sans même avoir confiné sa population.  Alors, comment cela s’explique-t-il ? Les autorités ont utilisé tous les moyens technologiques disponibles pour repérer les gens au stade précoce de la maladie. Plus de 250 000 tests ont ainsi été réalisés sur toutes les personnes qui présentaient des symptômes de la maladie.  Des applications demandant l’état de santé quotidien de la population ont aussi été utilisées. Enfin, des thermomètres thermiques ont été installés dans certains endroits.

Alors que le Panama et l’Uruguay ont annoncé leurs premières mesures, le président du Brésil, Jair Bolsonaro, rejette totalement l’idée d’un confinement.  Il a même dénoncé les mesures de confinement ordonnées par différentes municipalités de son pays, les comparant à une politique de la « terre brûlée » qui menace de ruiner la première économie d’Amérique latine.

« Les autorités de certains États et municipalités doivent renoncer au concept de la terre brûlée : l’interdiction des transports, la fermeture des commerces et le confinement massif », a déclaré Jair Bolsonaro à la radio et à la télévision.  « Nous devons maintenir les emplois et préserver l’approvisionnement des familles », a ajouté le président brésilien.

Dimanche soir, le premier ministre suédois, Stefan Lofven, a rappelé aux citoyens que la crise du coronavirus ne faisait que commencer. Mais il n’a rien annoncé de concret, se contentant de lancer un appel à la responsabilité de tous.

Ainsi, la Suède fait partie des derniers pays européens à ne pas être confiné. 

Les médias suédois s’interrogent face à cette attitude du gouvernement, mais celui-ci répond « qu’il suit les recommandations de l’Agence de santé publique et affirme qu’il est prêt ».   La vie continue donc en Suède (presque) comme d’habitude : les bars, restaurants, parcs, cinémas et écoles sont encore ouverts.   Seules les personnes âgées sont encouragées à « rester à la maison », et les rassemblements de plus de 500 personnes, interdits.  Tout comme les Pays-Bas, le pays prône « l’immunité de groupe« . Le nombre de suédois infectés ne va donc, vraisemblablement, pas tarder à exploser. (Et après ? La grippe se répand chaque année et on n’effondre pas l’économie et on affame pas les pauvres pour autant. NDLR).

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