« Le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme a déposé une cinquantaine de plaintes depuis mars pour des actes ou propos antisémites en France. Une hausse également constatée dans plusieurs pays, notamment en Allemagne. »
Ça doit faire la 250e montée de l’antisémitisme en trois ans, du coup ça fait plutôt bailler. Mais on applaudit l’effort du BNVCA, une officine israélienne complètement bidon et bidonneuse de chiffres, celui de remettre sans cesse sur la table un antisémitisme fantasmé qui rapporte aux organisateurs du pouvoir sioniste.
Car plus il y a d’antisémitisme, réel ou factice – ce n’est même plus le problème –, plus on peut sortir la schlague (lois, répression, indemnisations, censures). C’est simple : pour le pouvoir profond, le plus grand risque, c’est que l’antisémitisme disparaisse (ou que les juifs s’assimilent), car alors le pouvoir sioniste n’aurait plus de raison d’être.
« “L’antisémitisme est un virus contagieux”. Félix Klein n’avait pas mâché ses mots lorsqu’en avril dernier il alertait sur la montée de l’antisémitisme en Allemagne. “Il y a des liens directs entre l’actuelle propagation du coronavirus et celle de l’antisémitisme”, avait alors déclaré le commissaire du gouvernement allemand chargé de l’antisémitisme. Fin juillet, Josef Shuster, le président du Conseil central des juifs en Allemagne, a pris le relais en exprimant son inquiétude quant à la profusion de théories du complot sur les réseaux sociaux rendant les juifs responsables de la propagation du virus. »
Dans l’article du Figaro qui n’a aucun recul, on se demande si le véritable virus n’est pas justement le sionisme. Là, c’est du réel bien tangible, bien dur, rien à voir avec la grippe saisonnière rebaptisée « Covid-19 » ou l’antisémitisme prétendu des Français, chrétiens et musulmans confondus.
Le Bureau de vigilance machin peut déposer autant de plaintes qu’il voudra, de toute façon notre justice est biaisée et les médias mainstream sont complices. En bas, dans la vraie France, on a bien compris de quoi il retournait : il s’agit uniquement de conserver ce pouvoir incroyable sur les Français. Mais ça pourrait ne pas durer, car le chaos remonte parfois chez ses instigateurs.
« Ce phénomène s’inscrit dans une tendance à la hausse de l’antisémitisme. Les délits contre les juifs ont, en effet, connu une forte augmentation ces dernières années en Allemagne, bondissant de près de 20 % en 2018. “Nous avons deux indicateurs pour mesurer l’antisémitisme : d’une part, le nombre de crimes commis contre les juifs, d’autre part, des études pour déterminer ce que les gens pensent des différents groupes ethniques, précise le professeur Uffa Jensen, membre du Centre de recherche sur l’antisémitisme à Berlin. Les deux indicateurs ont augmenté même avant même la pandémie. Nous n’avons pas les chiffres pour 2020, mais je pense qu’ils vont augmenter, le coronavirus n’a vraiment pas aidé”. »
Les crimes contre les juifs, qui se comptent sur les doigts d’une seule main (avec deux doigts coupés) en Europe, ne sont rien par rapport aux crimes commis contre les chrétiens, par exemple, ou les Blancs, pour reprendre une expression à la mode. Comme d’habitude, la communauté juive organisée fantasme sa victimisation et dénie à toute autre communauté, confessionnelle ou nationale, la place de leader dans l’échelle de souffrance. Pourtant, les chiffres, les vrais, sont là :
La suite de l’article du Figaro n’est qu’une enfilade de chiffres invérifiables et complaisants, les ministères de l’Intérieur de la France et de l’Allemagne prenant les fantasmes des officines sionistes pour argent comptant. Il faut vraiment que nos administrations soient dangereusement infiltrées pour en arriver à une telle désinformation !
« L’Allemagne n’est pas le seul pays à connaître une hausse de l’antisémitisme. Dans son rapport annuel, publié en avril, le Centre Kantor de l’Université de Tel-Aviv a recensé 456 actes violents antisémites dans le monde en 2019, soit une hausse de 18 %. Si les auteurs de l’étude n’ont pas encore inclus les statistiques de 2020, ils ont toutefois noté que l’épidémie de Covid-19 avait déclenché une vague conséquente d’antisémitisme. »
Immanquablement, on retrouve l’officine complotiste sioniste « Conspiracy Watch » dans le coup :
Les crimes antisémites réels venant à manquer, de simples dessins suffisent à faire des bâtons dans la colonne « passif »… qui devient par magie une colonne « actif » grâce au soutien des pouvoirs visibles, visiblement sous influence.
Le pouvoir sioniste, qui tient la machine hollywoodienne, ne se gêne pas pour imprimer dans la tête de centaines de millions de jeunes Européens depuis un siècle des images antichrétiennes, et depuis peu antimusulmanes. Mais ce n’est rien par rapport à deux dessins très années 30. Toujours ce « deux poids, deux mesures » d’un commerçant qui trafique sa balance…
Au fait, on parle de crimes antichrétiens qui n’intéressent pas le pouvoir profond et sa presse mainstream soumise, on n’a même pas parlé des crimes israéliens en Palestine. Là, à la place de chiffres trafiqués, on a de vrais morts. Des civils, des femmes, des enfants. Et aujourd’hui, c’est le Liban et 500 000 enfants qui sont en train de souffrir d’un boycott économico-bancaire qui sent à plein nez la répression sioniste.
S’il n’y a pas de fumée sans feu, il n’y a pas non plus de feu sans fumée…
Le débat qui suit est tronqué, puisque la montée de l’antisémitisme est un postulat que les débatteurs ne remettront pas une seconde en question :
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation