Pour Noël, une poupée rose à notre fille unique, et pour notre garçon unique, car nous sommes une famille normale 2+2, nous avons pensé à un soldat, bleu. Une poupée rose et un soldat bleu. La fille sera infirmière et le garçon soldat, plutôt ingénieur, et puis officier. Il fera l’X, l’école prestigieuse retoquée par Macron. La fille fera infirmière, ou, si elle a suffisamment de neuneurones, médecin.
Si on fait lire ça aux hystériques de Hurlez le féminisme !, on va déclencher une cascade d’AVC. Pourtant, globalement, on a bien dit globalement, si on offre des bougies parfumées à un garçon, par exemple notre ado, avec son franc-parler croisé avec son manque de vocabulaire, il va nous dire : « Je suis pas pédé, papa ». C’est une expression malheureuse, mais on en comprend le sens, et on lui pardonne, car on est chrétiens, dans la famille. Seulement, il ne faut plus dire ce gros mot : préférer « homosexuel » ou « membre de la communauté LGBT ».
Aujourd’hui, nos autorités morales, qui ont remplacé les curés après les avoir mis au bûcher – voir les incendies d’églises avec heureusement personne à l’intérieur, sinon ça peut mal finir –, ont décrété qu’offrir un soldat bleu à un garçon et une poupée rose à une fille étaient une forme de violence éducative, qui enfermait les enfants dans des stéréotypes de genre. On essayera donc le soldat rose et la poupée bleue, mais les mômes risquent de nous les jeter à la gueule. On pourrait tenter le soldat rose à la fille et la poupée bleue au garçon, mais ça sera pire, nous dit notre esprit.
Dans les nouvelles familles, homoparentales ou gauchistes, on évite cet écueil en offrant carrément la poupée rose au garçon et le soldat bleu à la fille. Les deux deviendront homosexuels et auront plein d’enfants GPA achetés au tiers-monde, et depuis peu à des étudiantes européennes, vu la dégringolade sociale sous le régime de cette vieille pute de Leyen.
Pute ne doit pas ici être compris comme une injure, mais bien comme un qualificatif : la présidente de la Commission trahit 450 millions d’Européens au profit de l’administration soviétique bruxelloise (une armée de 32 000 parasites) et de son supérieur hiérarchique américain. On a droit à une paupérisation généralisée, à la destruction de nos valeurs et de notre culture par l’injection forcée de millions de migrants. C’est une punition collective, il faut le voir comme ça.
Pourtant, à l’intérieur des familles, dans le secret du cocon familial, les gens n’obéissent pas aux oukases des malades mentaux au pouvoir. Ils font des cadeaux à l’ancienne, avec les moyens du bord, les filles et les garçons n’ayant pas les mêmes goûts : ce ne sont pas des goûts opposés, ni complémentaires, ils sont simplement différents.
Car il y a deux races sur Terre, les hommes et les femmes [1]. Et l’oligarchie mondialiste voudrait en créer une troisième, celle des sans-genre, comme il y a des sans-dents, parce que ces pseudo-maîtres veulent tuer la différence hommes-femmes, c’est-à-dire le fondement de l’amour. C’est à se demander s’ils ne lorgneraient pas sur les gosses, derrière !
Ils veulent tuer et la féminité et la masculinité, et pour ça ils prennent nos enfants en otages dans les écoles, dans les médias et dans l’espace public. C’est pourquoi nous résistons : que Noël ne soit pas seulement la fête de la consommation ou de la convivialité, des retrouvailles ou des réconciliations en famille, mais aussi de la résistance. Faut revenir aux racines du rock, là. Le simple fait d’être en famille, ou même en couple, est aujourd’hui un acte de résistance au mondialisme dévastateur qui veut séparer les uns des autres, afin de produire un isolat humain soumis, calculable et « baisable », dans tous les sens du terme.
Naturellement, on n’incrimine pas les homosexuels, qui n’ont pas choisi leur sexualité, et parfois, même, on a choisi pour eux… Ce sont les accidents de la vie, et il faut vivre avec. Mais les autorités se servent des homos pour détruire l’hétérosexualité en particulier, et l’amour en général. Plus tout ce qui va avec : le couple, les enfants, la famille. Certes, c’est pas toujours une réussite, mais au moins on essaye ! Et le problème, comme le croit Caroline Fourest, n’est pas l’hétérosexualité qui serait un carcan violent, mais bien que tous les individus ne sont pas encore suffisamment conscients pour ne pas faire de mal à l’autre. C’est ce qui compte, la seule chose qui compte, d’ailleurs. Ne pas faire de mal.
Mais cela n’empêche pas de se défendre contre les attaques du démon !
Coffrets homme, coffrets femme, mais pas LGBT !
Les coffrets homme
Les coffrets femme
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