C’est assez commode de laisser se répandre un germe pathogène à la grandeur de la planète. Comme beaucoup le pensent, surtout le 1%, il y a trop de monde sur cette petite planète déjà malade. Et leur remède, assez simpliste, c’est de se débarrasser de quelques milliards de personnes. Surtout les pauvres, des non Blancs, qui traînent partout dans des bidonvilles et des camps de réfugiés.
Si vous allez voir dans votre dictionnaire, LE ROBERT, au mot virus: «TRANSMETTRE LA MALADIE». Mais il y a aussi plus bas; principe moral de contagion: «VIRUS DU RACISME».
Es-ce-que nous sommes rendus là? Déjà, il y a à nos frontières, des milliers de réfugiers à qui on refuse l’entré systémiquement et froidement avec l’accord de la majorité silencieuse. Le mot pandémie décrit une épidémie qui atteint un très grand nombre de personnes, dans une zone géographique très étendue.
Je viens de regarder un reportage français qui a été fait la semaine dernière. C’est horrible ce qui se passe là-bas! Commensurable à ici, ce n’est pas comparable. Néanmoins, j’ai peur de la suite quand ce micro-organisme très infectieux va atteindre nos communautés autochtones pas du tout équipées pour se défendre contre ce fléau venu d’ailleurs?
John Mallette
Le Poète Prolétaire
Source: Lire l'article complet de Les 7 du Québec