Excusez-moi de vous réveiller de ce qui doit être un bien doux sommeil, mais… savez-vous qu’il n’y a aucune preuve empirique qu’un virus peut se transmettre ? pas un seul test grandeur nature sur des chiens, des chats, des rats de laboratoire, pour vérifier la prétendue « transmissibilité », les prétendus « taux d’infection » et tutti quanti ? les chercheurs sont formattés dès leurs études pour ne même pas songer à ce genre d’expériences.
C’est là qu’on voit que l’épidémiologie, comme l’économie est une pseudo-science destinée à justifier les manipulations politiques. Ce n’est jamais que de l’enfumage à partir de statistiques, avec des concepts ad hoc que vous avez docilement appris (deuxième vague, immunité collective), qui permettent de rendre réel ce qui ne l’est pas du tout.
Le concept d’immunité collective a été inventé pour justifier la vaccination de masse, et ici une autre mesure contraignante de masse. Son seuil n’a cessé d’augmenter avec le temps (de 50% à 97%), car il s’agit tout simplement de l’objectif de vente du laboratoire. Les tests anticorps ne valent rien.
Les « vagues » statistiques s’explique tout simplement par le nombre de « tests » de PCR dont le créateur Kary Mullis (Prix Nobel 1993) se désolait de l’utilisation comme test pour divers virus, car il savait que son procédé permet d’amplifier n’importe quoi, et pas seulement du virus. Le test n’identifie d’ailleurs pas un virus en particulier, tout au plus une famille. Le fait d’être positif ou non dépend d’un seuil de cycles d’amplification (Ct) arbitrairement défini.
Comme vous le dites si bien, « il ne faut aucune connaissance particulière en médecine pour en arriver là ! », et c’est tout le problème. Car si on regarde d’un oeil attentif sur quoi reposent les justifications confuses des experts, on tire sur un fil qu’on n’a pas fini de débobiner…
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