AFFAIRE PÉNALE VON DER LEYEN : LE PROCÈS DE LA DÉMOCRATIE OÙ DEUX VISIONS DU MONDE S’AFFRONTENT DANS LE SILENCE DES MÉDIAS

’un côté il y a notre monde, celui de la transparence, de l’État de droit, de la responsabilité des actes posés par les politiques et fonctionnaires, et des droits fondamentaux qui sont garantis et inaliénables. Dans ce monde, violer les droits humains occasionne un préjudice individuel à chaque citoyen, cela doit entraîner une sanction* pour que justice soit faite et que ces droits soient effectifs. La corruption détruit les droits fondamentaux, ce qui porte préjudice à ceux qui en sont les victimes. Il faut donc faire la transparence et condamner la corruption, les corrupteurs et les corrompus. C’est le camp de la démocratie « du peuple, par le peuple, pour le peuple ». De l’autre, il y a leur monde, celui de la réification des êtres humains, de l’aliénation de leur libre arbitre, de la destruction des droits de l’Homme. Ce monde c’est celui rêvé par Ernst Albercht, le père d’Ursula von der Leyen. Il est celui de la prétendue “démocratie institutionnelle”, celle qui permet à l’état de s’immiscer dans tous les aspects de votre vie, cela par “consensus” ou plutôt par complicité entre puissances d’argent et puissance publique. Le citoyen n’ayant pas de droit, il n’a alors pas le droit de se prévaloir d’un quelconque préjudice ou intérêt à agir contre des fonctionnaires et décideurs politiques. Il est un monde dans lequel la torture d’État est légitime, comme le revendiquait Ernst Albrecht. La corruption nuit à tout le monde, elle ne fait donc finalement de mal à personne. L’immunité doit permettre d’assurer une impunité et une irresponsabilité. Un monde de crédit social et de Pass servant à conformer la masse aux décisions arbitraires d’un pouvoir central et sans contre-pouvoir. C’est le camp de la “nouvelle Europe”, un projet dont l’origine nous vient de “Das Neue Europa”, un héritage de la première partie du siècle dernier qui fut transmis à Ursula von der Leyen par son père. Ce n’est pas une lutte horizontale de la gauche vers la droite, mais bien une lutte des classes verticale du haut contre le bas que nous devons mener au nom du bien commun. C’est pour que vous le compreniez que j’ai écrit #UrsulaGates. Un livre dont le dernier mot est : « Pour la Liberté » Il est temps que le “plus jamais ça” servent enfin à quelque chose, et que la démocratie recouvre de sa superbe en reprenant ses droits (nos droits). #NeverAgain #UrsulaGates * Pour être bien agréable à l’avocat d’Ursula von der Leyen qui, en étant professeur de droit à l’université de Liège, cherche en vertu de quel article du Code pénal le fait de violer le droit à la transparence constituerait une infraction, je le renvoie à l’Art. 151 sur les atteintes arbitraires aux droits fondamentaux. Nous allons l’aider à combler ses lacunes. Je comprends qu’il ne souhaite plus parler à la presse.

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À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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