Pour faire de l’humour antiprogressiste, donc de droite, pas besoin de parodier le progressisme : il se parodie tout seul, il est par définition autoparodique. La saynète suivante pourrait provenir de chez les sardinistes, à ne pas confondre avec les sandinistes, beaucoup plus sérieux.
Pour preuve, cette chorégraphie de femmes argentines qui montrent qu’elles ne se laisseront pas abattre par l’élection de Trump. Il n’est cependant pas certain que le battement d’aile de la poule argentine se transforme en ouragan pour la mèche à Donald.
Il n’y a pas que les féministes – ce sous-groupe haineux des femmes – qui craignent le retour de Trump à la Maison-Blanche : il y a aussi les homosexuels, et les danseurs.
Le chorégraphe Benjamin Millepied nous raconte la vie sous Trump : à l’époque, il était maqué avec Natalie Portman, qui a entretenu de bonnes relations avec la famille Trump, précisément l’ex Ivanka et le gendre Jared Kushner.
À l’entendre, la vie sous Trump 2 sera carrément celle d’un juif en Autriche en 38.
Présidentielle américaine : « C’était hyper dur de vivre aux États-Unis pendant que Trump était au pouvoir », raconte le chorégraphe Benjamin Millepied. « Cela va être catastrophique s’il est élu ». pic.twitter.com/hHs8fLhkZR
— France Inter (@franceinter) October 31, 2024
Les femmes suivantes, qui payent cher pour évacuer leur colère en pleine forêt, sont probablement des électrices démocrates anti-Trump. Pour elles, Donald est le diable.
En fait, il s’agit d’Écossaises, mais c’est pareil : l’internationale féministe ne connaît pas de frontières. La pensée, pardon, la non-pensée, ou la pensée limitée (la pensée gauchiste s’arrête juste avant sa propre contradiction, et là se déclenche la posture défensive-agressive) est identique.
These liberal women pay $4,000 to attend a “Rage Ritual” retreat where they spend time in a forest screaming and bashing sticks to release their anger. pic.twitter.com/RWERu8Pndw
— ProudArmyBrat (@leslibless) May 20, 2024
Les femmes n’ont rien à craindre de Donald, qui ne va pas, selon nos informations, rétablir le châtiment corporel en cas de réponse, cette matérialisation du toupet, de l’insolence de celles qui veulent toujours avoir le dernier mot. Il ne rétablira pas non plus la chaîne au pied scellée dans le mur qui confine la femme à trois lieux seulement : le lit conjugal, la cuisine et la salle de bains. Au-delà, la chaîne se tend, la cheville devient douloureuse.
On retiendra que cinquante ans de propagande féministe ont réussi à retourner la tête de millions de femmes fragiles, qui croient non seulement que les hommes sont leur ennemi, mais aussi qu’elles ont du pouvoir. Alors qu’elles ne sont que les idiotes utiles du néolibéralisme qui se sert d’elles pour détruire le travail (comprendre la lutte sociale), la famille et la patrie. C’est le Diable dans la peau.
La voix off féminine peine à cacher son dégoût
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation