Diffusée en direct le 12 août 2024 #ASE#enfance#dissidence Le phénomène des placements abusifs d’enfants par l’État, notamment au sein de l’ASE, et les départements en France est un sujet qui demeure largement méconnu du grand public. Pourtant, des reportages inquiétants, comme celui de France 3, révèlent que près de la moitié des enfants placés en institution ne devraient pas l’être, ces placements étant souvent effectués sur des bases illégales et arbitraires. Le cas d’Hélène Lombard, dont le fils a été retiré après qu’elle a alerté des États étrangers sur les dangers qu’elle perçoit dans l’Union Européenne, illustre de manière poignante cette réalité préoccupante.
Ces pratiques abusives laissent penser que l’État pourrait utiliser le placement d’enfants comme un outil de répression contre ceux qui osent défier le statu quo. Les témoignages et les enquêtes indépendantes mettent en lumière un système dans lequel les départements, soutenus par l’État, exercent un contrôle quasi total sur le destin des enfants, parfois en dépit du respect des droits fondamentaux des familles. Cette situation alarmante s’apparente de plus en plus à une chasse aux sorcières déguisée en protection de l’enfance.
Au-delà des abus institutionnels, un problème encore plus sombre se profile : la possibilité que certains enfants placés par les services de l’État soient en réalité livrés à des réseaux pédocriminels. Des investigations et des preuves recueillies par des militants comme Hélène Lombard suggèrent l’existence d’une organisation systémique derrière ces crimes. Les institutions, au lieu de protéger les enfants, pourraient être complices de leur exploitation, illustrant ainsi comment l’État, en lien avec des entités comme l’Union Européenne, pourrait trahir les citoyens qu’il est censé protéger.
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PÉDOPHILIE À L’ÉCOLE EN FRANCE : « ILS MÉRITENT LA PRISON ! » | FARIDA BELGHOUL | GPTV
Diffusée en direct le 5 août 2024 #gptv#politique#ecole L’éducation en France est un sujet de préoccupation majeure, particulièrement en ce qui concerne l’éducation sexuelle. Farida Belghoul est l’invitée de GPTV pour analyser la situation. Cette question soulève de nombreuses controverses et critiques, notamment en raison de la présence militante des groupes LGBT dans les écoles. Les récents propos de Belloubet sur la rentrée scolaire et l’intervention d’associations extérieures ont intensifié les débats. La crainte d’une influence trop marquée de ces groupes sur l’éducation des enfants est palpable, suscitant des inquiétudes parmi les parents et les éducateurs.
La qualité de l’éducation nationale en France est en déclin. Les résultats des élèves sont de plus en plus alarmants : des enfants qui peinent à compter, lire ou écrire, des notes de plus en plus médiocres. Les enseignants, débordés et disposant de moins en moins de moyens, ne parviennent plus à remplir leur rôle traditionnel d’éducateurs. Cette situation est exacerbée par des méthodes pédagogiques inefficaces, conduisant à une véritable fabrication de l’illettrisme. La délinquance à l’école et la baisse générale du niveau d’instruction sont des symptômes d’un système en crise. La laïcardisation de l’école publique, visant à renforcer la neutralité religieuse, a conduit à des tensions supplémentaires. Parallèlement, l’interdiction progressive de l’école à la maison par l’État a suscité une vague de mécontentement parmi les parents. Ces derniers se voient contraints de confier leurs enfants à un système public défaillant, incapable d’assurer une éducation de qualité.
La question de l’allongement de la durée de la journée et de l’année scolaire est également au cœur des débats. Si l’objectif est d’améliorer les résultats des élèves, cette mesure est perçue comme une solution superficielle qui ne s’attaque pas aux racines du problème. Les enfants passent plus de temps à l’école, mais sans une amélioration réelle des méthodes pédagogiques et des ressources disponibles, cette approche risque de s’avérer inefficace. Le constat global est inquiétant. La présence de plus en plus marquée de l’idéologie LGBT et les standards de l’OMS en matière d’éducation sexuelle des enfants sont perçus par certains comme une tentative d’imposer un agenda controversé. Cette situation contribue à développer l’idée que l’élite occidentale cherche à promouvoir des valeurs perçues comme satanistes. Face à ces défis, quelles solutions envisager ? Il est crucial d’assurer une éducation de qualité, respectueuse des valeurs familiales et des sensibilités de chacun, pour préparer les générations futures à un avenir serein et équilibré.
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