Après dix ans d’infiltration hypocrite de la théorie du genre dans les programmes, autrement dit l’hypersexualisation des enfants, il semble que nous soyons arrivés à un pic.
Le reflux commence. Le lobby LGBT international a pris un coup très dur avec la réélection de Trump, et ça suffit à faire vaciller, par soumission à l’américanisme plus que par conviction personnelle ou lucidité, les agents propagandistes français.
On a notamment un ministre (délégué) qui traduit l’angoisse des parents, qui ne veulent pas tous que leurs enfants deviennent des prostitués livrés à des pédocriminels de haut v(i)ol. Parce qu’on en est là.
On est loin des « ABCD de l’égalité » lancés par Najat Belkacem en 2013, à l’origine de la pénétration des agents LGBT dans les écoles. La lutte contre les inégalités filles-garçons sera le prétexte à une opération de sexualisation précoce des petits. On se souvient des JRE, des journées de retrait de l’école, avec la communauté musulmane qui avait compris le danger avant les autres.
Malgré des gouvernements successifs de plus en plus LGBTisés depuis l’arrivée au pouvoir de Macron, la mayonnaise n’a pas pris dans le peuple français : les parents sont toujours aussi méfiants de ces « avancées » ignobles venues d’en haut, toujours cachées derrière le prétexte égalitariste ou antidiscriminatoire. En réalité, le Système veut détruire le lien parents-enfants, pour les livrer au néolibéralisme sauvage, et ce, dans tous les domaines : éducatif, professionnel, intime.
Au-delà des musulmans, ce sont les cathos qui ont tenu le flambeau de la résistance à cette ingénierie sociale issue d’une oligarchie dont les mœurs sont violemment rejetées par la communauté nationale, qui, elle, est moralement saine.
Aussitôt après la sortie du ministre délégué Alexandre Portier, le ministre de l’Éducation sexuelle nationale en personne est venu défendre la sexualisation des enfants. Anne Genetet a nié, exactement comme Belkacem il y a dix ans :
« Ce programme, je le pilote, et la ligne de ce programme, c’est la ligne du ministère, il n’y a pas de théorie du genre dans ce programme », a insisté Anne Genetet, jeudi 28 novembre, après des critiques relayées par son propre ministre délégué à la Réussite scolaire. (…)
Ce programme « est très clair », « progressif », « adapté à tous les âges » et « permet d’apprendre des notions fondamentales comme le respect, comme le consentement, savoir dire non, ce que c’est qu’une fille, ce que c’est qu’un garçon », a détaillé Anne Genetet.
« La théorie du genre n’existe pas, elle n’existe pas non plus dans le programme », a-t-elle martelé en marge d’un déplacement à Marcq-en-Barœul (Nord), sur la question de l’orientation. (France Info)
Tout est dans le « progressif », évidemment. Devant l’évidence de la sexualisation « dégenrée » du programme, Genetet a aussitôt été reprise de volée.
STOP au nouveau programme scolaire d’éducation affective et sexuelle !@Genetet, ce programme promeut la théorie du genre, donc remet en cause l’identité sexuelle des élèves, et ouvre la porte aux transitions de genre. Nous le dénonçons. pic.twitter.com/Kw85VOC4st
— Le Syndicat de la Famille (@SyndicatFamille) November 23, 2024
Il n’y a plus que le mensonge ou la désinformation pour cacher les intentions abjectes des responsables. De toute façon, la Macronie est en train de sombrer, moralement et politiquement.
L’affaire Palmade en est l’exemple emblématique, avec tous ses fils qui touchent au pouvoir. Mais le monstre, le vrai, c’est Dominique Pélicot. Toujours chercher le contre-feu, avec ces animaux-là.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation