Jusqu’à ces derniers temps la guerre contre les peuples se déployait, sournoise, derrière un paravent. Maintenant, elle ne cherche plus à se cacher et c’est à visage découvert que la subversion marxiste – oui, marxiste, c’est-à-dire communiste, ce courant messianique venu du fond des âges qui veut l’arasement des conditions sociales et l’encasernement des peuples ! – revient au galop avec le jusant de l’Histoire. Aux États-Unis, où l’on détruit à tout va les statues de Christophe Colomb, comme à Baltimore, sur la côte Est, ce 4 juillet, jour de l’Indépendance (1776), sacrilège mémoriel venant après Boston, Miami, Richmond en Virginie ou Camden dans le New Jersey. Cela sans que les criminels imbéciles songeassent un seul instant que sans le grand découvreur – et les navigateurs Vikings qui le précédèrent – le nouveau monde serait encore un continent en friches et eux croupiraient à l’ombre de leurs arbres à palabres dans les marigots du sous-développement. Un état de misère et de barbarie dont la colonisation – avec ses ombres et ses lumières – n’est pas parvenue arracher le continent noir, lequel n’a de cesse de revenir à ses anciens démons comme le chien à sa vomissure [1] en transformant l’or du legs occidental en vil plomb… en un mot le retour à la sombre obscurité des origines.
La révolution, pas moins… Aux abords de la Maison-Blanche
Ce 4 juillet, dans les jardins de la Maison-Blanche, dans une adresse à la nation américaine, le président Trump (que le même jour l’ancien ambassadeur français, Gérard Araud qualifiait « d’individu répugnant » [2] au cours d’un débat sur la chaîne parlementaire LCP), évoquant le navigateur génois, martela : « Nous nous battrons ensemble pour le rêve américain, et nous défendrons, protégerons, et préserverons le mode de vie américain qui a commencé en 1492 quand Christophe Colomb découvrit l’Amérique… Nous sommes en train de vaincre la gauche radicale, les marxistes, les anarchistes, les agitateurs et les pilleurs… Nous ne permettrons jamais à une foule en colère de démolir nos statues, d’effacer notre histoire et d’endoctriner nos enfants ». Gauche radicale et mouvements racialistes instrumentalisés par le camp démocrate au risque d’embrasements plus larges, voire de guerre civile, avec en arrière-plan l’État profond bien décidé – la procédure d’impeachment ayant échoué – à abattre le président indocile comme auparavant les frères Kennedy et Ronald Reagan qui échappa de peu à un tir létal.
Trump l’homme à abattre
Tandis que ce même Donald Trump avait exigé la veille que la police arrêtât et poursuivît toute personne qui endommagerait un monument, on voyait les gouverneurs et les maires démocrates encourager les saccages. Ainsi, les nouveaux Lassalle [3] du Parti démocrate américain jettent bas les masques cherchant à réitérer la révolution de février 1917 en Russie et la prise du pouvoir par le socialiste Alexandre Kerenski… Révolution qui ouvrait la voie au coup de force d’octobre et à l’instauration de la terreur rouge… Donc, nos bons démocrates en soulevant des minorités racisées (le lumpenprolétariat noir identifié à son fétiche, le délinquant George Floyd qui, gavé de méthamphétamine [4], trépassa sous le genou du petit blanc Derek Chauvin), espèrent sans doute reconstruire un monde plus juste sur les ruines fumantes de l’ancien et sur le dos des classes moyennes laborieuses sans distinction de races ou de couleurs.
Si ce n’est pas Karl Marx au second plan, il lui ressemble bigrement
À telle enseigne que le 8 juin, à Seattle (État de Washington dans le nord-ouest sauvage), les militants du Black Lives Matter – mouvement ouvertement d’inspiration marxiste financé par le philanthrope George Soros – investissaient le quartier chicos de Capitol Hill et prenaient possession de l’hôtel de police abandonné par ses fonctionnaires. Cependant, après trois semaines d’occupation anarcho-zadiste et une mort d’homme, le maire démocrate de Seattle, Jenny Durkan – au départ très complaisant pour ne pas dire complice et qui ne se privait pas de faire des gorges chaudes du président Trump pour ses propos relatifs aux « terroristes de l’intérieur » – décidait finalement le 1er juillet de faire évacuer tous ces joyeux lurons prétendant réinventer le monde et faire régner l’ordre républicain à la façon des bandes hexagonales tchétchènes à Dijon…
Milices racisées… Comme une odeur de soufre et de guerre civile
Pourtant, parce que la libre commune libérée de l’oppression blanche était patrouillée par des groupes d’individus fortement armés, il s’ensuivit une (ou plusieurs ?) fusillade et un mort, sans que la police, exclue de ce cirque, ait été en mesure d’intervenir : « Les policiers n’ont pu accéder à la scène de crime… empêchés qu’ils l’étaient par “une foule violente” refusant qu’ils pénètrent dans le quartier nouvellement autogéré » (communiqué de la police locale). Chouette autogestion ! Un quartier où Black Lives Matter s’affiche en lettres géantes (aux couleurs de l’arc-en-ciel ce qui souligne la connexité entre les mouvements racialiste et lgbtiste, continuité qui n’est évidemment pas fortuite) sur les chaussées, les façades d’immeubles et le poste de police souverainement déclaré « propriété du peuple de Seattle »… Village de tentes installé dans le parc voisin où les pelouses se sont muées un temps en jardin potager… Bref, une zone rebelle au cœur de la ville (à la manière de la très franchouillarde et crasseuse ZAD de Notre-Dame-des-Landes), telle que conçue naguère par le prophète de l’agitation sociale, Saul Alinsky, né en 1909 à Chicago dans une famille d’immigrés russes « juifs et pieux » (Wiki), maître à penser de la gauche radicale américaine (Reveille for Radicals, 1946) et inventeur de l’organisation proactive des communautés (community organizing). Il fut à ce titre le précurseur du renouvellement de la théorie de la lutte des classes dans et par le combat politique et subversif des minorités (se traduisant maintenant par cette inquiétante poussée de fièvre raciale), tel que théorisé par le génial – dans le mal – freudo-marxiste Herbert Marcuse … Également issu d’une famille juive de la haute bourgeoisie de Berlin, où il vit le jour en 1898.
Le freudo-marxisme dans son œuvre de mort
Son ouvrage majeur, L’Homme unidimensionnel (1964) eut une profonde influence aux États-Unis, entre autres sur la militante racialiste Angela Davis [5] avec laquelle la passionaria de la caillera, Assa Traoré se flatte d’entretenir une relation de maître à disciple depuis leur rencontre à grand spectacle en juin 2018. La doyenne de 74 ans voit dans la lutte de sa cadette (quarante ans les séparent), une « dénonciation claire, à travers la violence policière, du “racisme structurel” imprégnant la société française dans sa généalogie avec le colonialisme et l’esclavagisme (à l’instar de la situation de la minorité noire d’Amérique) » jugeant qu’il « était temps que les femmes prennent la tête des mouvements de lutte, parce qu’elles en ont toujours été la colonne vertébrale ». On sait que les femmes sont assurément des opprimées systémiques, il suffit de le croire pour le voir !
Davis/Traoré : deux générations, un seul et même combat
On ne peut que constater l’extraordinaire continuité internationaliste – se conjuguant à présent avec le mondialisme traversant le monde contemporain de part en part, de Berlin à Los Angeles… Mai 68 avait commencé sur les campus des universités californiennes, notamment à Berkeley et dans les spasmes subversifs se retrouvent inlassablement toujours les mêmes groupes messianiques subversifs avides de pouvoir… des minorités qui ne peuvent s’empêcher de vouloir détruire la civilisation – transcendance/travail/famille/patrie – et au-delà d’invertir l’ordre naturel (intersexualité/interracialité/cloaque interconfessionnel), menant contre l’héritage spirituel et culturel, contre l’ordre et la tradition, une guerre impitoyable. La nouvelle idolâtrie qui érige les voyous en héros sublimes, qui sanctifie Barabbas, en dit long à ce propos.
Des peuples bâillonnés avec leur consentement
Alors que les hommes, en liberté très surveillée, sont tenus en laisse courte par une administration meurtrière et abrutis par les mensonges médiatiques systémiques, quoi qu’en disent des sondages éminemment suspects, les Français sont loin d’être ravis… alors qu’ils sont conviés à participer activement à leur propre mise en sujétion, en s’affublant eux-mêmes de muselières, symbole d’une soumission aveugle à un État failli sur tous les plans, avant, pendant et après la crise sanitaire !
Toutefois, en contrepartie, les masques de nos si mauvais pasteurs se mettent à tomber et les objectifs d’asservissement global de l’humanité commencent d’apparaître nettement au grand jour… À commencer par le passeport vaccinal que l’on nous prépare (éventuellement sous forme d’implants sous-cutanés de nanoparticules), préfiguration du signe de la Bête tel qu’annoncé par l’Apocalypse de saint Jean… Sujétion de l’humanité sous couvert de guerres extérieures néo-impériales et messianiques en vue d’imposer les idolâtries modernes que sont le monothéisme du Marché et la démocratie universelle sociale-libérale ; guerres sociétales intérieures pour déstructurer, déconstruire la civilisation et ses divers visages, atomiser les nations (réduire les individus à des agglomérats de monades narcissiques, facebouquées mais désespérément anonymes), bref, faire du passé table rase ! Pour ceux qui n’auraient pas encore saisi, il n’y a pas de convergence entre le projet du communisme (le servage collectif dans un monde nivelé/égalitariste) et celui de l’anarcho-capitalisme, l’humain marchandise, jetable après usage… Non, pas de convergence parce qu’il s’agit d’un même et unique projet progressant par deux voies différentes : face nord/face sud, ubac et adret. Sur ce point particulier, Herbert Marcuse n’avait effectivement pas tort !
Qui ne voit en effet l’effarante distorsion existant entre les soi-disant « valeurs » des philanthropes dont les biographies s’étalent démesurément et si complaisamment sur les pages de Wikipédia (les Soros, les Gates, les Rothschild, les Rockefeller, les Schiff… la liste est interminable) et la réalité vraie. Entre le fétichisme affiché de la vie humaine et les vingt-cinq mille sacrifiés [6] en France pendant la crise du Covid sur l’autel du scientisme et d’une médecine inféodée aux grands laboratoires, en sus d’être bureaucratisée, technicisée et finalement déshumanisée ?
Oui, le Système est en guerre contre le genre humain. Ces dernières décennies, cette guerre se faisait encore discrète… Les guerres extérieures n’ont, elles, jamais cessé mais comme les théâtres d’opérations se situaient sous la ligne d’horizon, « on » ne s’en préoccupait guère ! Ce furent les belles années du Club Med et des bronzés, de la Pax Americana et de l’Union européenne. Reste que l’érosion était à l’œuvre, même si elle fut longtemps insensible ou peu visible. L’avortement, des femmes blanches essentiellement, saignait silencieusement le pays à hauteur de deux cent mille naissances perdues par an ; en quarante ans, huit million pour la France, une vingtaine pour l’Europe de l’Ouest, une hécatombe d’une autre ampleur que celle de la Seconde Guerre mondiale.
- Vaccins à base de fœtus humain… Les méthodes molochiennes du Dr Plotkin, dont les ascendants siégeaient (hypothèse hyperbolique) à n’en pas douter, au tribunal de Nuremberg.
Qui ignore encore l’usage cosmétique des fœtus avortés [7] et leur participation à la fabrication des vaccins [8]. Ce sont les mêmes qui accusaient le Dr Mengele des pires horreurs, ceux qui pratiquaient hier la vivisection lorsqu’elle était encore légalement admise… Se gaussant en outre des médecins catholiques qui désapprouvaient ces pratiques immondes en leur opposant que selon la dogmatique chrétienne « les animaux n’ont pas d’âme » ! Peut-être – mais ce serait encore à voir tant la sainteté chrétienne est tout au long de l’histoire étroitement associée au monde animal… à commencer par saint François –, il n’en reste pas moins qu’avec ou sans âme la souffrance des bêtes torturées (plus ou moins gratuitement) par la recherche médicale et pharmaceutique est bien réelle, qu’elle est tangible et intolérable à tout esprit non dégénéré.
À ce sujet notons que parmi les mauvais coups bas concoctés par les pouvoirs publics durant le confinement (loi Avia plus ou moins passée dans les faits même si retoquée par le Conseil constitutionnel [9], enseignement de la langue arabe dès le primaire, le 110 km/h sur autoroute ajournée pour le moment après le 80 partout ailleurs, etc.), le gouvernement vient d’autoriser en loucedé (en cachette) la vente par des particuliers aux laboratoires de leurs animaux de compagnie dont ils voudraient se débarrasser [10]. D’ici à ce que le goût du lucre ne conduisent des gens au cœur putréfié ou pétrifié à razzier les chats et les chiens des voisins, le pas risque d’être vite franchi. Enfants gardez vos blancs moutons, la vorace crapulerie rôde aux abords de vos maisons et règne en maîtresse absolue dans la branlante maison de la Macronerie… !
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