Cette année, le cinéma français n’a pas que coulé, comme d’habitude. Deux productions ont surnagé : le film bien-pensant d’Artus sur les handis, on en a déjà parlé, et la grande fresque historique du comte de Monte-Cristo, en deux volets. Le premier est une bluette feelgood, où l’idéologie progressiste, après les migrants, les homos, les femmes et les juifs, incluent les handis dans la grande famille (…)
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