« À la suite de la manifestation citoyenne qui a réuni, vendredi dernier, des Palavasiens dénonçant l’insécurité grandissante, Boulevard Voltaire a rencontré Jean-Michel Mostacci, le cofondateur du groupe “Tout n’est pas permis à Palavas”.
Il fait part de sa colère face à l’ensauvagement quotidien que subit son village de Palavas-les-Flots, depuis le début de la saison estivale : rodéos urbains, insultes, agressions de la part de jeunes “des cités” qui agissent “en toute impunité” et “emmerdent tout le monde”. » (Boulevard Voltaire)
Face à tant d’emmerdements (on a dépassé depuis longtemps le stade des « incivilités », ce terme inventé par les gauchistes pour minimiser la nuisance des racailles), Bruno Gollnisch propose une solution assez simple, mais il n’est pas au pouvoir.
Suggestion devoirs d’été pour ministres :
–Construire 40 000 places de prison pour les voyous.
–Supprimer les obstacles bureaucratiques à la création d’entreprise
–Réduire le coûteux millefeuille administratif
–Une loi pour que la nationalité française s’hérite ou se mérite
Etc.— Bruno Gollnisch (@brunogollnisch) August 11, 2020
Dans d’autres pays, on ne s’embarrasse pas d’associations, de manifs et de plaintes, on tire dans le tas. C’est pas bien, mais ça défoule :
Gare au migrant perturbé sexuellement par son déracinement qui aurait l’idée d’agresser cette petite fille…
Les policiers gallois ne sont pas aussi patients, ou aussi paralysés par les lois francs-maçonnes pro-droits de l’homme (mais surtout de la racaille et du migrant), que les nôtres :
« Beaucoup de gens veulent monter une milice à Palavas. Le but de notre groupe est d’empêcher cela. Nous voulons respecter la loi et éviter de dégrader notre village et notre image. Je ne vous cache pas que c’est pour éviter que des personnes solvables qui travaillent tous les jours puissent commettre un impair et être jugées à cause de cet impair, alors qu’elles sont les premières victimes. »
Le groupe « Tout n’est pas permis à Palavas ! » n’est pas encore une milice d’autodéfense mais, sait-on jamais, ça pourrait le devenir un jour. En attendant, bloqués par les lois françaises pro-racailles, les habitants souffrent, écrit Boulevard Voltaire :
« En cinq semaines, ce groupe a réuni exclusivement 850 Palavasiens puisque le groupe est privé et ne s’adresse qu’aux Palavasiens. Nous avons décidé de monter des petites actions comme des petites manifestations et apporter notre soutien à notre police municipale et à notre gendarmerie, pour qu’elles puissent obtenir des renforts en cours de saison. Nous voyons ces délits exploser. On avait besoin de remonter les informations au niveau du préfet pour qu’il mette vraiment le paquet sur les renforts de gendarmerie et de police. »
On sent une montée du sentiment national français – en opposition aux exactions des racailles qui sont tous d’origine étrangère, de près ou de loin – malgré les injonctions de la gauche antiraciste, c’est-à-dire antifrançaise,
« Tout ce que l’on vit à Palavas c’est une insécurité grandissante depuis le mois de juin. C’est invivable pour nous. Les Palavasiens sont prêts à défendre leur village coûte que coûte avec l’aide de la police, de notre maire et de l’État. Je serais prêt à réunir encore plus de Palavasiens et à donner de mon temps. Je serais prêt à être l’émissaire avec mon équipe pour pouvoir porter la parole du citoyen. Je serais prêt à défendre bec et ongle mon village s’il le fallait à un moment ou à un autre. »
Il y a une lenteur dans la prise de conscience chez les Français de la politique de nuisance décidée par le pouvoir profond, qui a déclaré, de fait, l’impunité de ces racailles qui cumulent, pour certains, plus de 30 arrestations sur leur casier. Le message est clair : on lâche les fauves dans la nature pour que vous vous teniez tranquilles, vous les Français, on organise une guerre de basse intensité entre les racailles et vous, et en plus, vous allez finir par haïr ces racailles, qui vous haïssent déjà, et votre colère ne remontera jamais jusqu’en haut, chez les ingénieurs sociaux responsables de ce gâchis monumental à l’échelle d’une nation.
