Au nom de la sécurité publique, prenons les grands moyens
Ils nuisent partout où ils tentent de s’incruster illégalement
Ça entre de partout par les frontières poreuses, ces migrants illégaux non désirés: ils sont des millions aux États-Unis; ils sont des centaines de milliers au Canada dans cette mouvance migratoire effrénée. Mais l’heure du retour a enfin sonné.
Rien qu’au Québec, le premier ministre François Legault répète tous les jours que nous avons plus de 600 000 surnuméraires de toutes sortes qui embourbent le système. Ils coûtent une fortune à chaque Québécois qui paie de sa poche leur prise en charge 5 étoiles, incluant l’hébergement à l’hôtel, des traitements aux petits oignons 100 fois plus et mieux qu’ils n’ont jamais connu dans leurs pays de misère. Et tout est toujours gratis à ce grand buffet à volonté universel. Alors on ne se fait pas prier pour se servir, s’empiffrer et en redemander.
À lire: Les milliers de pseudo-demandeurs d’asile non désirés coûtent un demi-milliard par an aux Québécois
Peu importe la catégorie à laquelle ils appartiennent, ils sont de trop, et il faut s’en défaire en les renvoyant tous d’où ils viennent. Que ce soit:
1- Ceux qui sont entrés illégalement: migrants de frontières à la Roxham, migrants d’aéroport en première classe comme à Dorval
2- Ceux qui sont entrés frauduleusement: pseudo-demandeurs d’asile, faux réfugiés, faux étudiants qui prennent le maquis ou demandent le statut de réfugiés sans avoir jamais étudié, ce qui n’a jamais été leur intention véritable
3- Ceux qui sont des terroristes, des espions politiques et industriels, des ingéreurs, des fauteurs de trouble (des hindous qui viennent assassiner des sikhs, des iraniens qui viennent assassiner des députés canadiens, des installateurs de postes de police chinois, des organisateurs de manifestations pro-hamas et antisémites, ceux qui font de l’entrisme islamique (clans d’enseignants musulmans dominants, Bazzoui, Charkaoui, Elgrawaby et compagnie, etc.)
4- Ceux qui sont entrés par les voies normales mais qui sont de trop pour notre capacité d’accueil défoncée, incluant les immigrants réguliers chômeurs chroniques, les travailleurs temporaires et les étudiants internationaux. Même Justin Trudeau vient de reconnaître sa faute d’en avoir trop fait entrer au pays sur une période de 9 ans.
Référence: Justin Trudeau admet s’être trompé en immigration
Tout ce surplus ruineux et syphonneur de ressources doit être renvoyé pour de bon, en tant que nuisance au bon fonctionnement des institutions et des services publics détournés de la population vers eux.
À lire: Que le surplus de prétendus demandeurs d’asile soit renvoyé sans délai
Et c’est sans parler de la recrudescence de graves maladies infectieuses dont ils sont porteurs.
À lire: L’immigration massive responsable de la recrudescence des maladies contagieuses graves et épidémies
et: Entrons-nous dans une ère d’épidémies apportées par les immigrants?
Et dire que certains en voudraient toujours plus!
Les États-Unis donnent l’exemple de ce qu’il faut faire devant une telle situation marasmique en s’apprêtant à enclencher la déportation salutaire et attendue de tous ceux qui n’ont pas d’affaire à être là. Un pays n’appartient pas à des étrangers. Il ne doit pas tomber entre leurs mains. Si c’est ce que vous êtes, un étranger entré par effraction ou par fraude dans ma maison, vous n’avez pas d’affaire là. C’est pourtant simple à comprendre. C’est pourquoi il existe des frontières et qu’elles doivent être bien gardées et respectées.
À lire: Immigrés criminels: l’expulsion immédiate à la première offense comme solution
Le Québec est bien assez gros comme ça. Rappelons que les pays où les gens sont les plus heureux et les sociétés sont les plus équilibrées ne dépassent pas les 10 millions d’habitants. Cessons de grossir sans limites, car ce serait courir à notre perte. Et encore plus si on engraisse notre pays avec toutes ces mêmes ethnies qui font que leur propre pays va aussi mal. Le même sort nous attend. Le désordre social dont ils sont la cause chez eux se reproduira ici, comme on commence à s’en apercevoir.
À lire: 40 signes qui ne mentent pas qui font qu’on ne se sent plus chez nous
Il n’est dans l’intérêt de personne que le Québec devienne une grosse métisserie de n’importe qui de n’importe où, surtout pas lorsque ces étrangers incompatibles originent des pires pays sous-développés de la planète: sous-développés économiquement, socialement, humainement, sur le plan de l’intelligence moyenne ou de l’instruction, ou encore au niveau de la propension naturelle à la violence, la religiosité fanatique, ou la corruption.
À lire: La diversité, un mal non nécessaire
Les trois-quarts de la planète vivent dans la misère et le chaos. C’est à eux d’avoir la dignité de se sortir du pétrin par eux-mêmes, sans dépendre des autres. On n’est pas responsables de leur sort. On les aide déjà bien assez comme ça. Et si on les laisse tous s’en venir en Occident comme ils ont entrepris de le faire massivement, c’est la planète entière qui sera foutue.
À lire: liste des pays classés par ordre de corruption et de violence
LISTE COMPLÈTE DES PAYS SELON L’INDICE DE CORRUPTION
Il est impérieux que le Québec entreprenne de déplacer les 600 000 immigrants de trop vers d’autres provinces, ou exige d’Ottawa qu’il les renvoie tous chez eux. On n’en veut plus, on n’en a jamais voulu autant, et c’est notre droit le plus élémentaire et le plus légitime de s’en défaire pour rétablir l’ordre social normal et le degré de sécurité publique attendu dans nos sociétés évoluées.
À lire: Comment peut-on bloquer le type d’immigrants qui créent de l’insécurité collective?
Ce fut une grave erreur d’en laisser entrer autant sur une aussi longue période, réparons maintenant cette erreur impardonnable du gouvernement fédéral libéral de Justin Trudeau, ce qu’il reconnaît maintenant, une folle entreprise qui n’a fait que nuire au Québec des Québécois.
À lire: 20 conséquences négatives de la surimmigration au Québec
Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec