Musk, héritier de Guillaume Faye ?
• « C'est le monde dans lequel nous vivons », dit, dans un soupir, le sage et philosophe Macron. • Il s’indigne du fait qu’Elon Musk fait de l’“ingérence politique” dans divers pays européens, et Dieu sait que nous, Européens, nous nous en sommes tant abstenus. • Quoi qu’il en soit, Musk fait du boucan et l’on s’interroge sur ses rapports avec Trump, sur les intentions de Trump de conquérir l’Europe (curieux : on croyait que c’était déjà archi-archi fait ?). • Bref, on s’agite dans ce monde incompréhensible dont nous sommes les premiers responsables, en s’étonnant que d’autres en usent également à leur guise. • Mais certains ont des idées plus intéressantes pour tenter d’expliquer les événements. • C’est le cas de notre ami Constantin von Hoffmeister. • Dans un long développement, il tente de montrer que Musk-Trump, avec leur mélange de technologisme ultra-moderne et leur appel à la tradition, sont les architectes de l’archéofuturisme développé il y a trente ans par le Français Guillaume Faye.
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Il ne vous a pas échappé que Elon Musk crée actuellement une très grande agitation en Europe, du fait de ses interventions dans les affaires politiques européennes. Un des princes de la morale politique et de la vérité transcendantale de nos jours qui passent, le président fran,çais Emmanuel Macron, a fait à ce sujet une remarque extrêmement sévère, tant qu’on aurait dit un de ces maîtres de nos vieilles écoles, un de ces “Hussards noirs de la République” qui portèrent haut et fort les vertus laïques de nos démocraties occidentales. Ce fut donc notre-Emmanuel M. qui, s’adressant, à une assemblée de diplomates français quifont un si bon travail à l’Ouest du Dniepr, s’exclama :
« Et si quelqu'un nous avait dit il y a dix ans que le propriétaire de l'un des plus grands réseaux sociaux du monde soutiendrait la nouvelle internationale réactionnaire et interviendrait directement dans les élections, y compris en Allemagne ? Qui aurait pu imaginer une telle chose ? C'est le monde dans lequel nous vivons. »
… Et c’est le même Emmanuel avec lequel nous vivons depuis 2017, qui a reçu sur le Péron de l’Élysée, avec tous les honneurs, tous les grands du High Tech, – dont certainement et fort probablement Musk avec tant de respect, – en les montrant comme exemples à suivre et inspirateurs à adorer pour devenir enfin cette « startup nation » dont il rêve pour nous. Aujourd’hui, il n’en est plus rien, Musk est un exemple épouvantable d’“ingérence politique” dans divers pays européens, d’une façon tout à fait différente des pratiques de nos pays dans tant d’autres jugés de mauvais aloi par les évaluateurs des vertus, en Libye, en Syrie, au Kosovo, en Irak, en Ukraine, en Roumanie, en Géorgie, en… etc.
Musk fait donc des ravages. Il est très actif en Allemagne où il s’emploie à redorer le blason de l’AfD maudit par toute la classeSystème de la l’establishment allemand. Le Premier britannique encaisse également de sévères bordées de canon pour avoir été particulièrement laxiste alors qu’il assurait en 2007-2012 le rôle de la mise en accusation dans les villes touchées dans les inculpations pour les extraordinaires viols en série de jeunes Anglaises (des blanches, précise-t-on), par des gangs essentiellement pakistanais. Keir Starmer a d’abord dit faiblement : “C’est faux, j’étais implacable”, puis il est passé en mode standard : “Il s’agit d’une accusation d’extrême-droite”. Pour autant, ces épouvantable affaires de viols et la position de Starmer font les titres des tabloïds britannique, même si c’est pour dénoncer Musk qui ressort cette bonne vieille histoire. Ainsi Musk réussit-il à secouer toute cette bonne vieille boue puante qui recouvre les exploits des classes dirigeantes européennes.
A la recherche des motifs perdus de Musk
Alors se pose une question : pourquoi Musk avec ses formidables moyens de communication et sa notoriété fait-il cela ? Et pourquoi Trump le laisse-t-il faire ? Certains, dans le parti républicain, disent que Musk est en train de bouffer Trump, de lui prendre des prérogatives, de jouer au président lui-même. Toutes ces accusations un peu à la va-comme-j’te-pousse sont à la fois classiques et un peu vaines. D’ailleurs, jusqu’ici Trump ne s’est plaint de rien et n’a pas l’air mécontent.
On passe alors à l’autre catégorie des explications des sachants-tout. Ce sont également à des accusations, mais venant cette fois d’Européens, un peu à la manière de notre-Emmanuel. Cette fois, on n’oppose pas Musk à Trump, on les met ensemble. Ils sont complices car ils veulent la peau des européens.
Un exemple de cette démarche vient d’un Andrey Bulatov, de l’Anti-Fascist News Agency. Il s’agirait d’une piste trotskiste néo-centriste ou hyper-centriste européiste-neocon que nous n’en serions pas plus étonnés. On emprunte un extrait de son texte :
« Les initiatives politiques de Musk sont clairement étroitement liées à ses intérêts économiques. “La démocratie, les débats, les désaccords, les systèmes de protection sociale – tout cela entrave les affaires”, décrit Ilan Kapoor, professeur à l’Université York de Toronto, connu pour ses études critiques sur le néolibéralisme, décrivant les sentiments de Musk et Trump. “C’est pourquoi ils privilégient des formes de gouvernement plus autoritaires, qui, selon eux, peuvent fonctionner plus efficacement en éliminant l’opposition politique et en réduisant le rôle du gouvernement (bien que la contradiction soit qu’ils ont besoin d’une intervention gouvernementale importante lorsqu’il s’agit de leur programme de ‘loi et d’ordre’).”
» Musk a également critiqué la Commission européenne, qualifiant le fonctionnement de l’Union européenne d’antidémocratique et exigeant un rôle plus important pour le Parlement européen. Il a fait cette déclaration à un moment où l’UE, luttant contre la désinformation rampante sur les réseaux sociaux, tente de réguler son réseau X.
» Il semble que le tandem Trump-Musk soit sérieux dans sa volonté de renforcer son influence en Europe. Et cela, franchement, va à l’encontre de l’idée selon laquelle Trump serait plus enclin à régler les affaires intérieures des États-Unis plutôt qu’à maintenir le rôle d’hégémon américain dans l’ensemble du monde occidental. Les actions d’Elon Musk démontrent que les affaires intérieures des États-Unis signifient pour le nouveau gouvernement l’influence antérieure, voire même plus forte, sur l’Europe et le Royaume-Uni. Et toutes les critiques de Trump à l’encontre des anciennes élites européennes, selon lesquelles elles exploitent la puissance des États-Unis, ne sont que de la rhétorique pré-électorale. Musk et Trump comprennent tous deux clairement que s’ils ne maintiennent pas aujourd’hui leur contrôle politique et économique sur l’Europe, la Chine les en délogera progressivement. »
Toute cette rhétorique qui tend à faire de l’action de Musk une offensive pour étendre l’hégémonie américaniste sur l’Europe vient de gens qui appartiennent aux élites d’une Europe qui n’a jamais été aussi totalement soumise à l’hégémonie des USA, qui en redemande, quii n’en a jamais assez… L’argumentation vient donc d’un sentiment de panique, d’esprits complètement affolés et tournant sur eux-mêmes comme des toupies folles, tentant de trouver des arguments dans tous les sens, qui se télescopent, se démentent les uns les autres. Pourquoi Musk-Trump massacreraient-ils une direction européenne qui est aveuglément acquise aux valeurs, aux intérêts, à la force, à l’indécence américanistes, – sinon pour assurer leur emprise sur l’Europe, n’est-ce pas, c’est bien de cela qu’il s’agit ? On voit bien là l’espèce de mascarade intérieure imposée à des esprits qui retiennent désespérément un simulacre qui s’effondre à une vitesse inimaginable. « C’est le monde dans lequel nous vivons », comme dit l’autre.
Mais le fait est que Musk fait ce qu’il fait. Notre brave Emmanuel, dans ces étonnants étonnements sur le « monde dans lequel nous vivons », qui a dit énormément de bêtises remplies à ras-bord d’inversions de la vérité, de ces choses que l’on nomme mensonges, en a dit une qui, ô miracle, se rapproche de la vérité. En cela, il contredit les précédents et leur construction des agresseurs Musk-Trump au nom des USA ; c’est lorsqu’il parle d’une « nouvelle internationale réactionnaire », ignorant bien sûr que le mot “réactionnaire“, qui vient de “réaction”, n’a pas seulement le sens parisien qu’on lui prête à Saint-Germain-des-Prés, mais aussi un sens universel d’une riposte à quelque chose qui mérite qu’on riposte contre elle.
Cela nous conduit à une autre piste d’explication du comportement de Musk bien plus intéressante, mais pour laquelle il faut avoir l’esprit assez haut pour s’intéresser à des cultures dépassant les seuls sondages des prochaines élections et les sermons des JT de 20 heures des réseaux télévisés de la presseSystème. C’est là que nous débouchons sur l’hypothèse d’un observateur que nous visitons parfois, et encore avant-hier à propos de Musk et de l’AfD. Il s’agit de Constantin von Hoffmeister.
Tradition & hypermodernité.
Von Hoffmeister s’attache à une hypothèse qui dépasse les querelles de clocher globalisés et les empoignades de cafés du commerce de luxe pour embrasser une conception fondamentale qui trouverait aisément sa place dans le “quatrième tournant” tel que nous en parle Douguine. Il s’agit d’une référence à un grand philosophe et essayiste français, Guillaume Faye, un temps attaché à la ‘Nouvelle Droite’ tendance classique, puis qui s’en était détaché.
La cause de Faye, sa trouvaille à la fois originale et extrêmement audacieuse, se nommait “archéofuturisme”. Elle envisageait le rapprochement sinon la fusion de certaines formes de la modernité et du technologisme avec les formes et les conceptions de la Tradition. L’article de von Hoffmeister a été publié le 7 janvier 2025 dans RT.com.
On vous laisse le lire en vous priant d’envisager cette lecture à la lumière d’autre réactions que le sarcasme, la gouaille, la dérision, voire le persiflage sur quoi le père PhG s’est longuement étendu dans le Tome II de ‘La Grâce de l’Histoire’. Notez bien que le duo Musk-Trump est encore une fois mis à contribution.
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Archéofuturistes, Musk-Trump ?
Les ambitions technologiques d’Elon Musk et la philosophie archéofuturiste de Guillaume Faye se rejoignent dans une vision où l’innovation avancée ravive les valeurs anciennes, mêlant tradition et progrès. Sous la direction conservatrice de Trump, cette synergie pourrait forger un avenir où l’esprit ancestral et la puissance technologique redéfiniraient la civilisation.
Elon Musk, l’entrepreneur pionnier derrière Tesla et SpaceX, et Guillaume Faye, le penseur français connu pour son concept d’archéofuturisme, convergent dans leur plaidoyer pour un avenir qui harmonise le progrès technologique avec les valeurs traditionnelles. Musk construit des fusées, des voitures électriques et des interfaces cerveau-ordinateur, mais sous le silicium et l’acier se cache une vision du monde positivement alignée avec la vision de Faye d’un monde où la technoscience de pointe s’entremêle avec les mythes et les éthiques primordiaux des sociétés anciennes.
L’archéofuturisme propose que l’avenir de l’humanité doit rejeter le progressisme linéaire en faveur d’un modèle cyclique où les principes archaïques sont ravivés et fusionnés avec des technologies de renouvellement du monde. Les projets d’Elon Musk sont des prouesses d’ingénierie et des vecteurs d’une philosophie qui réveille les différentes âmes ethniques de l’humanité tout en la propulsant vers les étoiles.
Au cours de la seconde présidence de Donald Trump, une synergie unique émergera entre les efforts technologiques d’Elon Musk et les politiques conservatrices de l’administration. L’accent mis par Trump sur la déréglementation et la souveraineté nationale démantèlera les obstacles bureaucratiques, créant un terrain fertile pour l’épanouissement de l’ambition faustienne d’Elon Musk. Alors que beaucoup considèrent l’administration de Trump comme emblématique d’une Amérique plus âgée et plus traditionaliste, Musk représente le moteur tourné vers l’avenir d’une société en train de se redéfinir. Ensemble, leurs approches fournissent l’échafaudage d’un monde où l’innovation technologique fait sentir son influence sans compromettre les principes fondamentaux d’identité et de souveraineté. L’archéofuturisme de Faye prédit cette dynamique : une synthèse du traditionalisme et du futurisme, où la gouvernance nourrit l’innovation et le renouveau culturel en tandem au lieu de les opposer l’un à l’autre.
SpaceX, sous la direction d’Elon Musk, est une expression monumentale des idéaux archéofuturistes. La technologie des fusées réutilisables de l’entreprise brise les contraintes des anciens modèles, tant sur le plan économique qu’idéologique, ouvrant la voie à l’exploration du cosmos par l’humanité, qui aurait dû l’être depuis longtemps. La rhétorique d’Elon Musk sur la création d’une vie multiplanétaire n’est pas de la science-fiction. Elle rappelle l’appel de Faye à raviver l’esprit héroïque de l’humanité. La colonisation planifiée de Mars par Musk est présentée à la fois comme une prouesse technologique et une nécessité pour la survie de l’humanité – une reconquête de l’archétype de l’explorateur qui a guidé les civilisations depuis l’Antiquité.
L’administration Trump, qui célèbre l’exceptionnalisme américain et un regain d’intérêt pour l’exploration spatiale, va véritablement prospérer. En s’associant à la NASA, Musk est en mesure de tirer parti de l’énergie nationaliste de Trump pour créer une ambition cosmique qui va au-delà de la politique, en exploitant le désir primordial de briser les frontières.
L’ascension de Tesla ajoute une autre dimension à ce récit archéofuturiste. Les véhicules électriques ont longtemps été considérés comme des symboles de modernité stérile, mais Musk les transforme en icônes de puissance, de vitesse et d’autonomie. Les voitures Tesla, avec leur design élégant et leurs performances de pointe, allient conscience écologique et domination technologique, réaffirmant l’insistance de Faye sur le fait que les sociétés futures doivent équilibrer les préoccupations environnementales avec des solutions audacieuses et dynamiques. L’émergence de Tesla en tant que constructeur automobile le plus précieux au monde n’est pas seulement un succès commercial. Elle symbolise le changement culturel vers un avenir où la durabilité n’est pas synonyme de médiocrité. L’administration Trump, qui donne la priorité à la réduction des contraintes réglementaires, permettra à Tesla d’innover à un rythme sans précédent, démontrant comment les politiques conservatrices peuvent catalyser des révolutions technologiques alignées sur les principes archéofuturistes.
Le projet Neuralink de Musk repousse les limites de l’archéofuturisme dans un territoire inexploré. En cherchant à fusionner le cerveau humain avec l’intelligence artificielle, Neuralink incarne l’objectif archéofuturiste de surmonter les limites humaines. Cela n’est pas sans controverses. Faye prévient dans ses écrits que le progrès technologique incontrôlé risque d’éroder l’essence spirituelle de l’humanité. Neuralink force la société à affronter cette tension : est-il possible d’augmenter l’intelligence humaine sans perdre ce qui fait de nous des êtres humains ?
L’éthique de déréglementation de Trump accélère le développement de telles technologies, créant un paradoxe où l’avenir imaginé par l’archéofuturisme se réalise, mais peut-être au risque de saper ses valeurs fondamentales. Neuralink reflète à la fois la promesse et le danger de l’archéofuturisme, rappelant que l’avenir doit être soigneusement exploité pour préserver l’identité fondamentale de l’humanité.
Le concept de tribus technologiques, tel que le décrit Faye, trouve un parallèle convaincant dans le monde réel dans la construction prévue par Elon Musk de Starbase City. Elon Musk a annoncé ce projet après avoir déplacé SpaceX et X hors de Californie lorsque le gouverneur de Californie Gavin Newsom a signé une loi interdisant aux écoles d’informer les parents si leurs enfants utilisent des noms ou des pronoms différents.
Située sur la côte sud du Texas, Starbase City sera plus qu’un port spatial. C’est le prototype d’un nouveau type d’établissement humain, qui intègre la technologie de pointe à la vie en communauté. Cette communauté expérimentale reflète l’épiphanie de Faye sur la force localisée : un monde où les sociétés s’adaptent aux bouleversements technologiques en adoptant de nouvelles formes d’organisation ancrées dans l’identité et le but civilisationnel. L’Amérique de Trump, imprégnée de la rhétorique des frontières et de l’autonomie, amplifie la résonance culturelle de Starbase. Il ne s’agit pas simplement d’un projet d’exploration, mais d’une déclaration d’indépendance par rapport aux limites du globalisme terrestre – un pas vers l’idéal archéofuturiste de tribus décentralisées mais dotées du pouvoir technologique.
L’influence d’Elon Musk pendant l’administration Trump s’étend bien au-delà des entreprises commerciales. Son utilisation active de X lui permet de façonner le discours public et de diffuser son rêve d’avenir. Cela correspond au concept de « métapolitique », qui souligne l’importance de l’influence culturelle et idéologique comme précurseurs du changement politique. Les publications d’Elon Musk, souvent provocatrices et prophétiques, captivent l’imagination de millions de personnes, transformant des concepts abstraits comme la colonisation spatiale et l’éthique de l’IA en phénomènes culturels. La maîtrise des médias sociaux par Trump lui-même crée un environnement dans lequel les idées d’Elon Musk peuvent s’épanouir, démontrant comment l’interaction entre la métapolitique technologique et le nationalisme conservateur peut catalyser une transformation sociétale à grande échelle.
Le succès financier des entreprises d’Elon Musk souligne la viabilité de l’archéofuturisme en tant que plus qu’une construction mentale – c’est une force économique et culturelle. La valorisation de SpaceX dépasse désormais les 350 milliards de dollars, ce qui en fait l’entreprise privée la plus valorisée au monde. La domination de Tesla dans l’industrie automobile redéfinit le transport à l’échelle mondiale, tandis que Neuralink attire les investissements pour sa promesse d’intégration homme-machine. Ces jalons démontrent qu’une société peut adopter l’innovation technologique tout en préservant et même en revitalisant ses valeurs éprouvées. La carte des jours à venir de Faye, longtemps qualifiée de « radicale », trouve une validation dans le succès tangible des entreprises de Musk combiné à la victoire électorale de Trump.
L’archéofuturisme, autrefois un cadre théorique, est désormais une réalité émergente – une nouvelle société née de la collision de la tradition et de la technologie, ouvrant la voie à un avenir à la fois ancien et sans précédent. Musk et Trump, bien que différents dans leurs méthodes, sont les architectes d’une nouvelle ère où les possibilités de l’archéofuturisme ne se limitent plus aux pages de la philosophie mais se déploient dans le monde réel.
Constantin von Hoffmeister
Source: Lire l'article complet de Dedefensa.org