Cette naïveté se retrouve, malheureusement, chez ces Français qui désirent apporter la bonne parole droit-de-l’hommiste en Afrique, où ils ne sont pas forcément les bienvenus.
Léo, Stella, Antonin, Charline… les 6 humanitaires français, membres de l’ONG #Acted, assassinés au #Niger qui croyaient au « vivre-ensemble » et a l’amitié avec leurs frères africains….. quelle naïveté.
Reposez en paix….. pic.twitter.com/5r0lin9YyF— Stalker (@_Stalker_69_) August 11, 2020
Cette confrontation finale, et sanglante, c’est ce sur quoi tablent les nationaux-sionistes qui prennent actuellement la main sur les médias mainstream chez nous. Pour cela, ils jouent sur du velours : les nouveaux ou les derniers arrivants ne font rien pour améliorer leur image !
Cette pauvre femme, qui n’a même pas l’excuse de l’arriération mentale pour se soulager dans la rue au vu et au su de tous, n’a rien à faire chez nous. Sa place est dans son pays d’origine, où ses concitoyens en feront ce qu’ils voudront.
La préférence antinationale n’est pas une lubie complotiste d’extrême droite, c’est une réalité tangible, la preuve :
Quand la CEDH condamne la France à verser à 2 demandeurs d’asile 10000 euros et pour le troisième 12000 au titre de dommage moral pour manque d’assistance…On peut tourner la situation dans tous les sens c’est plus possible !!! https://t.co/KCE4qhLG0R
— Taranis (@Fab31181342) August 9, 2020
Sinon c’est 1500 balles d’amende pour les agriculteurs qui arrosent leurs champs dans certaines régions (reportage au 20h il y a qqs jours) https://t.co/OiA2Xe7sAQ
— CassHect (@CassHect) August 10, 2020
Quant à ce fact-cheking de l’AFP, cette agence de presse mondialiste qui ne devrait plus porter le nom de France, il a fait sourire tout le monde sur Twitter :
Moment factchecking de l’AFP Factuel : les « étrangers n’ayant jamais travaillé » ne touchent pas « 1 157 euros de retraite », mais touchent 903,20 euros par mois « au maximum » https://t.co/QPRolMOpYZ
— Nouvel Ordre Mondial (@Nova153) August 11, 2020
En France, un clandestin qui ne travaille pas gagne mieux qu’un jeune qui fait ses études en alternance ou qu’un stagiaire à l’hôpital. Au lieu d’aider ceux qui commencent dans la vie, on subventionne des étrangers qui ne travaillent pas…
— Renaud (@Renaud_Sand) August 8, 2020
À comparer avec les salaires de misère de nos paysans, qui se cassent en deux pour nourrir la nation ! Et du côté des politiques, personne ne trouve rien à redire à cette situation à l’envers. Le revirement de La France insoumise vers SOS Racisme n’étonne plus guère : on saute sur les voix des banlieues, car du côté des ouvriers, il n’y a plus de rêve socialiste.
En 2020, malgré l’intense campagne de propagande permanente pour l’antiracisme, les peuples en ont marre des Aliens qu’on leur met dans les pattes, et qui ne sont là ni pour une possible assimilation ni pour une intégration : ils sont là pour foutre la merde, à leur corps défendant parfois, ils sont là pour briser la solidarité nationale fondée sur une culture commune. Ce sont des mines anti-vivre ensemble, et le pouvoir mondialiste nous en met partout, jusque dans les plus petits villages. La réaction, qui n’est pas du racisme mais du ras-le-bol, monte. Une réaction saine de la part de peuples sur lesquels l’oligarchie et ses petits soldats du sous-prolétariat mondial se sont trop essuyés les pieds :
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation