De Gaulle aurait fait un bon vendeur de voitures d’occasion ou de cravates, il savait faire l’article, surtout lorsque le produit était « De Gaulle ».
Lors de la Seconde Guerre mondiale, la prétendue victoire de Montcornet le 17 mai 1940 attribuée après la guerre à De Gaulle, ne fut qu’une nouvelle reculade de sa part.
Dès les premiers engagements il fit reculer la 4e division cuirassée qu’il commandait.
« Charles De Gaulle ne semble pas avoir montré sur le terrain les qualités de guerrier, ni de stratège…
Déjà, sa participation à la première guerre mondiale n’avait pas été très brillante.
Légèrement blessé au genou au début de la guerre, “cela lui évitera de participer à la bataille de la Marne, une chance, car celle-ci s’est traduite par une hécatombe d’officiers subalternes dont il eût fort risqué d’être victime » .
« De même restera-t-il étranger à la bataille du Nord.
« Les fonctions qu’il occupe dans l’État major régimentaire vont le tenir à l’arrière des premières lignes ».
Derrière la prudence, se dessine déjà le jeune De Gaulle : Éviter les coups et rester près de l’autorité supérieure.
Tel est l’homme qui arrivera finalement en première ligne le 1er mars 1916, son 33ème régiment prenant la position qui avait été défendue victorieusement par le 92ème, puis par le 110ème régiment d’infanterie en dépit du pilonnage des Allemands.
Or, dès le lendemain de son arrivée, suite à un nouveau pilonnage, le capitaine De Gaulle fait hisser le drapeau blanc…
Les Allemands qui faisaient l’honneur aux officiers français prisonniers qui s’étaient courageusement battus de leur rendre leur sabre pour certaines manifestations comme la messe par exemple, ne le rendirent pas au capitaine De Gaulle. Celui-ci, qui s’en étonnait, s’entendit répondre froidement, « c’est parce que vous vous êtes rendu sans combattre » … !
Tel était le personnage dont les lobbies antinationaux allaient faire un héros.
Sans la protection du général Pétain, parrain de son fils Philippe, la carrière du jeune De Gaulle se serait arrêtée là.
L’ambition maladive de De Gaulle allait l’amener à s’approprier une étude d’État-major sur l’avenir de l’arme blindée en le publiant sous son seul nom.
Réprimandé par Pétain, De Gaulle allait lui vouer une haine tenace comme à l’ensemble de l’armée française qui le méprisait.
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