Les maîtres censeurs ne se cachent plus : avant ils officiaient dans l’ombre, au moyen de textes de loi abscons qu’il était possible de tordre pour obtenir la pénalisation d’un discours politique. Aujourd’hui, ils disent clairement être contre la liberté d’expression.
Le problème, c’est qu’ils sont 1 % et que nous sommes 99 %. Certes, il y a beaucoup de gens qui ne se servent pas de la liberté d’expression, parce qu’ils n’y voient pas leur intérêt. Dans les périodes troubles de l’histoire, cela devient pourtant vital. Et nous y sommes.
Premier à brandir la menace atomique, c’est le Young Leader Barrot, Jean-Noël de son prénom. On constate que la Glucksmann ne le freine pas du tout dans son délire liberticide. Elle est même complice, et pousse-au-crime. Bel exemple de consanguinité entre le pouvoir et le pseudo-quatrième pouvoir.
Des outils « démocratiques » contre la démocratie…
Barrot : La France présidait l’Union européenne, nous avons dit stop, il n’est pas question que le débat public soit délocalisé de manière totalement dérégulée sur des grandes plateformes de réseaux sociaux détenues par des milliardaires américains ou chinois.
Salamé : Mais il l’est pourtant, il l’est, ils le font.
Barrot : Tout à fait, ces règles, elles sont entrées en vigueur il y a à peu près un an. Elles permettent à la Commission européenne, à Bruxelles, de dire, si je constate que le débat public a été perturbé, alors je peux infliger des sanctions très lourdes sur ces plateformes, je peux même aller jusqu’au bannissement de Twitter ou de sites comme.
Salamé : C’est ce qu’à fait le Brésil, est-ce qu’il faut bannir X ?
Barrot : C’est prévu dans nos lois, dans nos lois européennes, mais je vais aller un peu plus loin, Léa Salamé.
Salamé : Oui, d’accord, mais quand vous voyez les tweets d’Elon Musk, c’est quand même toutes les 20 minutes un nouveau tweet politique avec des menaces, est-ce qu’il faut bannir X ?
Barrot : J’ai appelé plusieurs fois la Commission européenne à se saisir de manière beaucoup plus vigoureuse de ces outils que démocratiquement nous lui avons donnés pour dissuader ces comportements.
Salamé : Vous trouvez l’Union européenne trop molle ?
Barrot : De deux choses l’une, soit la Commission européenne applique avec la plus grande fermeté les lois que nous nous sommes données pour protéger notre espace public, soit elle ne le fait pas et alors il faudra qu’elle consente à rendre aux États membres de l’Union européenne, à rendre à la France la capacité de le faire.
Imaginez un monde avec que des Léa Salamé-Glucksmann aux commandes des médias… On est vraiment dans le pays le plus pourri du monde en termes d’information et de politique. Quant à Barrot qui joue au dur, son poing menaçant ne changera rien : la majorité des Français ne fait plus confiance à ce pouvoir corrompu et, encore une fois, ouvertement liberticide. Il ne peut plus compter que sur les idiots et les trouillards.
Un autre agité du bocal est revenu dans la danse, malgré son éviction de la Commission, pour nous menacer. C’est Thierry Breton, l’ex-haut fonctionnaire européiste qui coule tout ce qu’il touche. Lui, il nous prend encore plus pour des cons en invoquant la défense de la démocratie, la sienne, évidemment, c’est-à-dire la démocratie oligarchique, l’oxymore de l’année.
« Et c’est compliqué, pour ces empires déclinants, d’être aux côtés d’une Europe qui elle va de l’avant, qui a un projet, et on le voit bien aujourd’hui tous les jours, tout, autour de nous, ne soyons pas naïfs, concourt à affaiblir l’Europe. Tout ! Que ce soit à l’ouest, on entend bien ce que dit le président élu Trump ; que ce soit à l’est, et on entend ce que dit Vladimir Poutine ; que ce soit encore plus à l’est, on entend ce que dit Xi Jinping ; que ce soit au sud avec l’immigration qui est utilisée on le sait comme des armes, pardon de cette expression, hybrides. Tout autour de nous concourt à affaiblir cette dynamique, parce qu’on n’est pas un empire nous en Europe, on est une dynamique, on est une dynamique démocratique, basée sur l’État de droit, et c’est ce qui fonde notre projet et notre vivre-semble… »
Thierry Breton, le commissaire de la censure en remet une couche, il veut museler X “pour protéger la démocratie”. Comprendre : pour protéger leur version de la vérité.
Elon Musk, lui, leur fait peur parce qu’il ne joue pas leur jeu. La liberté d’expression est devenue un… pic.twitter.com/9AHT0nqe9G
— Camille Moscow (@camille_moscow) January 9, 2025
Ces sociaux-traîtres veulent juste défendre leur pouvoir de nuisance, qui est attaqué de partout : à l’intérieur par des dizaines de millions de citoyens européens mieux informés grâce aux réseaux sociaux, et par Elon Musk qui veut la peau des wokistes.
À force de prendre les gens pour des cons avec des arguments absurdes et mensongers, le Breton est devenu complètement divagant lui-même.
Thierry Breton : « les Empires déclinants (UK, Russie, Turquie) s’attaquent tous à l’UE car jaloux de nos progrès, notre dynamique démocratique et projet de vivre-ensemble »
Soit il est complètement con soit il est devenu complètement fou.pic.twitter.com/Pd20pjIif6
— Antonin Ferreira Roche (@Antonin_FR_) January 9, 2025
Cet effondrement de l’argumentation dit la panique de cette caste, pour laquelle personne n’a voté. Ce sont des menteurs, des voleurs (71 milliards donnés par l’ordure Leyen au Big Pharma pour des faux vaccins), et des assassins potentiels, eux qui veulent envoyer des dizaines de milliers de jeunes Européens à la mort en Ukraine.
Personne ici ne fantasme sur la politique magique de Trump, qui ne défendra que l’Amérique et les Américains. Mais si, en passant, il peut balayer cette ignoble oligarchie, alors les peuples européens pourront se sentir plus libres.
« Dans quelle mesure les démocrates avaient fait de Twitter un objet de censure ? »
Oulala, ce pauvre Karim… Nos journalistes, complices de cette oligarchie répugnante, disparaîtront avec elle. On comprend qu’ils s’accrochent au rafiot, qui est pourtant objectivement en train de chavirer. Ce qui les choque, ce n’est pas l’état de la France ou de l’Europe, c’est la vérité.
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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation