En ce soir d’un belge dimanche bien gris, je voudrais demander pardon…
Pardon d’avoir conseillé le vaccin contre la coqueluche à mes patientes enceintes sans avoir réfléchi aux conséquences réelles de ce traitement, pardon d’avoir promu celui que l’on nous vend avec acharnement contre le papillomavirus, pardon à mes enfants chéris de le leur avoir injecté sans hésiter et pardon à mon propre corps de l’avoir soumis à tant de ces substances, y compris celles que l’on teste pour quelques billets sur les étudiants en médecine…
Pardon d’avoir ressenti de l’irritation lorsque ces femmes, plus méfiantes que moi, refusaient de suivre mes conseils, tandis que je n’étais que le perroquet servile d’une industrie qui souhaite avant tout vous vendre des médicaments. Pardon mais surtout bravo. Il en faut, de l’ancrage, pour tenir face au système lorsqu’il se présente sous les traits d’un bienveillant médecin…
Et puis enfin, merci. Vous avez éveillé en moi cette petite lumière devenue aujourd’hui, suite à la crise ko-vide, une ampoule qui brille, une flamme dans la nuit, la torche incandescente qui ne s’éteindra plus. Vous m’avez donné une leçon de bon sens, de sang-froid et de courage face à la pression du monde médical. Chapeau bas, mesdames, pour votre clairvoyance.
Alors vous toutes et tous qui, un jour, devrez affronter la peur que distille le médecin dans votre subconscient pour vous faire obéir, souvenez-vous de ceci : c’est peut-être lui, demain, qui vous demandera pardon parce qu’il a compris qu’on l’a utilisé pour vous faire du mal… Dédicace spéciale à Nancy, une mère courage comme il y en a peu et à toutes les mamans du monde qui souffrent et se sacrifient pour que leur petit, demain, soit un humain heureux…
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