Alors que la colistière démocrate du candidat pédophile croulant Joe Biden représente le bien, la douceur, la gentillesse, le sionisme, la noirceur et l’avenir, le candidat du mal, de la méchanceté, du fascisme, du passé, du racisme et du sexisme Donald Trump remet en cause la constitutionnalité de la candidature et donc l’éligibilité de Kamala Harris, la personnalité qui mérite, selon les dires de la presse mainstream française, de devenir la première femme présidente des États-Unis.
Jusqu’où ira ce méchant Blanc hétérosexuel de plus de 50 ans ? Que fait Delphine Ernotte, qui a réussi deux coups fabuleux durant son premier mandat, nettoyer la télé publique des hommes blancs hétéros de plus de 50 ans (HBH50+) et couler l’économie du service public audiovisuel que plus grand-monde ne regarde à cause de sa propagande imbuvable ?
Trump a la presse de la côte Est et l’industrie de la communication de la côte Ouest contre lui, mais c’est pas une raison pour être agressif, surtout envers une dame sioniste qui travaille de concert avec un pédophile. Il y a des limites à l’amoralité !
Plus sérieux que les atermoiements antitrumpiens primaires de France 24, une des chaînes du groupe France Télévisions qui marque ainsi son gauchisme, ce qui n’est pas une découverte, on a déterré une petite analyse à contre-courant de Mathieu Bock-Côté, le penseur québécois de droite qui monte du côté du Figaro (ou que Le Figaro fait monter car il correspond à l’entreprise nationale-sioniste en cours en France). Cela s’intitule « Pourquoi Trump peut gagner », c’est payant, donc c’est un florilège.
D’abord, Mathieu (MBC), qui croit à fond au Covid, assène que le virus, ou plutôt la psychose produite par l’axe Gates-OMS et complaisamment relayée par les médias mainstream du monde entier, a fragilisé un président qui n’y a pas vraiment cru.
« Même si la gestion de la pandémie aux États-Unis est très contrastée selon les États, c’est lui qui, dans l’esprit public, est jugé responsable de ce qui passe, avec raison pour un désastre américain. D’une déclaration ubuesque à l’autre, il a contribué à sa propre décrédibilisation, comme s’il n’était pas vraiment parvenu à prendre le Covid au sérieux. À certains moments, il était franchement grotesque et tirait vers le bas la fonction présidentielle en plus de laisser son pays s’enfoncer dans la crise sanitaire. Les rodomontades trumpiennes sur le mode de la virilité surjouée étaient souvent pathétiques. »
On peut ne pas être d’accord avec MBC et penser que Trump a pris l’exacte mesure de l’ingénierie mondialiste qui avait pour but, entre autres, de le dégommer. D’où sa résistance, que MBC qualifie de « rodomontades ». L’avenir donnera raison à Trump sur ce sujet, mais aujourd’hui, c’est la peur qui domine, et qui fausse le jugement.
Ensuite, MBC relativise son jugement, qui part d’un postulat simple : Trump ne peut plus gagner depuis la crise du Covid et la mort de George Floyd, le criminel drogué qui a refusé d’obéir aux injonctions de la police et qui en est mort, comme Adama Traoré. Et justement, il n’est pas certain que l’amalgame entre la communauté noire et la délinquance noire soit bénéfique pour le Parti démocrate, et plus encore pour le peuple américain.
« Désormais, les sondages semblent définitifs. Si on les croit, Trump sera éjecté de la présidence. L’embrasement ayant suivi la mort effrayante de George Floyd l’aurait même achevé. Mais si l’Amérique s’est révoltée avec raison devant cette scène, il n’est pas certain qu’elle se reconnaisse dans la radicalisation de cette protestation, qui a viré à l’émeute et au vandalisme iconoclaste en plus de semer ici et là des foyers d’anarchie comme on l’a vu à Portland. Sur ce terrain, Trump espère rebondir. Il a déjà envoyé ce signal : il fera campagne non seulement contre “Sleepy Joe”, comme il surnomme méchamment Joe Biden, en laissant entendre qu’il est atteint de sénilité, mais contre la gauche radicale qui aurait mis la main sur le Parti démocrate, même si le choix de Kamala Harris comme colistière, qui relève en partie du clientélisme ethnique revendiqué, est censé rassurer l’électorat. »
Pascale Clark, avec sa voix crispante qui va plomber encore plus les audiences d’Europe 1, raconte la reconduite de l’Ernotte à la tête de la propagande publique :
Et là, on retombe sur le pire de l’idéologie actuelle : l’ernottisme !
« Telle est peut-être la dernière chance de Trump. Car la radicalisation de la gauche américaine est indéniable, comme en témoigne la gauche modérée elle-même, qui s’est récemment soulevée contre la “cancel culture”. Elle trouve son noyau idéologique dans l’université, où s’est imposée la figure de la foule lyncheuse, mais elle n’y est plus confinée. Son univers mental a contaminé tout le pays. La gauche radicale américaine se complaît dans une idéologie qui fait de la haine de l’homme blanc hétérosexuel son principal moteur. Elle fantasme ouvertement sur la mise en minorité des “Blancs”, comme s’il fallait prendre contre eux une revanche historique, ce qui n’est qu’une manifestation parmi d’autres de la névrose raciale américaine qui tend par ailleurs à s’exporter en Europe. »
MBC a retrouvé une citation électoralement désastreuse du pédophile dormant, le surnom mauvais de Joe Biden (qui se réveille en présence de petites filles, le dégueulasse), qui pourrait bien lui revenir dans la gueule…
« On l’oublie mais Biden lui-même, qui a pourtant la réputation d’un centriste, a déjà versé dans cette rhétorique. En 2015, il disait :
“La vague (d’immigrants) continue toujours. Cela ne va pas s’arrêter, et nous ne devrions pas non plus vouloir que cela s’arrête. En fait, c’est l’une des choses dont, je pense, nous pouvons être le plus fiers. (Nous voulons) un flux d’immigration incessant. (…). Des gens comme moi qui étaient de race blanche, d’origine européenne, pour la première fois en 2017 nous serons dans une minorité absolue aux États-Unis d’Amérique. (…) Moins de 50 % de la population américaine, à partir de là, sera de souche européenne blanche. Ce n’est pas une mauvaise chose. C’est la source de notre force.”
Biden se trompait de quelques années. La démographie américaine annonce plutôt ce basculement pour 2043. Chose certaine, plus la campagne se clivera autour de la question identitaire, plus Trump espérera tirer son épingle du jeu. »
Ce calcul démographique fondé sur l’adjonction de minorités agissantes – ou plutôt agressives, voire lyncheuses (féministes, antiracistes ou racialistes noirs, homosexualistes, antifas) – a déjà été utilisé par le parti démocrate en 2016, qui a misé sur tout sauf sur le peuple américain (incluant les ouvriers et les employés), en majorité blanc mais pas que : il y a de plus en plus de Latinos et de Noirs qui se sentent américains avant de se sentir noirs ou latinos. On a vu le résultat. Hillary a fait une crise de nerfs vers 4 heures du matin dans sa suite d’un hôtel new-yorkais à l’annonce des résultats définitifs le 8 novembre 2016.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation