Manon Aubry contre « les tontons relous de droite sexistes racistes » à Noël

Si Mélenchon, qui est en train de se préparer en vue d’une finale précoce contre Marine, vu l’état déplorable de l’Élysée, veut enfin être élu président, car c’est pas le bourrin de Matignon qui lui barrera la route, il devra se débarrasser des Manon Aubry de son parti, qui font énormément de mal à sa crédibilité.

Quand on veut devenir le président de tous les Français, il faut éviter de se montrer aux côtés de cette machine à flops. On rappelle la loi de Bernard Tapie : une équipe de foot c’est comme un tonneau, elle a le niveau de sa latte la plus basse. Et là, l’écart entre Mélenchon et Aubry est dévastateur. Manon n’en est pas à sa première cagade. Son accolade avec Leyen mériterait quarante jours de mitard à LFI.

Il n’y a rien de pire qu’une personne pas drôle qui essaye de l’être, surtout si elle est bourrée. Dans la même veine, mais sans la médiocrité, on a le team Firode, qui montre la finesse de l’humour antiwoke.

Manon n’y est pour rien : l’humour de gauche, incarné par Charlie Hebdo, a fini par s’effondrer sous le poids de ses contradictions, c’est-à-dire de son idéologie de plus en plus éloignée du réel. Il est alors facile de le démolir. Imaginez un humour si caricatural, si médiocre, qu’il devient lui-même objet de ridicule…

Regardez où le féminisme et l’antitrumpisme ont mené cette pauvre Coco, alors que tous les gens un peu informés sur la sociologie et la politique américaines savaient que la chanteuse pour enfants n’aurait aucune influence sur le vote de l’Américain moyen, préoccupé par son boulot, son fric et sa famille :

On appelle ça prendre ses rêves pour la réalité, et ça finit souvent en cauchemar. C’est malheureusement la fonction de cette fausse gauche que de faire rêver les gens et de les plonger dans un cauchemar. Un cauchemar dont profite l’oligarchie financière et elle seule : la gauche passe pour social-traître, et la droite d’affaires se frotte les mains. Cette gauche est vraiment l’outil de la droite pour arnaquer les pauvres. On leur fait croire qu’ils ont gagné, et on leur fait les poches, en douce, par la dette.

Aujourd’hui, les pauvres de France payent leur dette à la Banque en services publics, tout le reste est de la littérature d’éditorialiste radio-télé.

C’est pourquoi l’accolade Aubry-Leyen fait sens.

Si Manon était raffinée

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation