A qui confieriez-vous votre vie ? Voilà la question !

A qui confieriez-vous votre vie ? Voilà la question !

  1. Campagne de dons – Juin 2020

    Chers amis lecteurs, Au début de cette année, nous écrivions que 2020 serait une année de bouleversements à l’échelle mondiale. Elle a pleinement tenu ses promesses, et ce n’est apparemment que le début de quelque chose de plus grandiose encore, et dont la principale caractéristique est une tentative de prise de contrôle total de l’information. C’est même l’essence de toutes les guerres livrées contre les peuples depuis quelques décennies. Plus que jamais, il est nécessaire que des sites comme le nôtre se multiplient pour contrer toutes les tentatives de monopoliser l’information à des fins de manipulation. Grâce à votre fidélité, vos encouragements et votre aide, nous avons réussi à surmonter toutes les pressions et contourner les divers obstacles destinés à nous faire disparaitre ou à nous intimider. Nous comptons à nouveau sur vous pour nous aider dans notre combat, et nous permettre de continuer à vous fournir un travail de qualité et une vision juste et équilibrée du monde. Merci pour votre soutien. Avic

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par Dominique Muselet.

BFM TV, une des TV officielles de la Macronie, s’est apparemment sentie obligée d’interviewer le Professeur Raoult après que l’émission « 24 heures Pujadas » a réalisé un record historique d’audience, avec plus de 720 000 téléspectateurs, grâce à ce même professeur, quelques jours auparavant.

L’interview

BFM TV a dû se déplacer à Marseille, vu que l’illustre professeur n’a ni le temps, ni l’envie, de monter à la capitale. La TV a dépêché une de ses journalistes vedettes, Madame Ruth Elkrief, accompagnée d’une débutante, aussi sotte qu’effrontée, qu’elle a protégée, avec l’énergie d’une mère poule, des coups de patte de l’ours Raoult, tout au long de l’interview. Dépêchez-vous, avant que BFM TV ne les efface, d’aller lire les commentaires sous la vidéo, c’est un vrai régal.

C’est quelqu’un ce professeur Raoult ! Il a réussi à résister à l’entreprise d’abaissement du débat dans laquelle essayaient de l’entraîner, sans relâche, les deux pimbêches de BFM TV. Il a réussi à dire ce qu’il avait à dire, sans que cela cesse un instant d’être passionnant et instructif ni de sonner juste, malgré les interruptions incessantes et les questions, si on peut appeler ainsi les interventions à la fois prétentieuses, orientées et ras des pâquerettes des deux dames, plus occupées à se faire valoir, par des remarques qui se voulaient intelligentes et documentées comme des topos de wikipedia en ce qui concerne la débutante cooptée, et par la projection de ses propres ambitions mesquines sur un scientifique dont elle ne peut comprendre ni le talent, ni la noblesse d’âme pour la vétérante.

Il y a eu un moment particulièrement émouvant et significatif quand le professeur a expliqué qu’il s’était senti le devoir d’agir comme il l’avait fait parce qu’il avait pensé « que ce pays partait dans le mur, que le bateau était en train de couler et qu’il fallait l’empêcher de couler » et il a eu, à mon sens, tout à fait raison d’ajouter que « si autant de monde l’a écouté, c’est parce que ce sentiment était immensément partagé ». Le professeur s’est montré sincère et vrai tout au long de l’entretien, ce qui contrastait avec l’affectation de Ruth Elkrief et la prétention satisfaite de sa jeune comparse.

Le décryptage sur un plateau

Le même soir, toujours sur BFM TV, un plateau de décrypteurs (chargé de remâcher l’interview pour le régurgiter en mode petites phrases à des téléspectateurs trop débiles pour comprendre autre chose) s’en donnait à cœur joie, dénonçant avec alacrité la haute opinion que le professeur avait de lui-même et la cruauté dont il avait fait preuve à l’égard de la protégée de Ruth Elkrief. Quelle jouissance, pour ces médiocres, de pouvoir se moquer en toute impunité d’un grand homme qui ne cache pas son mépris pour eux, ou pire encore, son indifférence ! « Je ne regarde pas la télé ! » a-t-il lancé aux deux femmes sûrement convaincues qu’on ne peut survivre sans BFM TV. A défaut de pouvoir l’égaler, ces faiseurs d’opinion serviles et lâches peuvent au moins le tourner en ridicule. Quelle revanche !

On sentait quand même, chez certains d’entre eux, un certain embarras à aller plus loin dans l’opération de discrédit du scientifique dont les seuls défauts sont de ne pas être à la botte du pouvoir et d’avoir raison, parce que l’étude du Lancet sur laquelle ils avaient compté pour en finir avec lui vient juste de leur claquer dans les pattes, et que l’OMS, qui a comme premier financeur Bill Gates, le Monsieur vaccin international, a annoncé dans la foulée qu’il reprenait les essais cliniques sur l’hydroxychloroquine.

Les études

Bill Gates sait très bien qu’il n’a pas besoin de s’en faire. Il n’y aura sans doute jamais d’étude sérieuse sur le protocole de soins du Pr. Raoult qui pourrait nuire à son projet de vacciner toute la planète de gré ou de force, parce que, selon un des décrypteurs du plateau, Jean-François Toussaint, médecin, professeur de physiologie à l’Université Paris-Descartes, « l’épidémie est en train de s’arrêter dans le monde entier et il n’y aura plus de recrutement », c’est à dire plus assez de malades pour servir de cobayes.

Tout ça, c’est de la faute du Pr. Raoult. Il aurait dû écouter ce que les plateaux successifs de médecins d’opérette et d’éditorialistes zélés n’ont cessé de lui répéter. Il aurait dû faire des essais randomisés au début de l’épidémie. Il aurait dû obtenir des malades qu’ils acceptent de recevoir un placebo au lieu de l’hydroxychloroquine salvatrice. Mais ce que les médecins de plateaux, les statisticiens déshumanisés et les médias accros au buzz et à big pharma ne peuvent ni ne veulent comprendre, c’est que les gens ne veulent pas qu’on leur administre un placebo quand ils ont attrapé le virus. Ils veulent qu’on les soigne, un point c’est tout !

« Et vous, que feriez-vous s’il s’agissait de vous, de votre famille, de vos enfants ? » demande le professeur à Madame Elkrief, qui botte en touche et lui refait le même reproche deux minutes plus tard, comme si le professeur ne lui avait pas répondu. Madame Elkrief ne peut pas comprendre ce que lui a répondu le professeur parce qu’elle fait partie de la caste. Ce n’est pas sur elle qu’on fera des essais cliniques, mais sur quelques pauvres ères, quelques riens, quelques sans dents. Elle ne peut pas comprendre que le professeur refuse de donner à ces pauvres rebuts de l’humanité une occasion de servir pour une fois à quelque chose, en mourant pour démontrer l’efficacité d’un traitement dont elle pourra ensuite bénéficier en toute sécurité, puisque les procédures auront été respectées. Tout est dans la procédure, n’est-ce pas ? La procédure imposée par des pseudo-scientifiques, des hauts-fonctionnaires, qui n’ont justement qu’un seul talent : pondre des procédures, des protocoles, des conventions, des réglementations. Ils ont d’ailleurs donné le meilleur d’eux-mêmes dans les Protocoles de déconfinement, jugés pour la plupart impraticables.

Une star

Mais ce qui a vraiment énervé les élites qui étaient sur le plateau de BFM TV, c’est que le Pr. Raoult dise de lui-même qu’il est une star dans le domaine scientifique, qu’il revendique pour lui-même le statut d’élite. Qu’il énumère ses découvertes et ses succès. À vrai dire cela m’a surprise aussi, surtout de se revendiquer élite, une élite si discréditée que le mot évoque immédiatement la corruption, la cupidité, l’ignorance, la manipulation, le mensonge, la bêtise.

Je n’ai aucune confiance dans l’Establishment. Je me suis rendu compte, il y a déjà longtemps, que la vérité est souvent presque exactement le contraire de ce que les tenants de l’ordre établi affirment. J’ai tendance à avoir de la sympathie pour les victimes des puissants, ceux et celles qu’ils persécutent, pourchassent et ostracisent, tout en étant bien consciente que la victime n’est pas toujours celle qu’on croit. J’ai donc écouté presque toutes les interventions du professeur et suivi attentivement la polémique, et s’il y a un traitement que j’ai trouvé inacceptable, ce n’est pas celui du Pr Raoult (l’hydroxychloroquine) – je ne suis pas médecin – c’est celui que la caste a réservé au Pr. Raoult.

Au début, dans les vidéos, il était très modeste. Il ne faisait pas état de ses performances personnelles. Il se contentait de défendre son traitement. Ce n’est que dans l’interview avec Pujadas qu’il a pris le parti de parler de lui-même comme un autre le ferait, comme on rédige une fiche wikipedia ou la page de garde d’un ouvrage. Il savait forcément que les médiocres de l’intelligentsia scientifique, médiatique, politique qui étaient après lui, en profiteraient pour le tourner en ridicule et le traiter de vantard, de flagorneur, etc, mais ce n’est pas à eux qu’il voulait parler, c’était aux téléspectateurs, aux gens qui lui avaient fait confiance, à ceux qui pourraient avoir besoin de lui.

Je crois que le Pr. Raoult voulait leur dire en substance : la classe dirigeante et sa clientèle scientifique et médiatique me poursuivent de leur dédain, de leur jalousie, de leur haine parce que je ne suis pas du sérail et que je ne me conforme pas à leurs règles, mais ne les croyez pas, ils ne savent pas de quoi ils parlent, mon équipe et moi, nous savons de quoi nous parlons. D’ailleurs, voilà notre palmarès…

L’Etude du Lancet a paru le 22 mai. La caste en a immédiatement profité pour donner le coup de pied de l’âne au Pr. Raoult. Véran, le ministre de la santé, a passé un décret le samedi, le samedi !!! pour interdire l’hydroxychloroquine. Je me suis dit qu’il sautait sur l’occasion de rectifier l’erreur qu’il avait commise en autorisant le traitement au stade final de la maladie, quand il devenait dangereux de le prescrire, et, en même temps, d’en finir avec le Pr. Raoult.

L’interview avec Pujadas, le 26 mai, donnait au Pr. Raoult un accès direct à des milliers de téléspectateurs au moment où ses adversaires semblaient avoir enfin prouvé qu’il avait tort. Le professeur a décidé d’écouter Sainte Thérèse d’Avila, selon qui « l’humilité, c’est être dans la vérité », et de dire qui il était, sans honte, sans fard et sans fausse modestie. Il a joué le tout pour le tout. Il fallait que les gens sachent ce qu’il valait pour qu’ils aient confiance en lui, son équipe, ses travaux, etc. L’avenir de son institut et de ses recherches en dépendaient.

On ne saura jamais si ce changement d’approche aurait suffi à sauver le soldat Raoult, puisqu’il s’est rapidement avéré que l’étude du Lancet était « foireuse » comme il l’avait dit, et que loin d’avoir tort, il avait raison sur toute la ligne…

Élites et modèles

Dans l’interview, le Pr. Raoult a parlé d’élites, de héros, de modèle. Il a expliqué que les gens avaient besoin d’imiter des personnes qu’ils admiraient. C’est, en effet, comme cela que l’on grandit, que l’on s’épanouit, que l’on se révèle à soi-même. Le problème aujourd’hui, c’est que les héros, les élites, les modèles qu’on nous présente n’ont rien d’admirable, bien au contraire. Ce sont pour la plupart d’arrogants crétins, dont le seul titre de gloire est de faire partie des 1% les plus riches ou de leurs réseaux.

Il est frappant de constater que Xerfi canal, un site consacré au management qu’on ne peut pas soupçonner de gauchisme débridé, pointe régulièrement la stupidité, l’incompétence, le manque de vision et d’imagination de nos élites managériales, le sel de la Macronie et de la haute administration française. Une de ses dernières vidéos porte sur la stupidité fonctionnelle, qui touche surtout les plus diplômés et qui est le fruit de trois renoncements successifs :

1. Renoncement à s’interroger sur ce qui fait l’air du temps, la doxa 2. Renoncement à se poser la question du pourquoi de l’action. 3. Renoncement à s’interroger sur les conséquences de ses actions. Voilà les gens que notre société nous propose comme modèles. Est-il étonnant que lorsque, tout à coup, un homme comme Raoult sort de l’ombre, il devienne un héros aux yeux du peuple ? Mais la caste qui hait de tout son cœur les vraies élites, les vrais héros, les vrais humains, parce qu’ils sont incorruptibles, fera tout pour l’abattre. Les médias de classe n’ont pas réussi à le marginaliser, le discréditer, le salir, le décourager, la caste va donc changer de braquet et actionner sa justice de classe. Déjà le 26 avril il a été menacé par l’Ordre des médecins : « Mis en cause par l’Ordre des médecins, le Pr Raoult met les choses au point ». Et selon Closer : «Le Canard enchaîné révèle, mercredi 3 juin 2020 que Didier Raoult a été signalé par un de ses confrères qui assure que le professeur a administré à ses patients de l’hydroxychloroquine sans un consentement formel de leur part. » Les médias se pourlèchent les babines, rien de mieux pour l’audience qu’un lion attaqué de tous les côtés par une armée de mercenaires dans une arène sans issue.

Les signalements de ses confrères sont probablement tout aussi foireux que toutes les autres accusations dont le professeur a fait l’objet, des menaces de l’Ordre des médecins, aux calomnies des médias et des médecins de cour, en passant par l’étude du Lancet.

Le professeur Raoult est prêt et il ne cédera pas aux menaces et au chantage. « Dans toutes les crises, il y a une personnification, il faut quelqu’un qui symbolise les crises, et cette fois c’est tombé sur moi… Ce que j’ai voulu, la seule chose que j’ai pu faire, c’est de dire : je résiste à tout, parce que dans ma famille on résiste à tout. Voilà ! Ça ne m’ennuie pas que les gens me tapent dessus parce que ça me montre que je suis capable de supporter l’extrême », a prévenu le professeur Raoult, au début de l’interview, en dépit des innombrables interruptions et commentaires insensibles et vulgaires de Madame Elkrief.

Que la caste réussisse ou non à se débarrasser du Professeur Raoult, il est et restera pour nous un modèle parce qu’il nous a obligés à nous poser la vraie question, la seule question qui vaille : À qui confierions-nous votre vie? A des scientifiques de bureaux qui ne pensent qu’aux procédures, aux statistiques et aux coûts, ou à un praticien reconnu qui considère ses patients comme des personnes et qui fait passer leur guérison avant tout? À des scientifiques d’appareil dont la seule ambition est de faire carrière et qui changent d’avis comme de chemise en fonction du vent, ou à un praticien, célèbre dans le monde entier, qui, dans la tempête, a gardé le cap, envers et contre tout, sans faiblir, et sans trahir ?

source : https://www.salaireavie.fr

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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